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Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « Le 2018 est une référence, la matière est lumineuse, le fruit, très mûr. Il n'en demeure pas moins éclatant, avec une note mentholée en finale. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Le 2020 confirme ses admirables dispositions et s'impose comme le plus abouti au domaine. Le fruit est superbe d'éclat, bien juteux et savoureux, avec de jolis tanins gracieux et une finale acidulée. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 90/100 « Le nez du Pédesclaux 2020 est franc et bien délimité, avec une dominante de fruits noirs mêlée à des senteurs de pot-pourri et de cèdre. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins juteux et mûrs, une belle profondeur et une belle cohésion. Une judicieuse touche d'épices persiste sur la finale poivrée. Il manque peut-être d'un peu de sophistication en ce moment, mais j'apprécie cette fin de bouche teintée de poivron. Il devrait bénéficier de trois ou quatre années supplémentaires en cave. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « Le 2018 est une référence, la matière est lumineuse, le fruit, très mûr. Il n'en demeure pas moins éclatant, avec une note mentholée en finale. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 92/100 « Pédesclaux 2017 s'est vraiment bien assemblé depuis que je l'ai dégusté en barrique. Souple et engageant, le 2017 montre tout l'éclat et les contours souples du merlot, qui constitue près de la moitié de l'assemblage. Des notes de cuir, de fumée et de tabac se mêlent à un noyau de cerise noire et de prune. Le 2017 est engageant, merveilleusement invitant et tout simplement délicieux. »
J-M Quarin (octobre 2020) : 91/100 « Ce vin veloute jusqu’en finale où brillent de jolies saveurs pures et des tannins fins. C’est très bon. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 94/100 « Pédesclaux 2016 présente un bouquet très concentré de mûre, de graphite, des notes de tabac et un léger parfum granitique - très Pauillac. La bouche est moyennement corsée avec des tanins soyeux, une profondeur impressionnante, une poignée douce et une ligne d'acidité meurtrière. J'adore l'harmonie et la précision de ce Pédesclaux, qui est probablement le meilleur à ce jour. Hautement recommandé. »
Après 15 ans d’errance, Lilian-Ladouys a été racheté en 2008 par M. Lorenzetti. Comme à Pédesclaux, des investissements hors du commun portent leurs fruits : Lilian-Ladouys fait à nouveau partie des plus beaux crus bourgeois de Saint-Estèphe.
Et même du Médoc, en gagnant la Coupe des crus bourgeois avec son 2012, ou en étant noté 90/100 par M. Galloni (Vinous) pour son 2014.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - février 2017) : 90/100 « Lilian Ladouys 2014 est doux, dodu et incroyablement séduisant. Des notes éclatantes de cerise rouge, de framboise, de pétale de rose, de menthe et d'épices douces sont toutes poussées vers l'avant. C'est une bouteille de vin absolument délicieuse et joyeuse à déguster pour son fruit primaire et son caractère racé. »
Après 15 ans d’errance, Lilian-Ladouys a été racheté en 2008 par M. Lorenzetti. Comme à Pédesclaux, des investissements hors du commun portent leurs fruits : Lilian-Ladouys fait à nouveau partie des plus beaux crus bourgeois de Saint-Estèphe.
Et même du Médoc, en gagnant la Coupe des crus bourgeois avec son 2012, ou en étant noté 90/100 par M. Galloni (Vinous) pour son 2014.