Date de disponibilité:
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 94/100 « Pichon-Longueville Comtesse de Lalande 2010 est à nouveau d'une couleur très profonde. Il a un nez compact qui demande à être aéré, s'ouvrant sur des arômes de mûre, de coulis de framboise, de graphite et d'iris léger, tous bien définis mais laissant entendre qu'il a plus à donner dans le futur. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes, une fine acidité, un style un peu poivré avec une finale douce et harmonieuse, plus proche du Saint-Julien. C'est un Pauillac extrêmement charmant et buvable. »
Second vin de Pichon-Comtesse de Lalande : velouté, généreux, aux tanins bien polis et aux arômes de fruits mûrs avec une note de cèdre très pauillacaise. Une valeur sûre et régulière, vite épanouie.
Second vin de Pichon-Comtesse de Lalande : velouté, généreux, aux tanins bien polis et aux arômes de fruits mûrs avec une note de cèdre très pauillacaise. Une valeur sûre et régulière, vite épanouie.
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 99/100 « La classe à l'état pur ! Ce 2020 déroule une matière subtile, soyeuse et soignée, avec des notes vibrantes de petits fruits et une délicatesse absolue dans son toucher de bouche. Des tanins de velours apportent le raffinement suprême à la finale. »
Vinous (Neal Martin - Novembre 2024) : 99/100 et #3 du Top 100 des vins de l'année 2024 « Pichon-Longueville Comtesse de Lalande 2020 présente l'un des profils aromatiques les plus opulents parmi les vins de Pauillac, avec des arômes de cerise noire, de cassis, de graphite et de cèdre. La bouche est moyennement corsée avec des tannins sveltes et une acidité argentée. D'une texture soyeuse, ce vin conserve un équilibre impressionnant en fin de bouche, supportant avec classe le poids du fruit. Il s'améliore à chaque tourbillon, même si la bouteille que j'ai dégustée juste après la mise en bouteille avait un peu plus de précision. Il s'agit néanmoins d'un fabuleux pauillac qui flirte avec la perfection. »
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2023) : 97/100 « Les grands cabernets (sauvignon et franc) apportent la colonne vertébrale au vin. La bouche traçante, précise, mais sans austérité ; on y retrouve le velouté habituel du cru en finale. »
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 98/100 « Le Pichon-Longueville Comtesse de Lalande 2019 demande plus d'efforts dans le verre, mais il récompense la patience avec un fruit noir fascinant infusé de graphite, un style classique sans équivoque, le terroir étant omniprésent. La bouche est moyennement corsée avec une merveilleuse sapidité, un équilibre magnifique et une finale pure et puissante qui vous fait souhaiter pouvoir construire une machine à remonter le temps et le déguster dans 20 ans. Sublime ».
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 97/100 « Pichon-Longueville Comtesse de Lalande 2016 est très expressif au nez, affichant plus de fruits rouges que le Lynch-Bages 2016, mais conservant le style classique de Pauillac grâce à des senteurs de tabac et de cèdre qui se manifestent à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples et une fine perle d'acidité. Très harmonieuse, elle mène à une finale pure et très détaillée, presque pixelisée, qui est tout à fait séduisante. »