Date de disponibilité:
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Le 2018 Le Clarence de Haut-Brion est vraiment sorti de sa coquille. Audacieux, juteux et très expressif, Le Clarence est si raffiné et sophistiqué. Des herbes séchées, du cèdre, du tabac, de la réglisse et du café s'échappent du verre. Moyennement corsé et merveilleusement persistant, le Clarence est une véritable beauté. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 91/100 « Goûter ce vin à 9 h le matin et ne pas pouvoir cracher, voilà la rareté. Et puis il y a la volupté du corps et cet arôme si particulier que je ne trouve nulle part ailleurs. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 90/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2021 est bordé de fleurs écrasées, de baies rouges sucrées, d'épices et de tabac à pipe. La Chapelle est assez floral et délicat en 2021. Sa personnalité discrète est tout à fait charmante. L'acidité vive de la finale rappelle la saison fraîche et pluvieuse. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 92/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2020 est très contrôlé et plus en retrait au nez par rapport à ses pairs, avec des arômes de mûre, de framboise, de terre humide et d'olive noire légère. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes mais fins. Il y a ici une forte influence marine avec une pointe de réglisse en finale. Ce vin a besoin de temps pour trouver sa voie, mais il le fera. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 92/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2018 s'est vraiment épanoui depuis que je l'ai dégusté en barrique. Le bouquet est très pur et parfumé, avec des fruits rouges chatoyants, de la bruyère, des sous-bois et une touche de menthe poivrée qui musarde en arrière-plan. La bouche est très bien équilibrée avec des tanins souples, une acidité très bien dosée et une subtile note marine en fin de bouche. Ce vin est tout simplement délicieux. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 94/100 « Dans un millésime où le premier vin atteint des sommets, la réussite du second est éclatante. C'est un vin complet, exubérant, fumé, dont l'ampleur et la fermeté garantissent l'avenir. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (décembre 2022) : 93/100 « Bouche particulièrement caressante, éclatante de fruits et fondante entre le milieu et la finale. Très belle persistance au grain fin. C’est remarquable. »
Vinous (N. Martin - Janvier 2020) : 91/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2016 a un bouquet plus riche et plus dense que le 2016 Haut Bailly, offrant plus de fruits noirs d'entrée de jeu avec des notes d'algues et de saumure. La bouche est moyennement corsée avec des fruits noirs croquants, une fine perle d'acidité, des notes d'olive noire et de sauge et une finale assez complexe et engageante. Très bon, bien qu'il n'ait pas la persistance de ses pairs. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2022 est un fabuleux second vin. Large et explosif en bouche, avec une profondeur énorme, le 2022 est un véritable étourdissement. Les fruits noirs, le cuir, les épices, le menthol et l'espresso sont au maximum. Riche, ample et invitant, le Clarence est absolument stellaire. C'est un vin vif et profondément satisfaisant. Il ne lui manque qu'un peu de structure en fin de bouche, mais là encore, nous sommes en 2022. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 91/100 « Clarence de Haut-Brion 2021 a conservé le bouquet plus floral et teinté de violette qui le place devant La Chapelle de La Mision à ce stade - il est juste un peu plus séduisant. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, plus charnue que celle de La Chapelle, avec une finale caressante et délimitée. C'est un excellent Deuxième Vin qui pourra être bu pendant 12 à 15 ans. »
