Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
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Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 96/100 « Le Haut-Bailly 2015 est tout simplement “ chantant ” au nez avec des fruits rouges irrésistibles et assez opulents. La fraise sauvage, la framboise et la canneberge sont agrémentées d'un pot-pourri de pétales d'iris. Un vin exquis. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples, des fruits rouges fondus mélangés à du poivre noir concassé, de la sauge et du tabac. La finale est très cohérente et complexe, peut-être le Haut-Bailly le plus sophistiqué jusqu'à présent. »
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
Le millésime 2014 dans la presse :
J-M Quarin (février 2020) : 95/100 « Grand nez profond, complexe et pur. Bouche au corps ample, à la texture grasse, se développant riche en saveurs, avec beaucoup d'éclat dans le goût et une douceur tannique inédite pour l'année. C'est long, très présent et très bon. Ne pas le manquer. »
Vinous (N. Martin - février 2024) : 93/100 « Haut-Bailly 2014 est très posé au nez. Il est assez tertiaire, mais il y a suffisamment de fruit pour le soutenir, et il semble beaucoup plus naturel que ses pairs. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins, bien équilibrée et d'un style résolument classique, mais contrairement à beaucoup de ses pairs, elle n'est ni austère ni sèche. Il s'agit d'un 2014 raffiné qui devrait bien mûrir en bouteille. »
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
Le millésime 2008 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 97/100 « Intense, velouté, avec des pointes subtilement fumées et mentholées émergeant d'un spectre aromatique complet et complexe, le 2008 fait valoir le grain parfait d'un tanin mesuré, frais, aussi civilisé que naturel qui, s'il semble déjà prêt, portera le vin au travers des décennies. »
Vinous (N. Martin - septembre 2022) : 94/100 « Haut-Bailly 2008, l'une des plus longues récoltes jamais enregistrées, présente un bouquet impressionnant avec de magnifiques arômes de mûre, de biarrités, de pétales de rose et de feuilles de laurier. Ce vin est très délimité et concentré. La bouche est bien équilibrée avec des tanins fins. L'acidité lui confère vivacité et tension. La finale est cohérente et harmonieuse avec des arômes de fruits noirs légèrement épicés, de tabac et de clou de girofle. Il s'agit d'un beau 2008, discret mais de grande classe. »
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
Le millésime 2006 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2017) : 94/100 « D'une forme admirable [...] une très jolie allonge. »
Vinous (N. Martin - septembre 2022) : 91/100 « Haut-Bailly 2006 est un Pessac-Léognan très capable dans un millésime souvent négligé. Il se montre à nouveau quelques mois plus tôt avec de jolis arômes de fruits bleus et noirs et de violette. Peut-être un peu de suie de cheminée ? La bouche est moyennement corsée, avec une note légèrement ferreuse et du tabac. Ce vin se boit parfaitement aujourd'hui, mais il a encore beaucoup de potentiel. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2022 est un fabuleux second vin. Large et explosif en bouche, avec une profondeur énorme, le 2022 est un véritable étourdissement. Les fruits noirs, le cuir, les épices, le menthol et l'espresso sont au maximum. Riche, ample et invitant, le Clarence est absolument stellaire. C'est un vin vif et profondément satisfaisant. Il ne lui manque qu'un peu de structure en fin de bouche, mais là encore, nous sommes en 2022. »
J-M Quarin (février 2025) : 94/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fin, au fruité mûr, sentant bon les arômes fumés de Haut Brion. Il prend une allure plus grasse à l'agitation du verre. Ensemble captivant. Délicat en entrée de bouche, riche au milieu, très savoureux, le vin se développe tout à la fois ample, tramé et très aromatique, sans jamais perdre son équilibre. Belle persistance à la tannicité présente, mais au grain fin et de fait, toujours parfumée. Je ne connais que lui comme ça. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Le Clarence met l'accent sur la tension, la fraîcheur, avec un noble caractère fumé qui s'affirme sur la longueur du vin. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 93+/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2020 présente un bouquet très finement délimité, concentré et généreux, avec des couches de fruits rouges et noirs, de violettes pressées et de cèdre. La bouche est mi-corsée avec des tanins soyeux, très équilibrée et pure, avec une allure presque bourguignonne en fin de bouche. Ce vin devrait vieillir magnifiquement en bouteille. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 90/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2019 a un nez légèrement atténué par rapport à ses pairs et a besoin d'être cajolé dans le verre. Des fruits rouges terreux et des touches de tabac. La bouche est bien équilibrée avec des tanins souples, des fruits rouges croquants mélangés à du balsamique et des poivrons blancs, juste un peu court sur la finale. »
