Date de disponibilité:
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Clerc Milon 2018 se montre magnifiquement aujourd'hui. De magnifiques notes savoureuses du cabernet sauvignon s'ouvrent en premier, montrant l'orientation moderne de Clerc Milon vers un vin plus axé sur le cabernet. Les fleurs séchées, le menthol, la réglisse, le graphite et la cerise noire s'entremêlent sans effort. Les tannins se sont un peu assagis depuis la dégustation en primeur, ce qui est de très bon augure pour l'avenir. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « En 2018, le cru gère parfaitement la richesse du millésime. Le vin explose de fruit tout en étant affuté. Il garde un côté très énergique et tonique. »
En Magnum (avril 2021) : 95/100 « Forte couleur, corps remarquable par son côté enveloppant, lié à une texture magistrale, boisé intégré et sensible, longueur, complexité, avec en évidence une haute maturité finale du raisin. Pauillac classique et très bien construit. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 94/100 « 2020 est une nouvelle étape. Il est en phase avec nos attentes et son énergie remarquable est poussée par un bel éclat de fruits rouges juteux. Un vin tendu et enrobé à la fois, à la jolie texture de finale. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le 2020 d'Armailhac a un nez plus en retrait que ses pairs, mais il s'épanouit progressivement pour révéler de merveilleux parfums de mûre, de crayon à papier et de violette, qui sont très délimités et précis. La bouche est moyennement corsée avec de succulents fruits noirs mûrs, un Pauillac assez « juteux » avec beaucoup de concentration qui masque la struture sous-jacente. Très persistant en finale avec une pointe de poivre noir en arrière-goût, c'est un autre Pauillac de longue haleine. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 93/100
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 90/100 « D'Armailhac 2019 est très parfumé, assez floral au nez, des touches de menthe et de cassis l'épinglent comme un Pauillac. La bouche est moyennement corsée avec une légère amertume à l'entrée. Les tannins sont plus rugueux que ceux de ses pairs, mais équilibrés avec une finale fraîche et saline, un peu sinueuse. »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 94/100 « Ce 2019 au profil droit et gourmand déploie une jolie trame, avec de la sève et en milieu de bouche bien construit. »
J-M Quarin (mars 2022) : 93/100 « Ample à l'attaque, juteux en milieu de bouche, bien constitué, savoureux et complet, le vin s'achève long et noble, avec beaucoup de goût et un brin d'austérité positive. C'est très bon. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 94/100 « Très ample et solaire, ce millésime 2018 impressionne par sa densité, ses notes de cerises noires et le côté voluptueux de sa finale. »
Vinous (N. Martin - mars 2021) : 92/100 « Armailhac 2018 est brillant, frais et si accueillant, tout comme il l'était en primeur. La cerise rouge sucrée, le cèdre, les épices, le tabac et l'anis ajoutent une belle complexité aromatique. Toute l'intensité de l'année est bien présente et pourtant la personnalité de l'Armailhac est également évidente. Je mettrais le 2018 en cave pendant au moins quelques années, pour permettre à la graisse de bébé de se dissiper. Il y a un peu plus d'ampleur et de richesse grâce à des rendements de seulement 32 hectolitres par hectare, au lieu des quelque 42 hectolitres habituels. Ce millésime a été marqué par le stress thermique, de petites baies et un rapport jus/peau plus faible, ainsi que par quelques parcelles touchées par le mildiou. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 93/100 « Armailhac 2016, qui a été mis en bouteille en mai 2018, présente un bouquet élégant qui se déploie dans le verre, offrant des mûres, de la bruyère et une touche de cèdre et de menthe. La bouche est moyennement corsée avec des tanins denses, agrippante en bouche et assez volumineuse, avec peut-être plus de densité sur la finale solide, presque large d'épaules, par rapport au Clerc-Milon. Ce vin répond à toutes les attentes que j'avais formulées lors de ma dégustation en barrique et est tout simplement l'un des meilleurs vins d'Armailhac jamais produits. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Le 2015 se montre aussi très avenant, charmeur, fondu, avec un joli grain de tanins. »
