Date de disponibilité:
Par touches successives, L'Évangile ne cesse de progresser avec en ligne de mire ses deux voisins immédiats Cheval Blanc et Petrus. Restructuration du vignoble entamée en 1998, nouveau cuvier en 2004, passage progressif en culture bio à partir de 2012 (certification en 2021), un net palier qualitatif a été franchi depuis 2009, axé sur la distinction et le raffinement aromatique.
Second vin de Rieussec, créé en 2002. Expressif et séducteur - fleurs, pêche blanche, miel - sur un corps mi liquoreux mais de grande élégance (terroir oblige). L'affaire de Sauternes, son prix de marché étant même inférieur à son coût de production !
Le millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2023) : 96/100 « Couleur pâle. Nez un peu discret et fruité. Nuances de peau d'amande, de poire. Minutieux à l'attaque, savoureux au milieu, très aromatique, le vin fond au palais. Il s'achève sur une touche légèrement mentholée et épicée. C'est très bon. »
Propriété Rothschild (de Lafite). Contigu à Yquem, Rieussec était jusqu'en 2012 un des vins les plus liquoreux du Sauternais, ne se révélant qu'après 10 ans de cave au minimum. Première (r)évolution à partir de 2013 vers un style plus élégant voire délicat, conjuguant richesse et finesse.
Seconde (r)évolution en 2019 avec un resserrement drastique des sélections, Rieussec pensé comme la "crème de tête" du Château Rieussec, accompagnée d'une rupture totale des codes visuels : nouvelle bouteille, nouvel étiquetage, nouveau bouchon repositionnable, nouveau conditionnement (carton de 4 bouteilles). Rieussec vise clairement la seconde marche de Sauternes derrière Yquem.
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Hachette (Guide 2023) : Coup de ♥ « Un sublime Rieussec, d'un équilibre et d'une élégance exceptionnels. »
J-M Quarin (avril 2023) : 93/100 « La bouche annonce le grand retour de Rieussec. »
Propriété Rothschild (de Lafite). Contigu à Yquem, Rieussec était jusqu'en 2012 un des vins les plus liquoreux du Sauternais, ne se révélant qu'après 10 ans de cave au minimum. Première (r)évolution à partir de 2013 vers un style plus élégant voire délicat, conjuguant richesse et finesse.
Seconde (r)évolution en 2019 avec un resserrement drastique des sélections, Rieussec pensé comme la "crème de tête" du Château Rieussec, accompagnée d'une rupture totale des codes visuels : nouvelle bouteille, nouvel étiquetage, nouveau bouchon repositionnable, nouveau conditionnement (carton de 4 bouteilles). Rieussec se positionne maintenant sur la seconde marche de Sauternes derrière Yquem.
Propriété Rothschild (de Lafite). Contigu à Yquem, Rieussec était jusqu'en 2012 un des vins les plus liquoreux du Sauternais, ne se révélant qu'après 10 ans de cave au minimum. Première (r)évolution à partir de 2013 vers un style plus élégant voire délicat, conjuguant richesse et finesse.
