Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
Nous consulter pour la Corse, les Dom-Tom, l'export hors Europe.
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Débutée en 2003, l'aventure de Clos Louie est un cas d'école : vignoble de poupée (2,3 ha) sur un beau terroir argilo-calcaire de Castillon, culture attentive en biodynamie, double tri manuel pendant les vendanges, vinifications peu interventionnistes, élevage doux en demi-muids de 500 litres.
Louison et Léopoldine est l'autre vin du Clos Louie, hommage au cabernet franc (80%) sur des vignes âgées de 50 ans et plus. Fruité net et éclatant, fraîcheur aromatique remarquable : une véritable pépite !
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 91/100 « Cabernet franc et merlot jouent à parts égales dans Louison et Léopoldine 2022, un vin plein d’éclat et doté d’un relief dynamique et salivant. Une fraîcheur très séduisante dans ce millésime solaire. »
Débutée en 2003, l'aventure de Clos Louie est un cas d'école : vignoble de poupée (2,3 ha) sur un beau terroir argilo-calcaire de Castillon, très vieilles vignes (150 ans !) en majorité merlot et malbec à queue rouge, culture attentive en biodynamie, double tri manuel pendant les vendanges, vinifications peu interventionnistes, élevage doux en demi-muids de 500 litres. Un vrai vin d'artiste, absent des guides mais que les amateurs informés connaissent bien.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 93/100 Coup de ♥ « Délicieuse interprétation d'un bordeaux contemporain, ce 2021 se concentre sur une expression franche du fruit. Chose pas si banale dans un millésime où beaucoup de vins de la région manque d'étoffe. »
Appliquant les mêmes principes de culture et de vinification qu’à Angélus, Hubert de Boüard a porté son château de Lalande de Pomerol en tête de son appellation. Vins riches et luxueusement élevés, d’un charme fou, à chaque millésime encensés par les critiques. Exceptionnel millésime 2017, dont l'infime production (rescapée du gel) n'est proposée qu'en magnums.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 93/100 « La Fleur de Boüard 2020 est magnifique. Des fleurs fraîchement cyniques, des fruits rouges brillants, de l'orange sanguine, de la menthe et de la cannelle confèrent une vibration notable à ce vin de poids moyen de la famille Boüard. C'est un plaisir de voir un style qui montre une plus grande fraîcheur qu'à ses débuts ici. »
Appliquant les mêmes principes de culture et de vinification qu’à Angélus, Hubert de Boüard a porté son château de Lalande de Pomerol en tête de son appellation. Vins riches et luxueusement élevés, d’un charme fou, à chaque millésime encensés par les critiques. Exceptionnel millésime 2017, dont l'infime production (rescapée du gel) n'est proposée qu'en magnums.
Constatant l'ampleur des dégâts (95%) de la gelée de fin avril 2017 à La Fleur de Boüard, Hubert de Boüard et sa fille Coralie n'ont pour autant pas baissé les bras et ont décidé de bichonner les quelques grappes restantes.
100% merlot, profond, charnu, suave et distingué, caressant en milieu de bouche et concluant sur une finale élancée et plus énergique, leur superbe 2017 est une étonnante réussite, sûrement rendue possible par l'infime récolte (20 hl produits sur 40 ha de vignes, soit un rendement minuscule de 0,5 hl/ha, à peine un centième d'une vendange normale !) .
Et, faisant d'une pierre deux coups, ils en ont profité pour célébrer leur 20ème année à La Fleur de Boüard en mettant leur 2017 uniquement en 1000 magnums numérotés spécialement décorés par l'artiste Petrusse Reynen.
60% cabernet-sauvignon et 40% merlot sur les graves langonnaises, Camus est un beau Graves rouge fringant, au fruité frais et au boisé ajusté. Une belle réussite en 2019 au rapport qualité/prix assuré.
Propriété Dubourdieu. Unanimement considéré comme le meilleur et le plus distingué des Graves rouges, avec un encépagement de grand cru classé : 2/3 cabernet-sauvignon et 1/3 merlot.