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 91/100 « Le 2015 d'Armailhac a un bouquet précis, parfumé de graphite, avec des fruits noirs lacés de légers arômes de pétales de rose - discret mais engageant. La bouche moyennement corsée offre des tannins assez fermes encadrant des fruits sombres et crépusculaires agrémentés d'épices brunes et de sauge. J'aimerais juste un peu plus d'éclat et de verve en fin de bouche, mais sinon, c'est très bien. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2012 dans la presse :
En Magnum (2023) : 92/100 « Nez magnifique, pur, subtil dans les notes épicées classiques de cèdre, frais et complexe, d'une étonnante palette de dégradés dans les sensations tactiles qui rapprochent le vin du caractère Lafite plus que celui de Mouton, mais c'est bien ce que le parcellaire du cru permet. Millésime méconnu et souvent remarquable à Saint-Julien et à Pauillac. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2010 dans la presse :
En Magnum (2023) : 90/100 « Vin de forte constitution, viril dans sa texture et son retour de tanin encore un peu ferme et astringent, caractère pauillac marqué, sur le cèdre plus que sur le tabac blond, moins harmonieux en ce moment que le 2009, mais impressionnant et construit pour la garde. »
Vinous (N. Martin - Février 2020) : 91/100 « Le 2010 d'Armailhac a un bouquet net et bien défini de mûre, de coulis de framboise, de cèdre et d'épices brunes, assez complexe et joliment concentré. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples et une fine perle d'acidité. À dix ans d'âge, ce vin est assez savoureux, avec du poivre noir et un soupçon de soja en fin de bouche. Très bon. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2021dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Une réussite dans un profil élégant et racé. La bouche est précise, ciselée, d'une très belle intensité de saveurs, et conclut par une finale ronde et suave. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Clerc Milon 2021 est encore un bel affort du château. Il offre un mélange séduisant de racine de fruit et de caractère savoureux des cabernets. Les herbes grillées, le graphite, la menthe, la lavande et le cuir ajoutent des couches de nuances. La finale longue et persistante est de toute beauté. Clerc Milon est en pleine ascension ces derniers temps. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 93/100 « Le Clerc-Milon 2019 a un bouquet relativement léger, bien qu'il se développe dans le verre, avec des fruits rouges, des herbes mélangées et du cuir. La bouche est moyennement corsée avec une ouverture souple et harmonieuse. La texture est lisse et l'acidité fine. La finale est l'une des plus sensuelles et des plus raffinées. Très bon ».
J-M Quarin (mars 2022) : 95/100 « Ensemble superbe et plus précis que jamais. »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95/100 « Construit sur une importante proportion de cabernet, ce Clerc Milon impose se très belle définition et sa bouche longiligne et sapide. Un millésime de référence pour le cru. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Clerc Milon 2018 se montre magnifiquement aujourd'hui. De magnifiques notes savoureuses du cabernet sauvignon s'ouvrent en premier, montrant l'orientation moderne de Clerc Milon vers un vin plus axé sur le cabernet. Les fleurs séchées, le menthol, la réglisse, le graphite et la cerise noire s'entremêlent sans effort. Les tannins se sont un peu assagis depuis la dégustation en primeur, ce qui est de très bon augure pour l'avenir. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « En 2018, le cru gère parfaitement la richesse du millésime. Le vin explose de fruit tout en étant affuté. Il garde un côté très énergique et tonique. »
En Magnum (avril 2021) : 95/100 « Forte couleur, corps remarquable par son côté enveloppant, lié à une texture magistrale, boisé intégré et sensible, longueur, complexité, avec en évidence une haute maturité finale du raisin. Pauillac classique et très bien construit. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2019) : 95/100 Coup de ♥ « Difficile de résister au charme de ce vin tout en puissance et en raffinement. Tout est en place, il exprime beaucoup de saveurs, avec des tanins au grain très fin, et surtout s'allonge longuement. »
Vinous (Neal Martin- janvier 2020) : 93/100 « Clerc-Milon 2016 présente un bouquet vif, imprégné de graphite et de fruits noirs bien définis, avec des notes de pivoine et de pétales d'iris en filigrane. La bouche classique est moyennement corsée, avec des tanins à grain fin, une acidité bien dosée et juste ce qu'il faut d'austérité vers une finale avec une pointe d'amertume. Excellent. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2019) : 95/100 Coup de ♥ « Difficile de résister au charme de ce vin tout en puissance et en raffinement. Tout est en place, il exprime beaucoup de saveurs, avec des tanins au grain très fin, et surtout s'allonge longuement. »
