Date de disponibilité:
Cru historique de Saint-Estèphe (deuxième vignoble le plus ancien de l’appellation), Tronquoy est idéalement situé sur la fameuse « Terrasse 3 », aux graves argileuses profondes (jusqu’à 8m). Les 30 hectares du vignoble ont été rachetés par MM. Bouygues peu après Montrose, et sont aujourd’hui conduits avec le même soin et la même volonté d’incarner le renouveau de Bordeaux : cuvier moderne, conversion à la viticulture biologique, recherche de fraîcheur et d’éclat dans les vins…
Encore trop peu connu, Tronquoy est actuellement la pépite en mutation de Saint-Estèphe, proposant tout à la fois des vins accessibles dans leur jeunesse (excellent 2019, noté 93/100 par M. Quarin) et disposant d’un très bon potentiel de garde (2012 aujourd'hui à son apogée, avec une texture crémeuse qui le rend gourmand).
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Le millésime 2019 se déguste aujourd'hui fort bien, avec un noble début d'évolution au nez, des notes de tabac, de cèdre et de poivre. La bouche, fondue, bien en place, est étirée par des tanins souples. »
Vinous (N. Martin - Janvier 2023) : 92/100 « Le Tronquoy-Lalande 2019 a un nez concentré avec des fruits noirs assez intenses, des touches de mûre de Boysen, un peu plus riche que certains de ses pairs. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière dense, puissante, presque bourrue, très saline en bouche, mais je recherche plus de précision et de finesse en finale. Cela pourrait bien se développer avec le temps. Dégusté à l'aveugle lors de la dégustation annuelle de Southwold.»
Cru historique de Saint-Estèphe (deuxième vignoble le plus ancien de l’appellation), Tronquoy-Lalande est idéalement situé sur la fameuse « Terrasse 3 », aux graves argileuses profondes (jusqu’à 8m). Les 30 hectares du vignoble ont été rachetés par MM. Bouygues peu après Montrose, et sont aujourd’hui conduits avec le même soin et la même volonté d’incarner le renouveau de Bordeaux : cuvier moderne, conversion à la viticulture biologique, recherche de fraîcheur et d’éclat dans les vins…
Encore trop peu connu, Tronquoy-Lalande est actuellement la pépite en mutation de Saint-Estèphe, proposant tout à la fois des vins accessibles dans leur jeunesse (excellent 2019, noté 93/100 par M. Quarin) et disposant d’un très bon potentiel de garde (2012 aujourd'hui à son apogée, avec une texture crémeuse qui le rend gourmand).
Le Ch. Tronquoy-Lalande est renommé Tronquoy (tout court) à compter du millésime 2019.
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « À sa race habituelle et à sa profondeur, Montrose 2021 ajoute un soupçon d’éclat et une grande distinction dans ses tanins. Un vin puissant certes, mais terriblement civilisé. »
J-M Quarin (avril 2022) : 96/100 « Minutieux en entrée de bouche, très aromatique et complexe au milieu, le vin grandit en finale, très frais, très savoureux, plus floral que d'habitude et néanmoins profond. Grande persistance à la tannicité raffinée et plus parfumée que de coutume à cet âge. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « Un grand Montrose assurément que le 2020 du cru. [...] La bouche conjugue avec une harmonie parfaite puissance, douceur, finesse, fraîcheur, longueur. L'élégance même. »
Vinous (N. Martin - février 2023) : 99/100 « Ce vin est beaucoup plus détaillé que le 2019 ou le 2018. C'est un Montrose symétrique, d'une précision et d'une minéralité infaillibles, dont la texture soyeuse dissimule la puissance sous-jacente. Il s'agit sans équivoque d'un vin brillant et d'une référence pour ces dernières années. »
Vinous (A. Galloni - février 2023) : 99/100 « Le 2020 est un classique moderne pour Montrose et l'un des grands vins de la rive gauche. »
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 98/100 « C'est le plus aristocratique de l’appellation, mais aussi le plus serré à ce stade. D’une précision superbe et d’une définition irréprochable, il n’a pas encore libéré tout son potentiel, mais le muscle est là et tout est en place pour donner, d’ici dix ans, un vin exceptionnel. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 96/100 « Le Montrose 2014 présente un bouquet engageant et complexe de fruits noirs, de boîte à crayons, de violette pressée et de terre chaude, qui gagne en intensité à l'aération. La bouche est moyennement corsée, avec d'excellents tanins qui encadrent le fruit noir riche en minéraux (en fait, c'est l'un des rives gauches 2014 les plus chargés en minéraux que j'ai dégustés), le chêne est parfaitement intégré et la finale a beaucoup de panache. Un vin magnifique qui entre à peine dans sa phase de dégustation. »
En Magnum (2022) : 93/100 « Arôme dévellopé de cèdre, terriblement marqué par le microclimat des graves de bord de Gironde dans son apparente souplesse, qui cache un excellent corps et surtout une élégance de toucher de bouche et d'élevage digne de notre attente. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2010 dans la presse :
J-M Quarin (février 2023) : 97/100 « Couleur sombre, intense et très légèrement évoluée. Nez remarquable pour sa maturité pleine de fraîcheur. Il sent bon les fruits noirs. Nuances boisées élégantes. A l'aveugle, la bouche rappelle château Latour. Le gras, la puissance, l'enveloppe du corps, associés à beaucoup de fruits, font merveille. Finale très savoureuse, à la fermeté légitime, parce que trop jeune. Nuance calcaire dans la persistance finale. Les gourmands le goûteront sinon attendre deux ou trois ans. »
En Magnum (2022) : 95/100 « Très riche de couleur et de texture, noblement mentholé, avec un velouté de texture particulier où l'on sent l'influence de Jean-Bernard Delmas et du style mis au point à Haut-Brion. Long, complexe, peut-être un peu moins typé grand médoc du nord que ne le seront les 2018 et les 2020. »