Le millésime 2019 dans la presse :
J-M Quarin (février 2022) : 91/100 « Couleur sombre, pourpre, vive et belle. Nez intense, fruité et frais. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 92/100 « Le Clos Floridène 2019 est un vin magnifique. Soyeux et poli jusqu'à la moelle, le 2019 est d'une beauté exceptionnelle. Des fleurs écrasées, des fruits rouges, de la cannelle, de la réglisse et de l'orange sanguine agrémentent ce Graves moyennement lourd et nuancé. Tous les éléments sont si bien équilibrés. Superbe. »
Propriété Dubourdieu. Unanimement considéré comme le meilleur et le plus distingué des Graves rouges, avec un encépagement de grand cru classé : 2/3 cabernet-sauvignon et 1/3 merlot.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 90/100 « Le Clos Floridène 2017 est un vin magnifique. Les baies rouges mûres, l'orange sanguine, le pétale de rose, la menthe et les épices s'épanouissent dans ce joli Graves tout en nuances. De douces notes florales ajoutent un registre supérieur séduisant. Souple, le 2017 est merveilleusement expressif aujourd'hui. »
Propriété Dubourdieu. Unanimement considéré comme le meilleur et le plus distingué des Graves rouges, avec un encépagement de grand cru classé : 2/3 cabernet-sauvignon et 1/3 merlot.
Propriété Dubourdieu. Unanimement considéré comme le meilleur et le plus distingué des Graves rouges, avec un encépagement de grand cru classé : 2/3 cabernet-sauvignon et 1/3 merlot.
Les nets progrès de Couhins, perçus pour le blanc depuis 2009, se font maintenant sentir pour le rouge. Ici, ce n'est pas la puissance qui est recherchée mais l'équilibre, la délicatesse aromatique et la sapidité.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Couhins 2022 est fabuleux. Aromatique et vibrant, avec plus d'énergie linéaire que de taille, le Couhins est super-classique. En 2022, il est un peu plus riche que la plupart des années, mais son dynamisme savoureux essentiel est toujours très présent. La longue finale est saisissante. »
Les nets progrès de Couhins, perçus pour le blanc depuis 2009, se font maintenant sentir pour le rouge. Ici, ce n'est pas la puissance qui est recherchée mais l'équilibre, la délicatesse aromatique et la sapidité.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - février 2024) : 92/100 « Couhins 2021 est un vin foncé. La cerise noire, le cuir, la réglisse, le moka et les herbes grillées expriment le caractère savoureux d'un cabernet sauvignon issu d'un site froid au cours d'une année froide. La profondeur et l'intensité globale sont bonnes, bien que certains contours anguleux subsistent. »
Les nets progrès de Couhins, perçus pour le blanc depuis 2009, se font maintenant sentir pour le rouge. Ici, ce n'est pas la puissance qui est recherchée mais l'équilibre, la délicatesse aromatique et la sapidité.
Propriété familiale réveillée en 2011 par l'arrivée du fils Paul Garcin, ex-musicien rock de la scène bordelaise. Passage instantané en culture bio et biodynamique, des vins d'artiste, intuitifs, immédiatement sapides et à la forte note plaisir. Volontairement iconoclaste, Paul Garcin tient à proposer à chaque millésime Haut-Bergey sous différentes facettes : une cuvée classique vinifiée et élevée dans la tradition des grands crus bordelais, la Cuvée Paul élaborée de façon plus contemporaine, et des cuvées parcellaires mono-cépages mettant en avant leurs terroirs respectifs.
Une approche saluée par la Revue du Vin de France « Modernité de la vision et capacité à se réinventer sans trahir : Haut-Bergey symbolise la vitalité actuelle du plus historique des vignobles bordelais ».
La Cuvée Paul est un Pessac-Léognan "moderne", élaboré selon des pratiques contemporaines pour rester au plus près du fruit : vinification partielle en grappes entières, élevage quasi sans bois (œuf béton, amphore et demi-muid).
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2023) : 92/100 « la cuvée Paul rayonne de ce fruit vibrant, leste, subtilement ferreux et épicé, qui fait sa singularité » .
Propriété familiale réveillée en 2011 par l'arrivée du fils Paul Garcin, ex-musicien rock de la scène bordelaise. Passage instantané en culture bio et biodynamique, des vins d'artiste, intuitifs, immédiatement sapides et à la forte note plaisir. Volontairement iconoclaste, Paul Garcin tient à proposer à chaque millésime Haut-Bergey sous différentes facettes : une cuvée classique vinifiée et élevée dans la tradition des grands crus bordelais, la Cuvée Paul élaborée de façon plus contemporaine, et des cuvées parcellaires mono-cépages mettant en avant leurs terroirs respectifs.
Une approche saluée par la Revue du Vin de France « Modernité de la vision et capacité à se réinventer sans trahir : Haut-Bergey symbolise la vitalité actuelle du plus historique des vignobles bordelais ».
La Cuvée Jardin est une micro-cuvée parcellaire (du nom de la parcelle éponyme, contigüe au Château), 100% merlot, sur un terroir à dominante argileuse.
