Date de disponibilité:
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 96/100 « Léoville Poyferré 2014 possède un nez magnifique qui se démarque de ses pairs : plus concentré, plus délimité et d'une profondeur étonnante, avec une complexité qui ne se révèle qu'à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, mais ce Saint-Julien a une véritable colonne vertébrale et de la densité, avec une substance impressionnante en fin de bouche. L'un des meilleurs vins de la rive gauche. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Le vin est marqué par une maturité du fruit plus poussée que chez les voisins. [...] Un choix stylistique qui amène à produire un vin taillé pour la garde, prometteur, mais peu ouvert aujourd’hui. »
J.M Quarin (Février 2024) : 94/100
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2018) : 98/100 « Voici un très solide candidat dans la course au sommet du millésime 2015. Massif, dense, mais aussi très subtil, il impose sa bouche de grande race et surtout des tanins très nobles. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2017) : 97/100 « Léoville-Poyferré 2015 est spectaculaire. Noir comme de l’encre, dense et explosif, le 2015 possède une richesse hors norme, aux lignes souples, sans aspérités et d’un équilibre exceptionnel. Tous les composants sont parfaitement assemblés, avec des nuances de fruits bleus et pourpres, chocolat, cuir neuf, confi ture de myrtilles, épices exotiques et violette qui sont toutes magnifiquement tracées. Frais, vibrant et absolument fascinant, ce Léoville-Poyferré est l’un des vins du millésime. À ne pas manquer ! »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 95/100 « Léoville-Poyferré 2015 présente un nez plus fruité et plus affirmé que le 2014, avec des arômes somptueux de baies rouges, fleur d’oranger et gousse de vanille. La bouche est moyennement corsée avec des tanins sveltes, doux et sensuels. Il ne possède peut-être pas la tension du 2014, mais il y a tant de volume et d’harmonie en finale qu’il est presque impossible d’y résister. Splendide. »
J-M Quarin (décembre 2019) : 18.5/20 « Riche et complexe en milieu de bouche, le vin fond au palais et s’étire très longtemps sur une longue finale, à la tannicité enveloppée. C’est délicieux. »