Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
Nous consulter pour la Corse, les Dom-Tom, l'export hors Europe.
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Il arrive parfois que l'adéquation entre le climat du millésime, la qualité du terroir et les soins apportés par les hommes atteignent la perfection. Nous gageons que les vins ci-dessous entreront dans la légende quand ils parviendront à leur apogée.
Nous vous les proposons uniquement en magnum car le vieillissement en grand volume est meilleur, et aussi parce que les émotions sont encore plus grandes quand elles sont partagées.
Chacun de ces magnums est présenté individuellement dans sa caisse bois d'origine, étampée du Château.
Toujours de haut niveau pour un prix raisonnable (à Pomerol), les vins de Gazin, moyennement corsés et marqués par la truffe, sont l'archétype de l'appellation et d’une régularité exemplaire millésime après millésime. « Un des meilleurs vins de Pomerol, avec d'heureuses surprises au bout de 10 ans » pour Bettane & Desseauve comme pour nous.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Le nez, encore discret, distille des notes de fruits noirs et d'épices douces. La bouche, plus riche et ample, s’appuie sur la fine tension amenée par le cabernet-sauvignon. »
Vinous (A. Galloni - Février 2023) : 95/100 « Le Gazin 2020 est un vin d'une précision et d'une classe totales. Vibrant, avec beaucoup de nuances, le 2020 est très impressionnant. [...] C'est un Gazin exceptionnel. »
Vinous (N. Martin - Février 2023) : 94/100 « C'est un merveilleux Pomerol qui a la substance nécessaire pour bénéficier d'une longue garde. »
Vieux Château Certan est certainement, avec une proportion importante de cabernet franc (30% en moyenne), le cru de Pomerol le plus classique, ferme et distingué. Il n’a pas le moelleux et le charme immédiat d’autres grands Pomerol, mais tient toujours toutes ces promesses au vieillissement. Très grande classe !
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 94/100 « Ce vin qui peut passer inaperçu lors de dégustation horizontales demeure pourtant un incontournable dans les grands millésimes. Sa couleur très dense déroute. En bouche, ce cru nous a habitués à plus de finesse. Ce millésime de puissance s'adoucit soudain dans une finale à la texture soyeuse, teintée d'épices douces et de fruits à noyau (prune, cerise). »
Éclatante réussite depuis 2015 de ce grand terroir juste en dessous d'Ausone : précision aromatique, profondeur superlative mais harmonieuse, un grand bravo à M. Mallet (propriétaire) et M. Derenoncourt (consultant). Depuis 2010, La Gaffelière vole incontestablement de succès en succès !
"On est ici au coeur de ce qu'il y a de plus sensuel et singulier à Saint-Émilion", d'après la Revue du Vin de France.
La millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 96/100 « Magnifique concentration, veloutée, suave, sans l'excès solaire de ce millésime. Au fil de l'aération dans le verre, l'expression monte encote crescendo. Le raffinement de matière le hisse avec grâce dans l'univers des grands Saint-Emilion. Une sensation crayeuse, calcaire, distingue sa finale. »
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 93+/100 « Le 2020 La Gaffelière présente un bouquet de style classique, tertiaire, parfumé de tabac, qui se déploie de façon agréable. La bouche est moyennement corsée avec des tanins plus légers que ceux de ses pairs, mais elle est toujours bien équilibrée et pure. Une finale caressante, teintée de poivre blanc et de clou de girofle, persiste en bouche. C'est un très bon vin, mais comme je l'ai déjà dit, il s'agit d'un Saint-Émilion assez arriéré, ce qui explique le signe plus et ma note plus basse qu'auparavant. »
Éclatante réussite depuis 2015 de ce grand terroir juste en dessous d'Ausone : précision aromatique, profondeur superlative mais harmonieuse, un grand bravo à M. Mallet (propriétaire) et M. Derenoncourt (consultant). Depuis 2010, La Gaffelière vole incontestablement de succès en succès !
"On est ici au coeur de ce qu'il y a de plus sensuel et singulier à Saint-Émilion", d'après la Revue du Vin de France.
La millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95-96/100 « Défendant un style classique mais expressif, construit sur la finesse en deuxième partie de bouche, ce cru au terroir exceptionnel n'a pas fini de surprendre. En dix ans, la part du merlot a diminué au profit de celle du cabernet franc qui atteint aujourd'hui 30% dans l'assemblage. Les raisins de nouvelles plantations apportent davantage de profondeur aux derniers millésimes et notamment à ce 2019 expansif et équilibré, d'une belle allonge. »
Conseillé par M. Derenoncourt, Clos Fourtet démontre avec régularité et sans ostentation que le haut du plateau de Saint-Émilion peut produire d'aussi grands vins que le coteau d'Ausone ou celui de Pavie. Sobriété, profondeur, finesse et intensité exemplaires le placent au niveau d’Angélus ou Pavie pour la moitié du prix.
Second vin d’Angélus, élaboré dans le même style cossu et distingué qui fait la réputation et le succès international du cru.
La millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « La trame ample, structurée, posée sur des tanins soyeux et fondus, s'étire avec longueur et volupté. »
Ni tout à fait Saint-Émilion, ni vraiment Pomerol, l’inimitable Cheval Blanc occupe une place à part au sein de la rive droite, sur le célèbre terroir de graves du plateau de Figeac. Inimitable car ses vins subjuguent dans une alchimie parfaite entre fraîcheur, subtilité et hédonisme, le tout sur des trames tanniques à la fois raffinées et fondantes, entre soie et cachemire.
La millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 95/100 « Le Cheval Blanc 2014 a un bouquet presque inspiré de la rive gauche, des parfums de fruits noirs goudronneux, de tabac et de sous-bois qui se déploient dans le verre, mais pas aussi « immédiats » que le Canon. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, charnue, très bien équilibrée et nuancée avec l’une des rares finales que je décrirais comme « précises » qui vous invitent à revenir pour la prochaine gorgée. Excellente. »