J-M Quarin (mars 2022) : 94/100 « Il caresse le palais, juteux et suave, avec des arômes profonds, vers une longue finale sèveuse et parfumée. C'est superbe. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Le 2018 Le Clarence de Haut-Brion est vraiment sorti de sa coquille. Audacieux, juteux et très expressif, Le Clarence est si raffiné et sophistiqué. Des herbes séchées, du cèdre, du tabac, de la réglisse et du café s'échappent du verre. Moyennement corsé et merveilleusement persistant, le Clarence est une véritable beauté. »
Second vin rouge de Haut-Brion, dénommé ainsi depuis 2008 (précédemment Ch.Bahans Haut-Brion). Pour souligner la parenté de style avec son grand frère, Le Clarence est mis dans la même bouteille celle, si particulière, du grand vin.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 92/100 « Le Clarence de Haut-Brion 2016 présente un bouquet impressionnant de fruits rouges vibrants, de pétales de rose et d'arômes de terreau, ainsi qu'un chêne remarquablement assimilé. La bouche mi-corsée présente des tanins souples et une fine acidité. La bouche est vive et concentrée, avec une finale complexe pleine de tension et d'expression du terroir. Voici un autre superbe Pessac-Léognan. »
Bien que Les Carmes soit contigu à Haut-Brion et que ses vignes aient fait autrefois partie de celles de Haut-Brion, les vins qui y sont produits sont radicalement différents de ceux de son prestigieux voisin. En raison d'un sous-sol particulier avec la présence d'argile, l'encépagement est à dominante cabernet franc (42%) et merlot (40%) et les vins, profonds et savoureux, ont une générosité immédiate plus typée rive droite que rive gauche. La nouvelle équipe mise en place suite au rachat en 2010 a aussitôt propulsé Les Carmes au sommet des Pessac-Léognan.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N. Martin - avril 2022) : 94/100 « Les Carmes Haut-Brion 2018 a été élevé dans 75 % de chêne neuf avec un peu plus d'élevage en foudres. Il comprend 55 % de grappes entières. Le nez est légèrement confit, des arômes de canneberge et de fraise sauvage se mêlent au cassis et à la violette ; aromatiquement, c'est le millésime récent le plus précoce. La bouche est moyennement corsée, avec des fruits rouges séveux, des tanins fins, nets et purs, et une excellente acidité qui maintient l'ensemble en équilibre jusqu'à la fin de la dégustation. Le 2018 a une texture caressante et est très persistant. Je pourrais chipoter et dire que je trouve le nez un peu trop fort, mais la bouche est superbe. »
Bien que Les Carmes soit contigu à Haut-Brion et que ses vignes aient fait autrefois partie de celles de Haut-Brion, les vins qui y sont produits sont radicalement différents de ceux de son prestigieux voisin. En raison d'un sous-sol particulier avec la présence d'argile, l'encépagement est à dominante cabernet franc (42%) et merlot (40%) et les vins, profonds et savoureux, ont une générosité immédiate plus typée rive droite que rive gauche. La nouvelle équipe mise en place suite au rachat en 2010 a aussitôt propulsé Les Carmes au sommet des Pessac-Léognan.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin - avril 2022) : 93/100 « Les Carmes Haut-Brion 2017 comprend 45% de grappes entières et a été élevé pendant deux ans dans 80% de chêne neuf ainsi que dans des foudres et des amphores. Complexe au nez, il offre des arômes d'olive noire et de fruits noirs teintés de saumure, de pierre broyée et de menthe légère, assez intenses dans le contexte du millésime. La bouche est moyennement corsée, avec des arômes de fruits rouges séveux à l'attaque, un profil aromatique assez rhodanien, des notes de fenouil et de thym entrelacées dans les fruits rouges, et une finale persistante. Délicieux et distinctif. »
Bien que Les Carmes soit contigu à Haut-Brion et que ses vignes aient fait autrefois partie de celles de Haut-Brion, les vins qui y sont produits sont radicalement différents de ceux de son prestigieux voisin. En raison d'un sous-sol particulier avec la présence d'argile, l'encépagement est à dominante cabernet franc (42%) et merlot (40%) et les vins, profonds et savoureux, ont une générosité immédiate plus typée rive droite que rive gauche. La nouvelle équipe mise en place suite au rachat en 2010 a aussitôt propulsé Les Carmes au sommet des Pessac-Léognan.
