Date de disponibilité:
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2014 dans la presse :
J-M Quarin (septembre 2020) : 94/100 « Très bien construit, savoureux, le vin caresse le palais ascendant en finale, avec une présence tannique légèrement plus ferme, sans que la saveur en soit altérée.. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 95/100 « Bouche toujours autant minutieuse, autant suave, avec un déroulé ascendant et complexe, toujours autant classe dans le toucher. Finale noble, séveuse, subtile et même profonde. Depuis quelques millésimes, Pavillon rouge s'élève encore. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2020 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 92/100
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 94/100 « Pavillon Rouge 2020 présente un bouquet merveilleusement délimité et tout à fait charmant - pur et floral avec des violettes séduisantes qui infusent le fruit noir. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins très souples et raffinés. Une prise en main douce dissimule la puissance de ce Margaux, qui est persistant et caressant en fin de bouche - exceptionnel. Il dépasse largement mes espérances ! »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2018 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2022) : 95/100 « Pulpeux en départ de bouche, gras et parfumé à la fois, avec une forte occupation du palais, le vin s'étire en finale, complexe et racé dans son retour frais et long. C'est très bon. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2015 dans la presse :
Jean-Marc Quarin (septembre 2020) : 95/100 « Nez pour l'heure un peu discret, avec un fruité mûr et suave accompagné d'une note viandée. C'est surtout la bouche qui distingue ce vin. Moelleuse et fondante dès l'attaque, elle se développe complexe en milieu de bouche, en gagnant de la puissance en finale, mais tout en nuances. Très belle longueur au grain fin, avec beaucoup de goût. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2010 dans la presse :
J-M Quarin (janvier 2022) : 94/100 « Nez légèrement discret, au fruité mûr et même solaire. Touche viandée. La bouche est une caresse. Le vin fond et se développe aérien, délicieux, sans aucune présence tannique. »
Par la qualité des sélections, et la création d'un 3ème vin à partir de 2009, Pavillon Rouge aurait été aisément considéré comme le Grand Vin du Château Margaux il y a seulement 20 ans.
Le millésime 2005 dans la presse :
J-M Quarin (juin 2019) : 94/100 « Superbe ! Vin confondable avec Château Margaux...A essayer ! »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2020) : 97/100 « La minutie tactile de l’entrée en bouche est remarquable. Le vin se développe sans cesse pulpeux, avant de libérer une saveur de fruits noirs qui scintille dans la persistance. C’est superbe, long, très minutieusement réalisé, avec un grain très fin. »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 94/100 « Le Château Margaux 2014 présente un bouquet bien défini de fruits noirs infusés au cèdre, de sous-bois et de touches d’épices brunes. Un peu plus de précision que le Haut-Brion. [...] C’est un Château Margaux « sérieux » qui, espérons-le, va se détendre dans les prochaines années. Nous verrons. »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2012 dans la presse :
J-M Quarin (février 2020) : 96/100 « Minutieux en entrée de bouche, puis complexe au milieu, le vin se développe particulièrement aromatique sur une stimulation ascendante en finale où il vient s’achever sophistiqué, long sur un grain fin. Ce superbe équilibre le rend incrachable ! »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (février 2020) : 98/100 « Waouh, impossible de s’attendre à tant de délicatesse après pareil nez ! Le vin ne cesse de fondre, complexe au toucher comme au goût. Il évolue séveux pour devenir comme plus solide en finale sans perdre sa complexité. Très longue persistance, fraîche, noble et finalement incrachable. Du charme, de l’hédonisme, de l’esthétique et de la précision. Un style à l’opposé du 2005. »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (février 2020) : 98/100 « Waouh, impossible de s’attendre à tant de délicatesse après pareil nez ! Le vin ne cesse de fondre, complexe au toucher comme au goût. Il évolue séveux pour devenir comme plus solide en finale sans perdre sa complexité. Très longue persistance, fraîche, noble et finalement incrachable. Du charme, de l’hédonisme, de l’esthétique et de la précision. Un style à l’opposé du 2005. »
Aucun cru ne peut mieux exprimer l'association magique et si difficile à obtenir simultanément finesse et puissance. Un premier cru sans rival dans son style !
Le millésime 2004 dans la presse :
J-M Quarin (novembre 2023) : 96/100 « 26 bouteilles goûtées lors de la préparation d'un dîner, sans aucun écart ! C'est du jamais vu ! Vin parfumé au nez qui glisse sur la palais à la fois solide et raffiné dans un style longiforme très cabernet sauvignon. Grain fin. Bonne tenue à l'air. »
La Revue du Vin de France (2014) : 97/100 « Il a ce nez envoûtant typique du cru, sur les fruits croquants et les fleurs. »