Jean-Marc Quarin (avril 2022) : 93/100 « Beau rouge sombre, pourpre. Nez intense, fin, fruité, pur et subtil. Nuances d'encre et de violette. Tendre à l'attaque, juteux et parfumé en milieu de bouche, le vin avance sur une jolie trame et s'achève long et aromatique. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Le Clarence met l'accent sur la tension, la fraîcheur, avec un noble caractère fumé qui s'affirme sur la longueur du vin. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 93+/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2020 présente un bouquet très finement délimité, concentré et généreux, avec des couches de fruits rouges et noirs, de violettes pressées et de cèdre. La bouche est mi-corsée avec des tanins soyeux, très équilibrée et pure, avec une allure presque bourguignonne en fin de bouche. Ce vin devrait vieillir magnifiquement en bouteille. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 90/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2019 a un nez légèrement atténué par rapport à ses pairs et a besoin d'être cajolé dans le verre. Des fruits rouges terreux et des touches de tabac. La bouche est bien équilibrée avec des tanins souples, des fruits rouges croquants mélangés à du balsamique et des poivrons blancs, juste un peu court sur la finale. »
J-M Quarin (mars 2022) : 94/100 « Il caresse le palais, juteux et suave, avec des arômes profonds, vers une longue finale sèveuse et parfumée. C'est superbe. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 92/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2016 présente un bouquet impressionnant de fruits rouges vibrants, de pétales de rose et d'arômes de terreau, ainsi qu'un chêne remarquablement assimilé. La bouche mi-corsée présente des tanins souples et une fine acidité. La bouche est vive et concentrée, avec une finale complexe pleine de tension et d'expression du terroir. Voici un autre superbe Pessac-Léognan. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 95/100 « La Mission a réussi un 2021 de très haute volée, conservant toute l'intensité et la distinction du cru,[...] Ample et pur, le fruit évoque la cerise, [...] La matière est complète, ample, presque veloutée dans un millésime dont ce n'est certes pas la caractéristique première. L'allonge tannique, bien présente, droite, garnie, constitue l'assurance d'une longue et fructueuse évolution. »
J-M Quarin (février 2024) : 96/100 « Ample à l'attaque, accompagné d'une texture minutieuse tout le long de la stimulation, à mi chemin entre la rive droite et la rive gauche, le vin parfume le palais avant de devenir puissant en finale, tout en gardant ses appuis tanniques mesurés. C'est incrachable et savoureux. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 93/100 « La Mission Haut-Brion 2021 présente un bouquet très cohérent, bien défini, avec des notes minérales de fruits rouges et noirs, des soupçons de fleurs blanches et un lointain parfum d'olive noire. L'élément presque « estuarien » devient plus proéminent à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes, assez fraîche, mais pas un La Mission complexe ou profond. Il est rehaussé par la salinité et le dynamisme de la finale, ce qui est également typique de ce vin. Bien qu'il ne s'agisse pas d'un vin de premier ordre, c'est un Pessac fascinant et engageant qui se boira dans les 20 ou 30 prochaines années. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 96/100 « Un vin positivement stupéfiant, le 2017 La Mission Haut-Brion est de grande classe. De douces notes florales confèrent au 2017 une fraîcheur, une nuance et une énergie saisissantes. Le pétale de rose, la menthe, l'orange sanguine, la cerise rouge, la grenade et le moka sont tous lacés ensemble. En 2017, La Mission joue à fond la carte des fruits rouges et des notes florales. Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, le 2017 a tout simplement tout pour plaire. Quel vin ! »
J-M Quarin (février 2020) : 95/100 « La décantation lui fait prendre une note plus suave rappelant la framboise. Cette suavité se retrouve en bouche dans une stimulation très délicate où tout caresse en fondant et laisse une très grande place à l'arôme. Cette sensation n'est pas sans rappeler la dégustation des grands Bourgogne rouges. Grande finale subtile et ravissante. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le 2016, que M. Galloni compare aux glorieux et historiques 1955 et 1989.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 99/100 « La Mission Haut-Brion 2016 était stupéfiant en barrique, et maintenant en bouteille. Il présente un bouquet sublime de mûres, de bruyère et des notes de chocolat noir et de pétales de rose qui gagnent en intensité à l'aération tout en conservant une délimitation éthérée. Il n'appuie jamais trop fort sur l'accélérateur. