Date de disponibilité:
Appliquant les mêmes principes de culture et de vinification qu’à Angélus, Hubert de Boüard a porté son château de Lalande de Pomerol en tête de son appellation. Vins riches et luxueusement élevés, d’un charme fou, à chaque millésime encensés par les critiques. Exceptionnel millésime 2017, dont l'infime production (rescapée du gel) n'est proposée qu'en magnums.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 93/100 « La Fleur de Boüard 2020 est magnifique. Des fleurs fraîchement cyniques, des fruits rouges brillants, de l'orange sanguine, de la menthe et de la cannelle confèrent une vibration notable à ce vin de poids moyen de la famille Boüard. C'est un plaisir de voir un style qui montre une plus grande fraîcheur qu'à ses débuts ici. »
Coralie de Boüard (fille d'Hubert de Boüard, propriétaire d'Angélus) s'est lancée dans un nouveau projet à Montagne Saint-Émilion. Dès son premier millésime (2016), Clos de Boüard est déjà un succès, gourmand, charnu, et diablement séducteur (85% merlot). "Une adresse de confiance pour l'amateur", selon Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (Neal Martin - février 2020) : 92/100 « Clos de Boüard 2017 offre au nez de délicieux parfums de mûre, de brioche et de tabac léger, qui se révèlent joliment concentrés. La bouche est moyennement corsée avec une excellente trame acide. La texture est veloutée et très harmonieuse, avec de subtiles notes de goudron et de graphite en fin de bouche. Il s'agit d'un excellent Montagne Saint-Émilion de la famille de Boüard. Apogée 2022-2036. » (note remarquable pour un vin à moins de 25,00 € la bouteille)
Coralie de Boüard (fille d'Hubert de Boüard, propriétaire d'Angélus) s'est lancée dans un nouveau projet à Montagne Saint-Émilion. Dès son premier millésime (2016), Clos de Boüard est déjà un succès, gourmand, charnu, et diablement séducteur (85% merlot). "Une adresse de confiance pour l'amateur", selon Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (Neal Martin - février 2020) : 92/100 « Clos de Boüard 2017 offre au nez de délicieux parfums de mûre, de brioche et de tabac léger, qui se révèlent joliment concentrés. La bouche est moyennement corsée avec une excellente trame acide. La texture est veloutée et très harmonieuse, avec de subtiles notes de goudron et de graphite en fin de bouche. Il s'agit d'un excellent Montagne Saint-Émilion de la famille de Boüard. Apogée 2022-2036. » (note remarquable pour un vin à moins de 25,00 € la bouteille)
Coralie de Boüard (fille d'Hubert de Boüard, propriétaire d'Angélus) s'est lancée dans un nouveau projet à Montagne Saint-Émilion. Dès son premier millésime (2016), Clos de Boüard est déjà un succès, gourmand, charnu, et diablement séducteur (85% merlot). "Une adresse de confiance pour l'amateur", selon Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (février 2019) : 90/100 « Couleur sombre, intense, belle et même profonde. Nez moyennement aromatique, fruité, mûr et suave. Caressant à l’attaque et finement charnu, le vin se développe savoureux, raffiné au toucher et très bien équilibré. Il s’envole en finale, long, séveux, savoureux et dense. C’est très bon ! Un superbe Outsider. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 91/100 « Le Clos de Boüard 2016 est un vin riche et puissant. La cerise rouge foncée, la framboise, le moka, la réglisse et le pétale de rose s'épanouissent dans ce Montagne Saint-Emilion succulent et puissant. Il s'agit d'un début impressionnant. Malgré cela, il sera intéressant de voir si ce vin peut être plus nuancé dans les prochains millésimes. »
Appliquant les mêmes principes de culture et de vinification qu’à Angélus, Hubert de Boüard a porté son château de Lalande de Pomerol en tête de son appellation. Vins riches et luxueusement élevés, d’un charme fou, à chaque millésime encensés par les critiques. Exceptionnel millésime 2017, dont l'infime production (rescapée du gel) n'est proposée qu'en magnums.
Constatant l'ampleur des dégâts (95%) de la gelée de fin avril 2017 à La Fleur de Boüard, Hubert de Boüard et sa fille Coralie n'ont pour autant pas baissé les bras et ont décidé de bichonner les quelques grappes restantes.
100% merlot, profond, charnu, suave et distingué, caressant en milieu de bouche et concluant sur une finale élancée et plus énergique, leur superbe 2017 est une étonnante réussite, sûrement rendue possible par l'infime récolte (20 hl produits sur 40 ha de vignes, soit un rendement minuscule de 0,5 hl/ha, à peine un centième d'une vendange normale !) .
Et, faisant d'une pierre deux coups, ils en ont profité pour célébrer leur 20ème année à La Fleur de Boüard en mettant leur 2017 uniquement en 1000 magnums numérotés spécialement décorés par l'artiste Petrusse Reynen.
Second vin d’Angélus, élaboré dans le même style cossu et distingué qui fait la réputation et le succès international du cru.
Second vin d’Angélus, élaboré dans le même style cossu et distingué qui fait la réputation et le succès international du cru.
La millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « La trame ample, structurée, posée sur des tanins soyeux et fondus, s'étire avec longueur et volupté. »
Brillant jusque dans les petits millésimes (1992 fut un chef-d'œuvre), Angélus est devenu en 20 ans une star mondiale en produisant des vins denses, charnus et supérieurement veloutés tout en demeurant distingués.
La grande classe !
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 96/100 « Le vin a conservé sa robe violine et les parfums de fruits noirs de ses débuts. Le fruit soyeux, crémeux, et le velouté sont pour l'instant sous l'emprise d'un boisé tourbé. Mais grâce à la qualité très homogène de ses cabernets francs, Angélus 2019 présente, sous une tension ciselée, une matière imposante, stylée, à l'image du château. »
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 97/100 « L'Angélus 2019 a un nez dominé par le Cabernet Franc, des touches de Earl Grey et de cendres infusant le fruit noir presque sulfureux. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, tendue et croquante, une structure assez fine et arquée qui délivre une tension et une minéralité merveilleuses en finale. Sérieux. »