Date de disponibilité:
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 90/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2020 offre au nez beaucoup de fruits rouges mûrs : canneberge et fraise des bois, avec des notes de fruits bleus en arrière-plan. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples et arrondis qui lui confèrent une texture très douce et une grande facilité d'approche. Les fruits rouges se fondent dans les fruits noirs vers la seconde moitié de la bouche, qui présente une belle sapidité et une finale assez persistante. Ce La Chapelle a quelque chose de sédentaire, il est à l'aise dans sa peau. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 94/100 « Dans un millésime où le premier vin atteint des sommets, la réussite du second est éclatante. C'est un vin complet, exubérant, fumé, dont l'ampleur et la fermeté garantissent l'avenir. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2021 dans la presse :
Jean-Marc Quarin (avril 2022) : 93/100 « Beau rouge sombre, pourpre. Nez intense, fin, fruité, pur et subtil. Nuances d'encre et de violette. Tendre à l'attaque, juteux et parfumé en milieu de bouche, le vin avance sur une jolie trame et s'achève long et aromatique. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Le Clarence met l'accent sur la tension, la fraîcheur, avec un noble caractère fumé qui s'affirme sur la longueur du vin. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 93+/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2020 présente un bouquet très finement délimité, concentré et généreux, avec des couches de fruits rouges et noirs, de violettes pressées et de cèdre. La bouche est mi-corsée avec des tanins soyeux, très équilibrée et pure, avec une allure presque bourguignonne en fin de bouche. Ce vin devrait vieillir magnifiquement en bouteille. »
La Revue du Vin de France (Septembre 2023) : 93/100 « Malgré la richesse solaire du fruit, l'accent est mis sur la tension, la fraîcheur, avec un noble caractère fumé qui s'affirme sur la longueur du vin, tout à fait dans l’esprit de son grand frère. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2019 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2022) : 94/100 « Il caresse le palais, juteux et suave, avec des arômes profonds, vers une longue finale sèveuse et parfumée. C'est superbe. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Le 2018 Le Clarence de Haut-Brion est vraiment sorti de sa coquille. Audacieux, juteux et très expressif, Le Clarence est si raffiné et sophistiqué. Des herbes séchées, du cèdre, du tabac, de la réglisse et du café s'échappent du verre. Moyennement corsé et merveilleusement persistant, le Clarence est une véritable beauté. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 92/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2018, qui a été impressionné par la barrique, présente un bouquet magnifique et sensuel de fruits noirs voyants, de pot-pourri et d'encens, d'un style presque saint-émilionien et très bien défini. La bouche concentrée et équilibrée est moyennement corsée, avec des tanins granuleux, une très bonne tension et un poids splendide en finale. Ce vin est l'un des meilleurs seconds vins de Haut-Brion que j'ai pu goûter. A ne pas sous-estimer. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 92/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2016 présente un bouquet impressionnant de fruits rouges vibrants, de pétales de rose et d'arômes de terreau, ainsi qu'un chêne remarquablement assimilé. La bouche mi-corsée présente des tanins souples et une fine acidité. La bouche est vive et concentrée, avec une finale complexe pleine de tension et d'expression du terroir. Voici un autre superbe Pessac-Léognan. Dégusté à l'aveugle lors de la dégustation annuelle de Southwold. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 95/100 « La Mission a réussi un 2021 de très haute volée, conservant toute l'intensité et la distinction du cru,[...] Ample et pur, le fruit évoque la cerise, [...] La matière est complète, ample, presque veloutée dans un millésime dont ce n'est certes pas la caractéristique première. L'allonge tannique, bien présente, droite, garnie, constitue l'assurance d'une longue et fructueuse évolution. »
J.M Quarin (Février 2024) : 95/100
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2020) : 96/100 « En 2017, La Mission joue beaucoup sur les fruits rouges et les fleurs. Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, le 2017 a tout simplement tout ce qu'il faut. Quel vin ! »
Vinous (N. Martin - février 2020) : 94/100 « La bouche est moyennement corsée avec des tanins au grain fin, très concentrée et raffinée avec un fruit plus sombre que celui du nez. Des traces de goudron et de cèdre apparaissent vers la finale classique qui persiste agréablement, bien que le Haut-Brion ait un peu plus de persistance et de profondeur. Superbe. »