Le millésime 2015 dans la presse :
J-M Quarin (novembre 2022) : 95/100
Vinous (N. Martin - avril 2022) : 93/100 « Le 2015 Les Carmes Haut-Brion est le premier millésime vinifié en infusion à 100%, dont 55% de grappes entières. Il présente un bouquet beaucoup plus intense que le 2014 : de copieuses senteurs de mûre, de myrtille et de violette écrasée, des notes d'orange sanguine et une légère touche de cassis avec le temps. La bouche est nettement plus minérale, percolant à travers la finale. Excellent. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 95/100 « La Mission a réussi un 2021 de très haute volée, conservant toute l'intensité et la distinction du cru,[...] Ample et pur, le fruit évoque la cerise, [...] La matière est complète, ample, presque veloutée dans un millésime dont ce n'est certes pas la caractéristique première. L'allonge tannique, bien présente, droite, garnie, constitue l'assurance d'une longue et fructueuse évolution. »
J-M Quarin (février 2024) : 96/100 « Ample à l'attaque, accompagné d'une texture minutieuse tout le long de la stimulation, à mi chemin entre la rive droite et la rive gauche, le vin parfume le palais avant de devenir puissant en finale, tout en gardant ses appuis tanniques mesurés. C'est incrachable et savoureux. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 93/100 « La Mission Haut-Brion 2021 présente un bouquet très cohérent, bien défini, avec des notes minérales de fruits rouges et noirs, des soupçons de fleurs blanches et un lointain parfum d'olive noire. L'élément presque « estuarien » devient plus proéminent à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes, assez fraîche, mais pas un La Mission complexe ou profond. Il est rehaussé par la salinité et le dynamisme de la finale, ce qui est également typique de ce vin. Bien qu'il ne s'agisse pas d'un vin de premier ordre, c'est un Pessac fascinant et engageant qui se boira dans les 20 ou 30 prochaines années. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 96/100 « Un vin positivement stupéfiant, le 2017 La Mission Haut-Brion est de grande classe. De douces notes florales confèrent au 2017 une fraîcheur, une nuance et une énergie saisissantes. Le pétale de rose, la menthe, l'orange sanguine, la cerise rouge, la grenade et le moka sont tous lacés ensemble. En 2017, La Mission joue à fond la carte des fruits rouges et des notes florales. Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, le 2017 a tout simplement tout pour plaire. Quel vin ! »
J-M Quarin (février 2020) : 95/100 « La décantation lui fait prendre une note plus suave rappelant la framboise. Cette suavité se retrouve en bouche dans une stimulation très délicate où tout caresse en fondant et laisse une très grande place à l'arôme. Cette sensation n'est pas sans rappeler la dégustation des grands Bourgogne rouges. Grande finale subtile et ravissante. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le 2016, que M. Galloni compare aux glorieux et historiques 1955 et 1989.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 99/100 « La Mission Haut-Brion 2016 était stupéfiant en barrique, et maintenant en bouteille. Il présente un bouquet sublime de mûres, de bruyère et des notes de chocolat noir et de pétales de rose qui gagnent en intensité à l'aération tout en conservant une délimitation éthérée. Il n'appuie jamais trop fort sur l'accélérateur. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins. Il y a encore un placage de chêne neuf qui devra être assimilé dans les années à venir. C'est un La Mission profond qui caresse la bouche. Des touches de graphite s'attardent sur une finale qui s'épanouit glorieusement. Le 2016 est-il à la hauteur du 1955 ou du 1989 ? Presque. »
Occupant le flan sud de la croupe de graves de Haut-Brion et capable de réussites exceptionnelles dans les "petits" millésimes, La Mission est un premier cru en puissance dans un registre plus charnu et plus opulent que Haut-Brion. À preuve son formidable 2017 noté 96/100 par M. Galloni (Vinous) « Sans effort, gracieux et merveilleusement nuancé, ce 2017 a tout simplement tout pour lui. Quel vin ! ». Quant au 2016, noté 99/100 par N. Martin (Vinous), les critiques le comparent à l'éblouissant 1989, rien de moins !