Seconde (r)évolution en 2019 avec un resserrement drastique des sélections, Rieussec pensé comme la "crème de tête" du Château Rieussec, accompagnée d'une rupture totale des codes visuels : nouvelle bouteille, nouvel étiquetage, nouveau bouchon repositionnable, nouveau conditionnement (carton de 4 bouteilles). Rieussec se positionne maintenant sur la seconde marche de Sauternes derrière Yquem.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - septembre 2023) : 93/100 « Il s'est ouvert depuis sur des notes de fruits miellés safranés, de miel sec et de copeaux d'amandes. Cet exemple est plus vanillé et boisé que les précédents, ce qui nuit à l'expression du terroir. La bouche est moyennement corsée ; là encore, le chêne neuf est plus présent que dans les bouteilles précédentes, ce qui m'a incité à revoir ma note à la baisse. Il est tout à fait séduisant, mais il exprime davantage la vinification que je ne le souhaiterais. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2021dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « On perçoit la trame des cabernets qui lui confèrent de la droiture, une belle définition, mais son élevage est encore un peu marqué. La finale s’étire avec de l’éclat et des tanins fondus, sur des notes fumées. »
Vinous (A. Galloni - Décembre 2023) : 92/100 « Le Duhart-Milon 2021 est une très agréable surprise. Il y a très peu de merlot cette année, et cela semble se traduire par un Duhart-Milon sérieux, parfois sombre. La cerise noire, les graviers, les épices, la réglisse et le graphite se construisent magnifiquement avec le temps dans le verre. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 95/100 « Il est à la fois sérieux et délié comme il le faut, avec un côté très racé. Son équilibre très digeste est remarquable, il termine sur des tanins racés au toucher de soie, avec une pointe mentholée. »
J-M Quarin (mars 2023) : 94/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fruité, crémeux et légèrement truffé. Minutieux en entrée de bouche, raffiné au toucher, très aromatique, le vin se développe sur un port général gracieux. Il fond en finale, parfumé, long, séveux et très bon. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 92/100 « Duhart-Milon 2020 présente un bouquet élégant et bien défini, avec des arômes de fruits rouges mûrs, de crayon et de feuilles d'automne, qui gagnent progressivement en intensité dans le verre. La bouche est moyennement corsée avec des tannins plutôt secs qui rendent de l'éclat et du charme pour le moment. Malgré cela, je me contenterais de le mettre en cave pendant trois ou quatre ans, car il a du potentiel. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2020) : 94/100 « Duhart 2016 confirme ses belle dispositions, le vin est solide, intense et doté d'une très belle matière avec une finale sapide et juteuse. »
Quarin (février 2020) : 94/100 « Nez très aromatique et très médocain. Touche d’encre, sur un fond de fruits frais et mûrs. Délicieux de part en part, ce vin fond dans la bouche, avec de la classe dans le toucher et une finale au grain tannique raffiné et même parfumé. C’est long, très bon et le meilleur que je connaisse. »
Vinous (Antonio Galloni - janvier 2019) : 93/100 « Le Duhart-Milon 2016 est absolument magnifique. Je suis agréablement surpris de constater à quel point il a gagné en texture et en poids au cours de son vieillissement. Sombre, ample et magnifiquement étagé dans le verre, le 2016 est tout à fait saisissant. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.
Le millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « D'une profondeur admirable, un Lafite sur l'élégance plutôt que sur la puissance. »
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 100/100 « Spectaculaire et tutoie la perfection. il se montre d’une distinction et d’une élégance absolues. Le sommet de l’aristocratie du cabernet qui tombe en bouche tel un costume sur mesure. L’alliance de la puissance et de l’élégance. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 98/100
Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.
Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.
Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.
Par touches successives, L'Évangile ne cesse de progresser avec en ligne de mire ses deux voisins immédiats Cheval Blanc et Petrus. Restructuration du vignoble entamée en 1998, nouveau cuvier en 2004, passage progressif en culture bio à partir de 2012 (certification en 2021), un net palier qualitatif a été franchi depuis 2009, axé sur la distinction et le raffinement aromatique.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2020) : 97/100 « L'Évangile 2017, 100 % merlot pour cette première fois, est tout aussi impressionnant en bouteille qu'en barrique. [...] Le temps passé dans le verre fait ressortir de jolies notes aromatiques de tête qui apportent de la fraîcheur. L'Évangile est un vin d'une grande beauté et d'un grand éclat. »
J-M Quarin (octobre 2020) : 96/100 « Minutieux dans son toucher dès l’attaque, puis finement gras en milieu de bouche, fondant et parfumé, le vin prend une dimension supplémentaire entre le milieu et la finale, pour s’achever long, noble et surtout incrachable. »
Par touches successives, L'Évangile ne cesse de progresser avec en ligne de mire ses deux voisins immédiats Cheval Blanc et Petrus. Restructuration du vignoble entamée en 1998, nouveau cuvier en 2004, passage progressif en culture bio à partir de 2012 (certification en 2021), un net palier qualitatif a été franchi depuis 2009, axé sur la distinction et le raffinement aromatique.
Par touches successives, L'Évangile ne cesse de progresser avec en ligne de mire ses deux voisins immédiats Cheval Blanc et Petrus. Restructuration du vignoble entamée en 1998, nouveau cuvier en 2004, passage progressif en culture bio à partir de 2012 (certification en 2021), un net palier qualitatif a été franchi depuis 2009, axé sur la distinction et le raffinement aromatique.