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins. Il y a encore un placage de chêne neuf qui devra être assimilé dans les années à venir. C'est un La Mission profond qui caresse la bouche. Des touches de graphite s'attardent sur une finale qui s'épanouit glorieusement. Le 2016 est-il à la hauteur du 1955 ou du 1989 ? Presque. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 98/100 « Le 2015 La Mission Haut-Brion est doté d'un bouquet exceptionnel de fruits noirs brillamment concentrés et délimités, agrémentés de graphite et de cèdre - de la classe à l'état pur. La bouche mi-corsée et harmonieuse délivre des tanins au grain fin et une profondeur impressionnante. Un léger élément salé (tout comme le Haut-Brion) infuse le milieu de bouche, tandis que les épices brunes et la sauge s'attardent sur la finale. C'est un Haut-Brion La Mission profond qui ose surpasser le Haut-Brion sur cette présentation. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 98+/100 « Le Haut-Brion 2022 est puissant et explosif. En même temps, il est incroyablement réticent. Rien de tout cela ne devrait préoccuper les lecteurs qui peuvent attendre. Les fruits noirs, le gravier, l'encens, la terre brûlée et la réglisse sont présents sur le palais, encadrés par des tannins impénétrables et imposants. Vin vertical et explosif, le 2022 aura besoin d'un certain nombre d'années pour être à son meilleur. Je pense qu'il sera magnifique dans de nombreuses années. Le Haut-Brion s'adoucit avec un peu de temps dans le verre, mais il reste un véritable blockbuster. »
J-M Quarin (avril 2023) : 98/100 « Couleur noire. Nez intense, fin, fruité et pour une fois à cet âge, avec la nuance fumée typique de Pessac. Ample à l'attaque, délicieusement parfumé en milieu de bouche, accompagné d'une nuance grasse dans le toucher, le vin évolue un brin ferme en finale et parallèlement très aromatique. Grande longueur. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 97/100 « Haut-Brion s’imposait dès les dégustations en primeur comme l’un des vins du millésime 2021. Aujourd’hui en bouteille, il creuse l’écart, [...] C’est un vin complet, manifestant une forme d’évidence dans l’élan, longiligne mais plein, serré, d’une race évidente. »
The Wine Advocate (Mars 2024) : 97/100 « Le Haut-Brion 2021 confirme sa belle prestation en primeur et s'affirme comme l'un des vins du millésime. Il est complexe, corsé, profond et velouté, avec des tanins doux et des acides vifs, et se termine par une longue finale pénétrante. Il ravira les puristes bordelais. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 95/100 « Haut-Brion 2021 a un bouquet très pur, assez complexe avec un mélange de myrtille et de cerise noire, de fleur d'iris et de violette, avec des notes d'embruns en arrière-plan. Pour l'instant, il est plus engageant que La Mission Haut-Brion 2021. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, une bonne concentration de fruits compte tenu du millésime, une salinité louable et une finale harmonieuse et sapide de style classique. Je pense que ce vin pourrait bien se refermer pendant un certain temps avant d'être rouvert. Excellent. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - avril 2022) : 99+/100 « Le Haut-Brion 2019 a un degré de transparence éthéré au nez, peut-être le plus délimité de tous les 2019, une précision et un détail fabuleux compte tenu de la saison de croissance. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins et osseux, une symétrie et un équilibre infaillibles. Cohérent du début à la fin, avec une finale extraordinairement persistante et convaincante. »
J-M Quarin (mars 2022) : 96/100 « Délicat en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, juteux, complexe et très savoureux, le vin se serre délicatement en finale. Il s'achève puissant et noble, avec beaucoup d'arômes. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 100/100 « Lors de sa dégustation en primeur, j'avais été très impressionné par ce haut-brion. Je me souviens que je l'avais trouvé extrêmement complet. En bouteille, je retrouve ce côté incroyable qui résume tout ce que j'aime dans un grand bordeaux. La caresse, le velouté, la noblesse de texture et de tannins et cette grande personnalité absolument unique. [...] Beauté, ampleur, concentration veloutée, à la fois le style du plus grand de Pomerol et celui du plus grand du Médoc, toujours avec le terroir et la personnalité du cru. »