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 98/100 « Le 2015 La Mission Haut-Brion est doté d'un bouquet exceptionnel de fruits noirs brillamment concentrés et délimités, agrémentés de graphite et de cèdre - de la classe à l'état pur. La bouche mi-corsée et harmonieuse délivre des tanins au grain fin et une profondeur impressionnante. Un léger élément salé (tout comme le Haut-Brion) infuse le milieu de bouche, tandis que les épices brunes et la sauge s'attardent sur la finale. C'est un Haut-Brion La Mission profond qui ose surpasser le Haut-Brion sur cette présentation. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 98+/100 « Le Haut-Brion 2022 est puissant et explosif. En même temps, il est incroyablement réticent. Rien de tout cela ne devrait préoccuper les lecteurs qui peuvent attendre. Les fruits noirs, le gravier, l'encens, la terre brûlée et la réglisse sont présents sur le palais, encadrés par des tannins impénétrables et imposants. Vin vertical et explosif, le 2022 aura besoin d'un certain nombre d'années pour être à son meilleur. Je pense qu'il sera magnifique dans de nombreuses années. Le Haut-Brion s'adoucit avec un peu de temps dans le verre, mais il reste un véritable blockbuster. »
J-M Quarin (février 2025) : 99/100 « Couleur profonde et sombre. Nez intense, fin, fruité, fumé, rarement vu aussi identitaire si jeune. A l'agitation, il prend une touche de fruits noirs, d'âtre dans la cheminée et une nuance de résine. C'est superbe ! Ample à l'attaque, complexe en milieu de bouche, avec beaucoup de goût et un gras fin parcourant le palais, le vin évolue très lentement sur une trame serrée, vers une finale puissante et profonde. C'est particulièrement bon, avec un profil aromatique unique et du punch pour un Pessac Léognan. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 97/100 « Haut-Brion s’imposait dès les dégustations en primeur comme l’un des vins du millésime 2021. Aujourd’hui en bouteille, il creuse l’écart, [...] C’est un vin complet, manifestant une forme d’évidence dans l’élan, longiligne mais plein, serré, d’une race évidente. »
The Wine Advocate (Mars 2024) : 97/100 « Le Haut-Brion 2021 confirme sa belle prestation en primeur et s'affirme comme l'un des vins du millésime. Il est complexe, corsé, profond et velouté, avec des tanins doux et des acides vifs, et se termine par une longue finale pénétrante. Il ravira les puristes bordelais. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 95/100 « Haut-Brion 2021 a un bouquet très pur, assez complexe avec un mélange de myrtille et de cerise noire, de fleur d'iris et de violette, avec des notes d'embruns en arrière-plan. Pour l'instant, il est plus engageant que La Mission Haut-Brion 2021. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, une bonne concentration de fruits compte tenu du millésime, une salinité louable et une finale harmonieuse et sapide de style classique. Je pense que ce vin pourrait bien se refermer pendant un certain temps avant d'être rouvert. Excellent. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - avril 2022) : 99+/100 « Le Haut-Brion 2019 a un degré de transparence éthéré au nez, peut-être le plus délimité de tous les 2019, une précision et un détail fabuleux compte tenu de la saison de croissance. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins et osseux, une symétrie et un équilibre infaillibles. Cohérent du début à la fin, avec une finale extraordinairement persistante et convaincante. »
J-M Quarin (mars 2022) : 96/100 « Délicat en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, juteux, complexe et très savoureux, le vin se serre délicatement en finale. Il s'achève puissant et noble, avec beaucoup d'arômes. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 100/100 « Lors de sa dégustation en primeur, j'avais été très impressionné par ce haut-brion. Je me souviens que je l'avais trouvé extrêmement complet. En bouteille, je retrouve ce côté incroyable qui résume tout ce que j'aime dans un grand bordeaux. La caresse, le velouté, la noblesse de texture et de tannins et cette grande personnalité absolument unique. [...] Beauté, ampleur, concentration veloutée, à la fois le style du plus grand de Pomerol et celui du plus grand du Médoc, toujours avec le terroir et la personnalité du cru. »
