Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Les nuits fraîches de l'été 2010 ont façonné un millésime tout aussi exceptionnel que 2009, mais dans un registre éminemment classique. De grands Bordeaux rouges, corsés et racés, avec un sérieux et une tension propices à une belle et longue garde. La similitude entre les duos 1989/1990 et 2009/2010 est frappante. Grand millésime d'élégance et de fraîcheur aromatique pour les liquoreux.
Propriété Rothschild (de Lafite). Contigu à Yquem, Rieussec était jusqu'en 2012 un des vins les plus liquoreux du Sauternais, ne se révélant qu'après 10 ans de cave au minimum. Première (r)évolution à partir de 2013 vers un style plus élégant voire délicat, conjuguant richesse et finesse.
Seconde (r)évolution en 2019 avec un resserrement drastique des sélections, Rieussec pensé comme la "crème de tête" du Château Rieussec, accompagnée d'une rupture totale des codes visuels : nouvelle bouteille, nouvel étiquetage, nouveau bouchon repositionnable, nouveau conditionnement (carton de 4 bouteilles). Rieussec se positionne maintenant sur la seconde marche de Sauternes derrière Yquem.
Climens est, depuis plus de 50 ans, le plus fin, le plus fruité et le plus attachant des vins du Sauternais. Presque discret dans sa première jeunesse, Climens ne cesse ensuite de se développer et de s'affiner en bouteille. En biodynamie depuis le millésime 2014. Magnifique 2016 « un fruit d’une pureté exemplaire » noté 99/100 par la Revue du Vin de France.
Suite à 4 années quasi sans production (aucune en 2017, 2018 et 2020, à peine 1200 bouteilles en 2019), Climens a changé de main en 2022.
Le millésime 2010 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 96/100 « La robe est déjà évoluée, le nez aussi, mais cela va très bien à ce barsac du millésime 2010. Il s'ouvre sur le safran, le kumquat, la bergamote. Beaucoup d'amertume noble. C'est un vin énergique et d'une grande persistance. »
Vinous (N .Martin-mars 2018) : 94/100 « Le Climens 2010 est un peu différent de ses prédécesseurs, avec des notes de miel séché, de mandarine, de cire de bougie fondue et une touche de sucre d'orge, peut-être encore plus délimitées que dans les bouteilles précédentes. Il brille presque d'énergie. La bouche est moyennement corsée avec des fruits visqueux et mielleux, très harmonieuse bien que l'on puisse dire qu'il s'agit d'un « jeune chiot ». Donnez-lui encore une dizaine d'années en bouteille. Avec l'aimable autorisation d'une bouteille offerte par Bill Blatch au restaurant Trinity à Londres. »
Le cru le plus mythique de Bordeaux, parmi tous ! Déjà, en 1855, il fut seul cru à être reconnu 1er cru classé supérieur, le plaçant au-dessus des premiers crus classés rouges.
Le millésime 2010 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2023) : 99/100 « Marqué par une pointe d'évolution, le 2010 est entre cire et miel. Véritable boule de fruit, ce millésime tardif est encore dans l'épaisseur de sa liqueur malgré un muscle long et fin. A oublier en cave. »
Hachette (Guide 2013) : 97/100 « Le 2010 illustre parfaitement le classicisme du cru. »
Le cru le plus mythique de Bordeaux, parmi tous ! Déjà, en 1855, il fut seul cru à être reconnu 1er cru classé supérieur, le plaçant au-dessus des premiers crus classés rouges.
Le millésime 2010 dans la presse :
Hachette (Guide 2013) : 97/100 « Le 2010 illustre parfaitement le classicisme du cru. »
80% merlot, La Chenade est le quasi second vin des Cruzelles. Pensé et conçu par M. Durantou (Église-Clinet), voilà un des meilleurs rapports qualité/prix de toute la rive droite. En confiance !
80% merlot, La Chenade est le quasi second vin des Cruzelles. Pensé et conçu par M. Durantou (Église-Clinet), voilà un des meilleurs rapports qualité/prix de toute la rive droite. En confiance !
Puyguéraud est la référence des Côtes de Francs, produisant avec une grande régularité des vins de très haut niveau. Le propriétaire, Nicolas Thienpont, s'occupe également de Pavie-Macquin et Larcis-Ducasse à St-Émilion. Toujours bien noté, Puyguéraud prouve mieux que d'autres qu'il est possible de goûter un beau et grand Bordeaux pour moins de 15 € la bouteille.
Propriété Dubourdieu. Unanimement considéré comme le meilleur et le plus distingué des Graves rouges, avec un encépagement de grand cru classé : 2/3 cabernet-sauvignon et 1/3 merlot.
Rondeur, souplesse et profondeur de chair sont la marque des vins rouges consensuels produits à Larrivet Haut-Brion, conseillé par M. Rolland jusqu'en 2014 puis par M. Derenoncourt. Aucun lien entre Larrivet (à Léognan) et Haut-Brion (à Pessac).