Propriété familiale réveillée en 2011 par l'arrivée du fils Paul Garcin, ex-musicien rock de la scène bordelaise. Passage instantané en culture bio et biodynamique, des vins d'artiste, intuitifs, immédiatement sapides et à la forte note plaisir. Volontairement iconoclaste, Paul Garcin tient à proposer à chaque millésime Haut-Bergey sous différentes facettes : une cuvée classique vinifiée et élevée dans la tradition des grands crus bordelais, la Cuvée Paul élaborée de façon plus contemporaine, et des cuvées parcellaires mono-cépages mettant en avant leurs terroirs respectifs.
Une approche saluée par la Revue du Vin de France « Modernité de la vision et capacité à se réinventer sans trahir : Haut-Bergey symbolise la vitalité actuelle du plus historique des vignobles bordelais ».
La Cuvée Tuilerie est une micro-cuvée parcellaire (du nom de la parcelle éponyme), 100% cabernet-sauvignon.
La cuvée "Tuilerie" millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2023) : 92/100 « Sanguin et fumé, tendu. »
Propriété familiale réveillée en 2011 par l'arrivée du fils Paul Garcin, ex-musicien rock de la scène bordelaise. Passage instantané en culture bio et biodynamique, des vins d'artiste, intuitifs, immédiatement sapides et à la forte note plaisir. Volontairement iconoclaste, Paul Garcin tient à proposer à chaque millésime Haut-Bergey sous différentes facettes : une cuvée classique vinifiée et élevée dans la tradition des grands crus bordelais, la Cuvée Paul élaborée de façon plus contemporaine, et des cuvées parcellaires mono-cépages mettant en avant leurs terroirs respectifs.
Une approche saluée par la Revue du Vin de France « Modernité de la vision et capacité à se réinventer sans trahir : Haut-Bergey symbolise la vitalité actuelle du plus historique des vignobles bordelais ».
Propriété familiale réveillée en 2011 par l'arrivée du fils Paul Garcin, ex-musicien rock de la scène bordelaise. Passage instantané en culture bio et biodynamique, des vins d'artiste, intuitifs, immédiatement sapides et à la forte note plaisir. Volontairement iconoclaste, Paul Garcin tient à proposer à chaque millésime Haut-Bergey sous différentes facettes : une cuvée classique vinifiée et élevée dans la tradition des grands crus bordelais, la Cuvée Paul élaborée de façon plus contemporaine, et des cuvées parcellaires mono-cépages mettant en avant leurs terroirs respectifs.
Une approche saluée par la Revue du Vin de France « Modernité de la vision et capacité à se réinventer sans trahir : Haut-Bergey symbolise la vitalité actuelle du plus historique des vignobles bordelais ».
Le millésime 2020 dans la presse :
Le Point (mai 2024) : 14.5/20 « Fruité pur, de la fraîcheur, bouche fraîche, juteuse, épicée, tanins un peu marqués, bonne matière. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 91/100
Le second vin de Haut-Bailly, dénommé La Parde de Haut-Bailly jusqu'en 2018. Dans le même style que son grand frère, tout en retenue et en finesse, et de plus en plus charmeur par une proportion accrue de merlot depuis 2010.
Un second vin "d'une régularité sans faille et d'une élégance à toute épreuve", d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Haut-Bailly II 2022 est soyeux, élégant et poli. Des fleurs écrasées, des fruits rouges, de la cannelle et du cuir neuf sont tous magnifiquement mis en valeur dans ce vin gracieux de Haut-Bailly. Le 2022 est un vin particulièrement délicat et raffiné qui capture toute la finesse possible dans ce millésime. »
Le second vin de Haut-Bailly, dénommé La Parde de Haut-Bailly jusqu'en 2018. Dans le même style que son grand frère, tout en retenue et en finesse, et de plus en plus charmeur par une proportion accrue de merlot depuis 2010.
Un second vin "d'une régularité sans faille et d'une élégance à toute épreuve", d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Haut-Bailly II est déjà délicieux. Svelte, tendre, expressif, détendu, il semble planer au-dessus des embûches du millésime, tout en offrant la mâche et la tenue que l’on attend d’un vin de la propriété. »
Jean-Marc Quarin (Avril 2022) : 92/100 « Couleur sombre, profonde et belle. Nez intense, au fruité mûr, évoluant parfumé dans le verre. Bouche immédiatement aromatique, mais aussi tannique, avec une minutie de texture heureuse et beaucoup de parfum. Corpulence modérée qui laisse une jolie place aux arômes. C'est très bon. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 93/100 « Haut-Bailly II 2021 est formidable. Savoureux, aromatique et super expressif, le II a tant à offrir, à commencer par sa complexité discrète et sa classe générale. Bien que le II soit un vin à base de merlot (alors que le Grand Vin s'appuie sur le cabernet sauvignon), il capture très bien la personnalité du domaine. Je le trouve exquis et extrêmement délicieux. »
Le second vin de Haut-Bailly, dénommé La Parde de Haut-Bailly jusqu'en 2018. Dans le même style que son grand frère, tout en retenue et en finesse, et de plus en plus charmeur par une proportion accrue de merlot depuis 2010.