La Revue du Vin de France (septembre 2021) : 99/100 « Moelleuse, la chair du vin reste paradoxalement tendue, serrée, et finit sa parade en bouche sur une impression de grâce longiligne. Le potentiel d’évolution de ce grand millésime est énorme. »
J-M Quarin (novembre 2021) : 98/100 « L’agitation du verre fait ressortir la framboise et des nuances raffinées. Moelleux en entrée de bouche, ample et en même temps fondant au milieu, avec une folle puissance aromatique vers la finale et beaucoup de goût, le vin s’achève particulièrement long, sur un grain de tannin magnifique. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 97/100 « Le Haut-Bion 2018 est un bébé, mais son équilibre et son potentiel sont amplement évidents. Riche et profond dans le verre, le 2018 s'ouvre pour révéler énormément de complexité et de nuances, des qualités qui ne font que croître avec le temps. Le 2018 n'est pas un énorme Haut-Brion, ni massivement doté, mais il est tellement élégant et classe. J'ai adoré ce vin. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (janvier 2022) : 97/100 « L'ensemble est un pur délice. Des arômes nobles circulent sur une texture très raffinée et savoureuse, sans effet de puissance, sans fragilité, tout en appuis distingués. Belle longueur où la bouche reste fraîche. »
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 96+/100 « Le Haut-Brion 2017 est riche et viril, même dans un millésime où il a moins de puissance que la norme. Mon impression est que le 2017 va rester en sommeil pendant de nombreuses années avant de se réveiller, mais son pedigree est tout à fait évident. La cerise noire, la prune, le gravier, la fumée, la réglisse et les épices sombres jaillissent du verre. Le 2017 est un Haut-Brion puissant et vertical doté d'une réelle sensation de gravité et d'intensité sombre. La finale longue et substantielle suggère que les lecteurs peuvent s'attendre à de nombreuses années de bonne consommation. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (décembre 2022) : 100/100 « Ultra raffiné en entrée de bouche, particulièrement fondant tout le long de son parcours, complexe au milieu, savoureux, juteux, frais, mais aussi puissant, le vin ne cesse de glisser sur le palais, raffiné, gras, noble, dans une immense longueur sèveuse. Ouh là là, que c’est bon. »
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 100/100 « Le Haut-Brion 2016 est très probablement encore plus magnifique en bouteille qu'il ne l'était en barrique. Puissant et riche, mais pas du tout lourd, le 2016 est un vin d'une beauté presque indescriptible. Le Haut-Brion est souvent un vin passionnant, mais il est rarement aussi raffiné dans sa jeunesse. Le gravier, la viande de cure, le tabac et le cèdre sont quelques-unes des nombreuses nuances qui se développent avec l'air, mais c'est un sens extraordinaire de l'harmonie qui se démarque vraiment. Quel vin ! »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - mai 2021) : 95/100 « Le Haut-Brion 2012 commence à montrer ses muscles. Le bouquet est peut-être l'un des plus en retrait des cinq premiers crus, Le merlot fermement dans les légères senteurs de sous-bois percolent avec le temps. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins légers, un très bon poids, des arômes de prune et d'épices légères, avec beaucoup de poids sur la finale légèrement charnue. C'est un excellent Haut-Brion, mais il a besoin de vieillir en bouteille. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (novembre 2017) : 100/100 « Nuance de chêne frais. Moelleux à l’attaque et particulièrement suave au développement, très riche en milieu de bouche, mais fondant, à la texture très aérienne et raffinée et pourtant solide, le vin s’envole en finale, complexe, long, puissant et très profond. Cette seconde et même cette troisième partie de bouche sont fabuleuses. Du très grand vin précis et noble. La parfaite expression du Haut-Brion. »