Vinous (Neal Martin- janvier 2020) : 93/100 « Clerc-Milon 2016 présente un bouquet vif, imprégné de graphite et de fruits noirs bien définis, avec des notes de pivoine et de pétales d'iris en filigrane. La bouche classique est moyennement corsée, avec des tanins à grain fin, une acidité bien dosée et juste ce qu'il faut d'austérité vers une finale avec une pointe d'amertume. Excellent. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le Petit Mouton 2020 présente un bouquet séduisant avec un mélange de fruits rouges et noirs, de cèdre et de mine de crayon, qui semble gagner en précision dans le verre - un style très classique. La bouche est moyennement corsée avec un doux noyau de cassis et de mûre, très composée et très pure. La finale à la texture de cachemire s'épanouit glorieusement. Il s'agit d'un excellent pauillac pour une longue garde (écrit avant que son identité ne soit révélée). »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Tel qu'il était en barrique, le Petit-Mouton 2018 est charnu, rayonnant et très facile à déguster. Des contours souples et des tanins soyeux ajoutent à son allure considérable. En raison des faibles rendements, le Petit-Mouton a été entièrement élevé en chêne neuf. Riche, somptueux et audacieux à souhait, le 2018 est un vin de rock star. »
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 92+/100 « Le Petit-Mouton 2017 est doté d'une richesse et d'une intensité formidables. Profond, ample et structuré, il déborde de fruits rouges et violacés d'encre, de grenade, d'épices, de cuir, d'orange sanguine, de poivre blanc et de fleurs sauvages. Le 2017, puissant et cossu, regorge d'une énergie explosive qui ne demande qu'à être libérée. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 97/100 « Ce pauillac affiche beaucoup de distinction. Les cabernets (90 %) sont d’une admirable définition. Le vin tapisse la bouche et livre un équilibre frais (12,8°). La qualité des tanins est magnifique, avec un toucher très fin et beaucoup de suavité. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 95/100 « Le Mouton-Rothschild 2015 a plus d'intensité fruitée au nez que le Château Margaux 2015 et aussi plus de fruits rouges que de fruits noirs : les senteurs de framboise et de fraise des bois sont plus expressives que celles de mûre et de biaire. Le chêne est bien intégré ici, même si j'aurais souhaité un peu plus de délimitation. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples et des fruits rouges et noirs vivaces, mais c'est la texture soyeuse qui vous séduit vraiment. Il n'y a pas un seul cheveu qui dépasse sur la finale. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2011 dans la presse :
Vinous (N. Martin - septembre 2021) : 92/100 « Mouton-Rothschild 2011 est étonnamment réduit au nez et a eu besoin de beaucoup d'encouragement. Le cuir, le moka, la réglisse se développent dans le verre, assez bretté par rapport à ses pairs. La bouche est moyennement corsée, charnue et mûre, ce moka se traduisant par le nez, mentholé avec des touches de poivre blanc en finale. Un Pauillac très correct, un effort solide plutôt que spectaculaire de la part de Mouton cette année. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2007 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2016) : 94/100 « Le Mouton-Rothschild 2007 est un vin magnifique, surtout dans le contexte du millésime. Des arômes ouverts et expressifs ainsi qu'un fruité affirmé font du 2007 un excellent choix à boire dès maintenant et au cours des deux prochaines décennies environ. Bien que le 2007 ne soit pas un Mouton épique, c'est sans aucun doute l'un des meilleurs millésimes récents à boire actuellement. La fumée, le tabac, le cèdre et la réglisse apportent les dernières nuances. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2006 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2016) : 92/100 « Mouton-Rothschild 2006 est sombre, puissant et intense, avec des tannins fermes qui ont besoin de temps pour s'adoucir. C'est un Mouton particulièrement sombre, sombre, avec des notes de fruits noirs, de fumée, de menthol, de gravier et de charcuterie. De légères notes végétales soutiennent le fruit. Je ne suis pas sûr que le 2006 ait suffisamment de fraîcheur pour être un vin de longue garde ou qu'il ait la profondeur de fruit nécessaire pour résister aux tannins. »