J-M Quarin (février 2020) : 95/100 « La décantation lui fait prendre une note plus suave rappelant la framboise. Cette suavité se retrouve en bouche dans une stimulation très délicate où tout caresse en fondant et laisse une très grande place à l'arôme. Cette sensation n'est pas sans rappeler la dégustation des grands Bourgogne rouges. Grande finale subtile et ravissante. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le 2016, que M. Galloni compare aux glorieux et historiques 1955 et 1989.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 97/100 « Haut-Brion s’imposait dès les dégustations en primeur comme l’un des vins du millésime 2021. Aujourd’hui en bouteille, il creuse l’écart, [...] C’est un vin complet, manifestant une forme d’évidence dans l’élan, longiligne mais plein, serré, d’une race évidente. »
The Wine Advocate (Mars 2024) : 97/100 « Le Haut-Brion 2021 confirme sa belle prestation en primeur et s'affirme comme l'un des vins du millésime. Il est complexe, corsé, profond et velouté, avec des tanins doux et des acides vifs, et se termine par une longue finale pénétrante. Il ravira les puristes bordelais. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2020) : 100/100 « En bouteille, je retrouve ce côté incroyable qui résume tout ce que j'aime dans un grand Bordeaux. La caresse, le velouté, la noblesse de texture et de tannins et cette grande personnalité absolument unique. »
La Revue du Vin de France (septembre 2021) : 99/100 « Moelleuse, la chair du vin reste paradoxalement tendue, serrée, et finit sa parade en bouche sur une impression de grâce longiligne. Le potentiel d’évolution de ce grand millésime est énorme. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (avril 2022) : 90/100 « Couleur sombre, pourpre et profonde. Nez intense, au fruité frais et mûr. Bouche fascinante de par cette nuance de gelée de mûres qui égaye le palais. Le vin fond, juteux, noble et fin. Belle finale longue et incrachable. Un délice ! »
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Le millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 92/100 « Couleur sombre. Superbe nez suave, frais, mûr et subtil, qui vaut celui de Quintus. Touche vanillée. Minutieux dès l'entrée en bouche, juteux au milieu, avec de la classe dans le toucher, le vin fond en finale, long, sèveux et incrachable. »
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Le millésime 2018 dans la presse :
Jean-Marc Quarin (février 2024) : 90/100 « Couleur sombre et vive. Nez d'intensité moyenne, fruité et épicé. Bouche suave, au corps fondant et caressant, aux sensations nuancées. Longueur normale, à la tannicité enrobée. Ensemble très plaisant pour son aspect savoureux. »
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 90/100 « Ouvert et accessible avec des notes poivrées vers la finale harmonieuse. Délicieux. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
La millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (avril 2022) : 95/100 « Couleur sombre, profonde, pourpre et vive. Nez intense, fin, fruité, pur, subtil et floral. Minutieux en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, complexe et profond, avec de la classe dans le toucher, le vin prend de la puissance entre le milieu et la finale. Il s'achève long, suave, sèveux et délicieux. Il s'agit là de l'expression la plus aboutie que je connaisse dans Quintus à cet âge. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
La millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 96/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez plus discret que Dragon, au fruité mûr et frais. Minutieux en entrée de bouche, bien plus ample au milieu, avec du gras et un corps fondant, ce vin s'installe lentement dans le palais. Particulièrement savoureux, il retourne des nuances fraîches dans la persistance. C'est très difficile à cracher. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (Neal Martin - Août 2020) : 94/100 « Le Quintus 2016 présente un bouquet très noble, avec une belle définition de la mûre et de la baie, un chêne merveilleusement intégré et un véritable sens de la concentration et de l'équilibre. Il s'agit d'un Saint-Émilion magnifiquement élaboré et de l'une des meilleures versions de Quintus à ce jour. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
La millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 91+/100 « Le Quintus 2014 est très jeune au nez, avec des senteurs vibrantes, presque médocaines, de fruits rouges rameux, de cèdre, de fumée et d'un soupçon de copeaux de crayon. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples et fins, encore une fois dans le style de la Rive Gauche, avec une légère adhérence en fin de bouche. Ce vin pourrait en fait bénéficier de quelques mois supplémentaires en bouteille. »