Vinous (N. Martin - février 2019) : 97/100 « Haut-Brion 2009 a un bouquet moins précoce mais plus détaillé, plus nuancé peut-être avec des ardoises chaudes qui cuisent au soleil d'été, du terreau labouré et du cèdre qui infusent le fruit noir. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, une acidité parfaite, des couches de fruits noirs riches en minéraux. Ce vin semble avoir gagné en complexité au cours des dernières années et commence à flirter avec la perfection. Il n'y est pas encore parvenu, mais il s'oriente dans cette direction. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2007 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - juillet 2010) : 94/100 « Rouge rubis brillant. Le nez pur mais jeune et inexpressif laisse entrevoir des notes de framboise et de tabac après une aération prolongée. Doux, suave et souple, avec une texture soyeuse stimulée par la minéralité et relevée par une composante épicée. La maturité est vraiment belle et constante, ne montrant ni torréfaction ni verdeur. A l'air, il a pris un caractère plus floral. Ce vin superbement élégant sature vraiment le palais et persiste. Les tanins sont fins et doux. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2006 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2009) : 95/100 « Rouge rubis moyen. Arômes invitants de prune, de pierres chaudes, de réglisse rouge et de menthol. Suave, doux et élégant ; nettement plus doux et pulpeux aujourd'hui que le La Mission, avec encore plus de profondeur en milieu de bouche. Il montre également plus de fruits rouges aujourd'hui, avec une minéralité piquante qui donne au vin de l'élan et de la jutosité. La finale s'achève sur des tanins suaves mais substantiels. L'année dernière, ce vin montrait sa colonne vertébrale alors que le La Mission était plus opulent ; en bouteille, c'est l'inverse. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2005 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - octobre 2015) : 100/100 « Un de mes vins de la soirée, le Haut-Brion 2005 est stratosphérique. Remarquablement vif et nuancé, le 2005 présente un mélange convaincant de saveurs sombres lacées avec les notes savoureuses/minérales qui sont si typiques du Haut-Brion. Le 2005 est passionnant à suivre dans le verre, car il révèle continuellement de nouvelles nuances de sa personnalité, ce que je considère comme un attribut commun à tous les grands vins du monde. La finale dense et explosive laisse présager un avenir très prometteur. Les lecteurs qui possèdent le 2005 devraient être ravis, car il est vraiment merveilleux. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2003 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2005) : 90/100 « Le Haut-Brion 2003 a un bouquet décadent avec une charge de fruits noirs brillants. Il y a une certaine chaleur de l'alcool et juste une touche de Brettanomyces. Oui, c'est un élément du Rhône Nord. La bouche présente un doux noyau de fruits noirs, des tanins soyeux et des couches de myrtille et de mûre avec une finale anisée. C'est un vin sensuel, mais en fin de compte, il manque un peu de tension et de pedigree. »
Cru bordelais magistral, Haut-Brion est le plus capé d'entre tous en ayant été deux fois classé 1er grand cru, en 1855 et à nouveau en 1959 (classement des Graves). Haut-Brion est à la fois le plus ancien des grands crus avec plus de 5 siècle (depuis 1509) derrière lui, et le plus novateur, introduisant les cuves inox dès 1960 ou les vendanges en vert dès 1980.
Sa situation particulière au sein de l'agglomération bordelaise en fait le premier cru le plus précoce de la rive gauche, un net avantage dans les millésimes de moindre maturité. Pour cette raison, la régularité de Haut-Brion est une référence pour l'ensemble du bordelais, avec ce bouquet intense de terre fraîche, de fumé et de résine de pin si caractéristique de l'appellation.
Par chance, la silhouette unique de sa bouteille a perturbé le marché asiatique et n'y a pas déclenché le même intérêt spéculatif que pour les autres 1ers grands crus classés. Haut-Brion est aujourd'hui sans conteste le plus qualitatif et le moins cher des premiers.
Le millésime 2002 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2005) : 92+/100 « Beau rouge rubis. Nez de groseille, de prune, de tabac et de fleurs. Suave et léger sur ses pieds, avec une excellente acidité intégrée encadrant et prolongeant les saveurs. Classique et classique, il se termine sur des tannins mûrs et bien construits. Ce vin serait parfait avec un cigare. Aujourd'hui, Delmas et Masclet préfèrent ce 2002 au Haut-Brion 2001, mais pour La Mission, ils donnent l'avantage au 2001. »
Second vin du Clos Manou, le Médoc comme on l'aime : généreux, suave et équilibré par une bonne vivacité. Un vrai régal !
Le millésime 2022 dans la presse :
J-M Quarin (février 2025) : 88/100 « Couleur sombre et pourpre. Nez très aromatique, au fruité pur et frais. Délicat en entrée de bouche, parfumé au milieu, le vin fond sur le palais, délicieux, vers une finale à la tannicité enrobée. »