Un second vin "d'une régularité sans faille et d'une élégance à toute épreuve", d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 92/100 « Plus délié, plus suggestif dans le panorama aromatique qu'il offre, étonnamment fin et même léger, en structure comme en chair. Il possède les qualités précoces qui permettront de patienter jusqu'à ce que le grand vin daigne s'ouvrir. »
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 92/100 « Le Haut-Bailly II 2020 attend son heure dans le verre, qui s'épanouit avec des notes de mûre, de coquilles d'huîtres écaillées, de fleurs d'iris pressées et une touche de graphite. C'est un vin de grande classe. La bouche est moyennement corsée, avec des arômes de fruits noirs séveux, une légère adhérence, des tanins fins, une texture douce et cohérente, et une généreuse touche de poivre noir en fin de bouche. Ce vin laisse une impression de picotement sur la langue longtemps après son départ - un sérieux Deuxième vin. »
Le second vin de Haut-Bailly, dénommé La Parde de Haut-Bailly jusqu'en 2018. Dans le même style que son grand frère, tout en retenue et en finesse, et de plus en plus charmeur par une proportion accrue de merlot depuis 2010.
Un second vin "d'une régularité sans faille et d'une élégance à toute épreuve", d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 93/100 Coup de ♥ « Très noblement parfumé, le second vin de Haut-Bailly affiche une profondeur remarquable. »
Vinous (N. Martin - décembre 2021) : 93/100 « Haut-Bailly II 2019, le deuxième vin de Haut-Bailly, a accentué les éléments sous-bois au nez depuis la mise en bouteille, se sentant maintenant quintessentiellement Pessac-Léognan et assez influencé par la mer dans le style. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, tendue et fraîche, encore un peu piquante en finale mais avec plus de précision que dans mon souvenir. Ce vin est très impressionnant. Excellent. »
Le second vin de Haut-Bailly, depuis 1967. Dans le même style que son grand frère, tout en retenue et en finesse, et de plus en plus charmeur par une proportion accrue de merlot en 2010.
Renommé Haut-Bailly II à partir du millésime 2019.
Rondeur, souplesse et profondeur de chair sont la marque des vins rouges consensuels produits à Larrivet Haut-Brion, conseillé par M. Rolland jusqu'en 2014 puis par M. Derenoncourt. Aucun lien entre Larrivet (à Léognan) et Haut-Brion (à Pessac).
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Larrivet Haut-Brion 2022 est dense, puissant et explosif. La cerise noire, la prune, le cuir neuf, la réglisse et le moka sont amplifiés dans ce vin dramatique et profondément résonnant. Magnifique. »
J-M Quarin (février 2025) : 92/100 « Couleur sombre, intense et légèrement évoluée. Nez très aromatique, au fruité mûr. Touche solaire à l'agitation du verre. Délicieux dès l'entrée en bouche, avec beaucoup de goût au milieu, le vin fond sur le palais. Il évolue juteux, savoureux, vers une finale tramée qui se serre avant de se relâcher sur l'arôme. Bonne longueur parfumée. »
En grande comme en petite année, Latour-Martillac produit à chaque fois un vin remarquablement typé et équilibré, la valeur sûre de l'appellation. La même régularité étant affichée dans ses prix, Latour-Martillac est devenu un choix prioritaire en Pessac-Léognan.
Promu deux étoiles dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France pour l'ensemble de son œuvre, en rouge comme en blanc !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Latour-Martillac 2022 est un vin puissant et charnu, tel qu'il était en primeur. Une explosion de fruits rouges sombres, de cuir, d'épices, d'herbes séchées et de réglisse se dessinent dans le verre. Le 2022 a un punch assez intense. Quelques années en bouteille l'aideront dans une certaine mesure. »
J-M Quarin (février 2025) : 89/100 « Beau rouge sombre. Nez moyennement intense et fruité. Touche chaleureuse. Le vin débute fruité, se montre savoureux avant que la finale devienne un peu plus agrippante. Longueur moyenne. »
En grande comme en petite année, Latour-Martillac produit à chaque fois un vin remarquablement typé et équilibré, la valeur sûre de l'appellation. La même régularité étant affichée dans ses prix, Latour-Martillac est devenu un choix prioritaire en Pessac-Léognan.
