Date de disponibilité:
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le Petit Mouton 2020 présente un bouquet séduisant avec un mélange de fruits rouges et noirs, de cèdre et de mine de crayon, qui semble gagner en précision dans le verre - un style très classique. La bouche est moyennement corsée avec un doux noyau de cassis et de mûre, très composée et très pure. La finale à la texture de cachemire s'épanouit glorieusement. Il s'agit d'un excellent pauillac pour une longue garde (écrit avant que son identité ne soit révélée). »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 94/100 « 2020 est une nouvelle étape. Il est en phase avec nos attentes et son énergie remarquable est poussée par un bel éclat de fruits rouges juteux. Un vin tendu et enrobé à la fois, à la jolie texture de finale. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le 2020 d'Armailhac a un nez plus en retrait que ses pairs, mais il s'épanouit progressivement pour révéler de merveilleux parfums de mûre, de crayon à papier et de violette, qui sont très délimités et précis. La bouche est moyennement corsée avec de succulents fruits noirs mûrs, un Pauillac assez « juteux » avec beaucoup de concentration qui masque la struture sous-jacente. Très persistant en finale avec une pointe de poivre noir en arrière-goût, c'est un autre Pauillac de longue haleine. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 93/100
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 94/100 « Ce 2019 au profil droit et gourmand déploie une jolie trame, avec de la sève et en milieu de bouche bien construit. »
J-M Quarin (mars 2022) : 93/100 « Ample à l'attaque, juteux en milieu de bouche, bien constitué, savoureux et complet, le vin s'achève long et noble, avec beaucoup de goût et un brin d'austérité positive. C'est très bon. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 94/100 « Très ample et solaire, ce millésime 2018 impressionne par sa densité, ses notes de cerises noires et le côté voluptueux de sa finale. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Le 2015 se montre aussi très avenant, charmeur, fondu, avec un joli grain de tanins. »
La Revue du Vin de France (novembre 2017 - Hors-série n°33) : 17/20 « Il explose de fruits au nez [...] bouche pleine et enrobée qui a conservé toute sa fraîcheur. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2012 dans la presse :
En Magnum (2023) : 92/100 « Nez magnifique, pur, subtil dans les notes épicées classiques de cèdre, frais et complexe, d'une étonnante palette de dégradés dans les sensations tactiles qui rapprochent le vin du caractère Lafite plus que celui de Mouton, mais c'est bien ce que le parcellaire du cru permet. Millésime méconnu et souvent remarquable à Saint-Julien et à Pauillac. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2010 dans la presse :
En Magnum (2023) : 90/100 « Vin de forte constitution, viril dans sa texture et son retour de tanin encore un peu ferme et astringent, caractère pauillac marqué, sur le cèdre plus que sur le tabac blond, moins harmonieux en ce moment que le 2009, mais impressionnant et construit pour la garde. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2021dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Une réussite dans un profil élégant et racé. La bouche est précise, ciselée, d'une très belle intensité de saveurs, et conclut par une finale ronde et suave. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Clerc Milon 2021 est encore un bel affort du château. Il offre un mélange séduisant de racine de fruit et de caractère savoureux des cabernets. Les herbes grillées, le graphite, la menthe, la lavande et le cuir ajoutent des couches de nuances. La finale longue et persistante est de toute beauté. Clerc Milon est en pleine ascension ces derniers temps. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2019 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2022) : 95/100 « Ensemble superbe et plus précis que jamais. »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95/100 « Construit sur une importante proportion de cabernet, ce Clerc Milon impose se très belle définition et sa bouche longiligne et sapide. Un millésime de référence pour le cru. »
Vinous (N. Martin - février 2022) : 93/100 « Il y a plus d'élégance que l'année dernière. Il devrait évoluer vers un Clerc-Milon de premier ordre. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « En 2018, le cru gère parfaitement la richesse du millésime. Le vin explose de fruit tout en étant affuté. Il garde un côté très énergique et tonique. »
En Magnum (avril 2021) : 95/100 « Forte couleur, corps remarquable par son côté enveloppant, lié à une texture magistrale, boisé intégré et sensible, longueur, complexité, avec en évidence une haute maturité finale du raisin. Pauillac classique et très bien construit. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « En 2018, le cru gère parfaitement la richesse du millésime. Le vin explose de fruit tout en étant affuté. Il garde un côté très énergique et tonique. »
En Magnum (avril 2021) : 95/100 « Forte couleur, corps remarquable par son côté enveloppant, lié à une texture magistrale, boisé intégré et sensible, longueur, complexité, avec en évidence une haute maturité finale du raisin. Pauillac classique et très bien construit. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2019) : 95/100 Coup de ♥ « Difficile de résister au charme de ce vin tout en puissance et en raffinement. Tout est en place, il exprime beaucoup de saveurs, avec des tanins au grain très fin, et surtout s'allonge longuement. »
Vinous (Neal Martin- janvier 2020) : 93/100 « Clerc-Milon 2016 présente un bouquet vif, imprégné de graphite et de fruits noirs bien définis, avec des notes de pivoine et de pétales d'iris en filigrane. La bouche classique est moyennement corsée, avec des tanins à grain fin, une acidité bien dosée et juste ce qu'il faut d'austérité vers une finale avec une pointe d'amertume. Excellent (et moins "fermé" que je ne l'avais trouvé 12 mois plus tôt). Apogée 2021-2036. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2019) : 95/100 Coup de ♥ « Difficile de résister au charme de ce vin tout en puissance et en raffinement. Tout est en place, il exprime beaucoup de saveurs, avec des tanins au grain très fin, et surtout s'allonge longuement. »
Vinous (Neal Martin- janvier 2020) : 93/100 « Clerc-Milon 2016 présente un bouquet vif, imprégné de graphite et de fruits noirs bien définis, avec des notes de pivoine et de pétales d'iris en filigrane. La bouche classique est moyennement corsée, avec des tanins à grain fin, une acidité bien dosée et juste ce qu'il faut d'austérité vers une finale avec une pointe d'amertume. Excellent (et moins "fermé" que je ne l'avais trouvé 12 mois plus tôt). Apogée 2021-2036. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 97/100 « Ce pauillac affiche beaucoup de distinction. Les cabernets (90 %) sont d’une admirable définition. Le vin tapisse la bouche et livre un équilibre frais (12,8°). La qualité des tanins est magnifique, avec un toucher très fin et beaucoup de suavité. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».