La Revue du Vin de France (septembre 2021) : 99/100 « Moelleuse, la chair du vin reste paradoxalement tendue, serrée, et finit sa parade en bouche sur une impression de grâce longiligne. Le potentiel d’évolution de ce grand millésime est énorme. »
J-M Quarin (novembre 2021) : 98/100 « L’agitation du verre fait ressortir la framboise et des nuances raffinées. Moelleux en entrée de bouche, ample et en même temps fondant au milieu, avec une folle puissance aromatique vers la finale et beaucoup de goût, le vin s’achève particulièrement long, sur un grain de tannin magnifique. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 97/100 « Le Haut-Bion 2018 est un bébé, mais son équilibre et son potentiel sont amplement évidents. Riche et profond dans le verre, le 2018 s'ouvre pour révéler énormément de complexité et de nuances, des qualités qui ne font que croître avec le temps. Le 2018 n'est pas un énorme Haut-Brion, ni massivement doté, mais il est tellement élégant et classe. J'ai adoré ce vin. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (janvier 2022) : 97/100 « L'ensemble est un pur délice. Des arômes nobles circulent sur une texture très raffinée et savoureuse, sans effet de puissance, sans fragilité, tout en appuis distingués. Belle longueur où la bouche reste fraîche. »
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 96+/100 « Le Haut-Brion 2017 est riche et viril, même dans un millésime où il a moins de puissance que la norme. Mon impression est que le 2017 va rester en sommeil pendant de nombreuses années avant de se réveiller, mais son pedigree est tout à fait évident. La cerise noire, la prune, le gravier, la fumée, la réglisse et les épices sombres jaillissent du verre. Le 2017 est un Haut-Brion puissant et vertical doté d'une réelle sensation de gravité et d'intensité sombre. La finale longue et substantielle suggère que les lecteurs peuvent s'attendre à de nombreuses années de bonne consommation. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (décembre 2022) : 100/100 « Ultra raffiné en entrée de bouche, particulièrement fondant tout le long de son parcours, complexe au milieu, savoureux, juteux, frais, mais aussi puissant, le vin ne cesse de glisser sur le palais, raffiné, gras, noble, dans une immense longueur sèveuse. Ouh là là, que c’est bon. »
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 100/100 « Le Haut-Brion 2016 est très probablement encore plus magnifique en bouteille qu'il ne l'était en barrique. Puissant et riche, mais pas du tout lourd, le 2016 est un vin d'une beauté presque indescriptible. Le Haut-Brion est souvent un vin passionnant, mais il est rarement aussi raffiné dans sa jeunesse. Le gravier, la viande de cure, le tabac et le cèdre sont quelques-unes des nombreuses nuances qui se développent avec l'air, mais c'est un sens extraordinaire de l'harmonie qui se démarque vraiment. Quel vin ! »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - mai 2021) : 95/100 « Le Haut-Brion 2012 commence à montrer ses muscles. Le bouquet est peut-être l'un des plus en retrait des cinq premiers crus, Le merlot fermement dans les légères senteurs de sous-bois percolent avec le temps. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins légers, un très bon poids, des arômes de prune et d'épices légères, avec beaucoup de poids sur la finale légèrement charnue. C'est un excellent Haut-Brion, mais il a besoin de vieillir en bouteille. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (novembre 2017) : 100/100 « Nuance de chêne frais. Moelleux à l’attaque et particulièrement suave au développement, très riche en milieu de bouche, mais fondant, à la texture très aérienne et raffinée et pourtant solide, le vin s’envole en finale, complexe, long, puissant et très profond. Cette seconde et même cette troisième partie de bouche sont fabuleuses. Du très grand vin précis et noble. La parfaite expression du Haut-Brion. »