Ce cru de 12 ha est admirablement situé entre ses deux illustres voisins, Chasse-Spleen et Poujeaux. Un seul mot d'ordre pour l'élaboration des vins, quel que soit le millésime : la finesse des tanins. Raffiné et soyeux, Branas Grand Poujeaux s'installe aujourd'hui parmi les tout meilleurs crus bourgeois du Médoc.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2022) : 91/100 « La bouche est moyennement corsée, avec des tanins au grain fin, des notes de cèdre et de poivre noir mêlées à de légères notes ferreuses, bien qu'il y ait ici plus de précision sur la finale que dans le 2009. Très fin. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Sous la direction d’Henri Lurton, Brane-Cantenac a gagné ces dernières années en plénitude et en densité et devient un des crus leaders de l'appellation avec Palmer et Rauzan-Ségla, voire le plus authentiquement margalais d'entre eux. Qu'on ne s'y trompe pas, derrière une élégance et une délicatesse typiquement margalaises qui incitent à le déguster trop jeune, Brane-Cantenac a besoin de temps pour s'épanouir et se révéler.
Re-dégusté 10 ans après par la Revue du Vin de France, il est noté 18/20 « très séduisant, avec une bouche intense, toujours marquée par des saveurs de fruits frais ».
L'arrivée de M. Derenoncourt comme consultant en 2002 a relancé Prieuré-Lichine, en lui conférant tout d'abord une meilleure dimension aromatique grâce à une maturité des raisins plus aboutie. La limitation des rendements depuis 2009 s'est traduite par un supplément de densité et de volume, ce qui lui manquait pour rivaliser avec ses pairs. Progression saluée par la Revue du Vin de France, notamment pour son 2020 noté 95/100 « le plus complet depuis longtemps ».
Le millésime 2010 dans la presse :
Wine Advocate : 92/100
Re-dégusté 10 ans après par La Revue du Vin de France : 92/100 « gourmand, fluide et agréable [...] Un joli margaux prêt à boire »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2010 dans la presse :
J-M Quarin (janvier 2022) : 94/100 « Nez légèrement discret, au fruité mûr et même solaire. Touche viandée. La bouche est une caresse. Le vin fond et se développe aérien, délicieux, sans aucune présence tannique. »
Le meilleur cru bourgeois de Saint-Julien (il aurait pu aisément être classé en 1855), tenu par l’équipe de Saint-Pierre, même propriétaire, et en très grande forme dans les derniers millésimes. La valeur sûre du Médoc par excellence.
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2010 dans la presse :
En Magnum (2023) : 90/100 « Vin de forte constitution, viril dans sa texture et son retour de tanin encore un peu ferme et astringent, caractère pauillac marqué, sur le cèdre plus que sur le tabac blond, moins harmonieux en ce moment que le 2009, mais impressionnant et construit pour la garde. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2010 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2021) : 96/100 « Le vin montre une belle richesse gérée par une trame de tanins de qualité qui étire la bouche et lui confère du relief. C'est un ensemble sérieux, encore charnu, qui a de longues années devant lui. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2010 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2021) : 96/100 « Le vin montre une belle richesse gérée par une trame de tanins de qualité qui étire la bouche et lui confère du relief. C'est un ensemble sérieux, encore charnu, qui a de longues années devant lui. »
Racheté en 1986 par le groupe AXA, placé dans un premier temps sous la conduite de M. Cazes (Lynch-Bages), Pichon-Longueville Baron retrouve sa meilleure forme dans le style puissant et racé des grands Pauillac. Il faut dire qu’une petite moitié de ses vignes jouxte celles de Latour, sur un terroir de premier cru ! Pour la Revue du Vin de France : « Pichon-Baron est au sommet dans les derniers millésimes ».
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 99/100 « La classe à l'état pur ! Ce 2020 déroule une matière subtile, soyeuse et soignée, avec des notes vibrantes de petits fruits et une délicatesse absolue dans son toucher de bouche. Des tanins de velours apportent le raffinement suprême à la finale. »
Vinous (Neal Martin - Novembre 2024) : 99/100 et #3 du Top 100 des vins de l'année 2024 « Pichon Lalande 2020 flirte avec la perfection. Nicolas Glumineau a réalisé un Pauillac sensationnel qui ne se contente pas de défier les premiers crus, mais les surpasse peut-être déjà. Un vin de référence pour ce domaine historique. »
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !
Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N.Martin - mai 2024) : 99/100 « Montrose 2010 présente un nez époustouflant de fruits noirs puissants, intenses et riches en minéraux, qui s'arrondit à l'aération. Des notes de pot-pourri complètent les notes de tabac. La bouche est fraîche, vibrante et lourde, mais paradoxalement, elle est d'une merveilleuse finesse. Il y a une symétrie dans ce Montrose, couplée à une longueur extraordinaire qui vous laisse sur votre faim. Brillant. »
J-M Quarin (février 2023) : 97/100 « Couleur sombre, intense et très légèrement évoluée. Nez remarquable pour sa maturité pleine de fraîcheur. Il sent bon les fruits noirs. Nuances boisées élégantes. A l'aveugle, la bouche rappelle château Latour. Le gras, la puissance, l'enveloppe du corps, associés à beaucoup de fruits, font merveille. Finale très savoureuse, à la fermeté légitime, parce que trop jeune. Nuance calcaire dans la persistance finale. Les gourmands le goûteront sinon attendre deux ou trois ans. »
En Magnum (2022) : 95/100 « Très riche de couleur et de texture, noblement mentholé, avec un velouté de texture particulier où l'on sent l'influence de Jean-Bernard Delmas et du style mis au point à Haut-Brion. Long, complexe, peut-être un peu moins typé grand médoc du nord que ne le seront les 2018 et les 2020. »