Vinous (N. Martin - février 2019) : 97/100 « Haut-Brion 2009 a un bouquet moins précoce mais plus détaillé, plus nuancé peut-être avec des ardoises chaudes qui cuisent au soleil d'été, du terreau labouré et du cèdre qui infusent le fruit noir. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, une acidité parfaite, des couches de fruits noirs riches en minéraux. Ce vin semble avoir gagné en complexité au cours des dernières années et commence à flirter avec la perfection. Il n'y est pas encore parvenu, mais il s'oriente dans cette direction. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2007 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - juillet 2010) : 94/100 « Rouge rubis brillant. Le nez pur mais jeune et inexpressif laisse entrevoir des notes de framboise et de tabac après une aération prolongée. Doux, suave et souple, avec une texture soyeuse stimulée par la minéralité et relevée par une composante épicée. La maturité est vraiment belle et constante, ne montrant ni torréfaction ni verdeur. A l'air, il a pris un caractère plus floral. Ce vin superbement élégant sature vraiment le palais et persiste. Les tanins sont fins et doux. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2006 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2009) : 95/100 « Rouge rubis moyen. Arômes invitants de prune, de pierres chaudes, de réglisse rouge et de menthol. Suave, doux et élégant ; nettement plus doux et pulpeux aujourd'hui que le La Mission, avec encore plus de profondeur en milieu de bouche. Il montre également plus de fruits rouges aujourd'hui, avec une minéralité piquante qui donne au vin de l'élan et de la jutosité. La finale s'achève sur des tanins suaves mais substantiels. L'année dernière, ce vin montrait sa colonne vertébrale alors que le La Mission était plus opulent ; en bouteille, c'est l'inverse. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2005 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - octobre 2015) : 100/100 « Un de mes vins de la soirée, le Haut-Brion 2005 est stratosphérique. Remarquablement vif et nuancé, le 2005 présente un mélange convaincant de saveurs sombres lacées avec les notes savoureuses/minérales qui sont si typiques du Haut-Brion. Le 2005 est passionnant à suivre dans le verre, car il révèle continuellement de nouvelles nuances de sa personnalité, ce que je considère comme un attribut commun à tous les grands vins du monde. La finale dense et explosive laisse présager un avenir très prometteur. Les lecteurs qui possèdent le 2005 devraient être ravis, car il est vraiment merveilleux. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2004 dans la presse :
Vinous (N.Martin - juin 2024) : 94/100 « Haut-Brion 2004 présente un superbe bouquet avec des arômes très bien définis de mûre, de cèdre, de cigare humide et de sang séché qui s'épanouissent dans le verre - la quintessence du Haut-Brion. La bouche est moyennement corsée, avec une entrée en matière presque médicinale et une belle acidité. C'est l'aspect eucalyptus qui définit vraiment la finale, ce à quoi je ne m'attendais pas. Cela nuit-il à la typicité ? Peut-être, mais cela reste très agréable. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2003 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2005) : 90/100 « Le Haut-Brion 2003 a un bouquet décadent avec une charge de fruits noirs brillants. Il y a une certaine chaleur de l'alcool et juste une touche de Brettanomyces. Oui, c'est un élément du Rhône Nord. La bouche présente un doux noyau de fruits noirs, des tanins soyeux et des couches de myrtille et de mûre avec une finale anisée. C'est un vin sensuel, mais en fin de compte, il manque un peu de tension et de pedigree. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2002 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2005) : 92+/100 « Beau rouge rubis. Nez de groseille, de prune, de tabac et de fleurs. Suave et léger sur ses pieds, avec une excellente acidité intégrée encadrant et prolongeant les saveurs. Classique et classique, il se termine sur des tannins mûrs et bien construits. Ce vin serait parfait avec un cigare. Aujourd'hui, Delmas et Masclet préfèrent ce 2002 au Haut-Brion 2001, mais pour La Mission, ils donnent l'avantage au 2001. »
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (avril 2022) : 90/100 « Couleur sombre, pourpre et profonde. Nez intense, au fruité frais et mûr. Bouche fascinante de par cette nuance de gelée de mûres qui égaye le palais. Le vin fond, juteux, noble et fin. Belle finale longue et incrachable. Un délice ! »
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Le millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 92/100 « Couleur sombre. Superbe nez suave, frais, mûr et subtil, qui vaut celui de Quintus. Touche vanillée. Minutieux dès l'entrée en bouche, juteux au milieu, avec de la classe dans le toucher, le vin fond en finale, long, sèveux et incrachable. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 92/100 « Le 2020 Le Dragon de Quintus a un nez parfumé avec des arômes de fruits rouges parfumés au cèdre, de sol forestier et de tabac. La bouche est moyennement corsée avec des tanins légers. Il est bien équilibré et élégant dans son style, avec une finale vive et poivrée qui a la sapidité nécessaire pour vous faire revenir. »
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Le millésime 2018 dans la presse :
Jean-Marc Quarin (février 2024) : 90/100 « Couleur sombre et vive. Nez d'intensité moyenne, fruité et épicé. Bouche suave, au corps fondant et caressant, aux sensations nuancées. Longueur normale, à la tannicité enrobée. Ensemble très plaisant pour son aspect savoureux. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 90/100 « Le Dragon de Quintus 2018 est un Saint-Émilion audacieux et juteux à boire dès maintenant et dans les prochaines années. La cerise noire, la prune, le tabac, les herbes séchées et la menthe s'ouvrent joliment. Une bonne cuillerée (25 %) de cabernet franc aide à conserver la fraîcheur, mais il est impossible d'échapper à la maturité naturelle de l'année. »
Plus infusé qu'extrait, finement boisé, avec un bel équilibre entre le fruit frais et le velours de ses tanins, ce Dragon sapide et sensuel est plus qu'un second vin.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin - septembre 2019) : 90/100 « Le Dragon de Quintus 2017 a un bouquet parfumé, assez floral, avec des fruits rouges, des prunes rouges, des notes de marmelade et de coquilles d'huîtres. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins et une acidité bien jugée. Ce Deuxième Vin est d'une grande nonchalance. Il est ouvert et accessible, avec des notes poivrées en fin de bouche. Délicieux. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
La millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (avril 2022) : 95/100 « Couleur sombre, profonde, pourpre et vive. Nez intense, fin, fruité, pur, subtil et floral. Minutieux en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, complexe et profond, avec de la classe dans le toucher, le vin prend de la puissance entre le milieu et la finale. Il s'achève long, suave, sèveux et délicieux. Il s'agit là de l'expression la plus aboutie que je connaisse dans Quintus à cet âge. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
La millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 96/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez plus discret que Dragon, au fruité mûr et frais. Minutieux en entrée de bouche, bien plus ample au milieu, avec du gras et un corps fondant, ce vin s'installe lentement dans le palais. Particulièrement savoureux, il retourne des nuances fraîches dans la persistance. C'est très difficile à cracher. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le Quintus 2020 présente un bouquet merveilleusement harmonieux de fruits noirs, de bruyère, d'une touche de menthe sauvage et d'un chêne magnifiquement intégré. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins soyeux et une fine acidité. Son style est peut-être moderne, mais même à l'aveugle, il respire la classe et le raffinement. Malgré son taux d'alcool élevé, il réussit à tout faire. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (Neal Martin - Août 2020) : 94/100 « Le Quintus 2016 présente un bouquet très noble, avec une belle définition de la mûre et de la baie, un chêne merveilleusement intégré et un véritable sens de la concentration et de l'équilibre. Il s'agit d'un Saint-Émilion magnifiquement élaboré et de l'une des meilleures versions de Quintus à ce jour. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
La millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 91+/100 « Le Quintus 2014 est très jeune au nez, avec des senteurs vibrantes, presque médocaines, de fruits rouges rameux, de cèdre, de fumée et d'un soupçon de copeaux de crayon. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples et fins, encore une fois dans le style de la Rive Gauche, avec une légère adhérence en fin de bouche. Ce vin pourrait en fait bénéficier de quelques mois supplémentaires en bouteille. »