Promu deux étoiles dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France pour l'ensemble de son œuvre, en rouge comme en blanc !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 90/100 « Toujours un peu austère, comme pendant les dégustations en primeur, ce vin possède cependant l’équilibre nécessaire pour évoluer favorablement. »
Vinous (Antonio Galloni - Décembre 2023) : 91/100 « Le Latour-Martillac 2021 est un très joli vin ouvert. Une explosion de fruits rouges et violacés, d'épices, de pétales de rose, de lavande, de menthol et de moka ouvre le bal. Tous les éléments sont si bien équilibrés. Les tanins soyeux et les notes florales en fin de bouche ajoutent au raffinement. Le 2021 est d'une grande sobriété et d'une grande classe. »
En grande comme en petite année, Latour-Martillac produit à chaque fois un vin remarquablement typé et équilibré, la valeur sûre de l'appellation. La même régularité étant affichée dans ses prix, Latour-Martillac est devenu un choix prioritaire en Pessac-Léognan.
Promu deux étoiles dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France pour l'ensemble de son œuvre, en rouge comme en blanc !
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 92+/100 « La Tour-Martillac 2020 présente un bouquet délicieusement complexe de mûre, de myrtille, de terreau humide et de cèdre. Frais et vibrant, le palais est moyennement corsé et doté de tanins fins. Des touches de sel marin et d'olive noire apparaissent en fin de bouche. Excellent. »
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 92/100 « Une belle plénitude, une acidité discrète, une allonge posée sur un grain ferme et savoureux. Comme le rouge du même millésime, c'est un vin d'avenir. »
En grande comme en petite année, Latour-Martillac produit à chaque fois un vin remarquablement typé et équilibré, la valeur sûre de l'appellation. La même régularité étant affichée dans ses prix, Latour-Martillac est devenu un choix prioritaire en Pessac-Léognan.
Promu deux étoiles dans le guide 2023 de la Revue du Vin de France pour l'ensemble de son œuvre, en rouge comme en blanc !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 91/100 « Latour-Martillac 2018 est chargé de fruits noirs, de chocolat, de cuir, de réglisse, de clous de girofle, de gravier, de gibier et d'herbes séchées. Puissant et dense dans le verre, le 2018 est actuellement marqué par d'énormes tanins qui vont avoir besoin de temps pour s'adoucir. Le 2018 était beaucoup plus charmant en barrique. Aujourd'hui, c'est une véritable brute. Les lecteurs devront faire preuve de patience. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 92/100 « Solaire, mais conservant une belle fraîcheur aromatique, ce vin tannique et charnu affirme un potentiel indéniable. »
En Magnum (avril 2021) : 93/100 « Bien marqué par le merlot, rond et voluptueux en texture, en opposition avec un tannin un peu plus classique. Vin de caractère, qui s'épanouira au long de son vieillissement. On se hâte de le laisser en cave. La famille Kressmann conduit ce cru classé des Graves dans la bonne direction. C'est aujourd'hui l'un des étendards de l'appellation et une belle affaire pour l'amateur. »
Plus réputé dans les années 90 pour ses blancs, Carbonnieux a depuis une dizaine d'années nettement relevé le niveau de son vin rouge en puissance, en matière et en velouté de texture, rejoignant ainsi les meilleurs crus de Léognan. Rapport qualité prix incontestable au sein des Pessac-Léognan.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le Carbonnieux 2022 est souple et expressif, mais aussi un peu plus retenu et plus léger dans sa texture globale qu'il ne l'était en barrique. Des accents floraux soulevés gardent ce vin agile. La finale longue et soutenue ajoute à un sentiment de raffinement. Il me manque un peu de la profondeur que j'avais observée en primeur, mais le 2022 est néanmoins très fin. »
J.M Quarin (Février 2025) : 88/100 « Couleur sombre, d'intensité normale et légèrement évoluée. Nez moyennement aromatique, au fruité mûr. Délicat à l'attaque, aérien au développement, le vin évolue d'abord fondant avant de se raffermir un peu dans la persistance. »
Plus réputé dans les années 90 pour ses blancs, Carbonnieux a depuis une dizaine d'années nettement relevé le niveau de son vin rouge en puissance, en matière et en velouté de texture, rejoignant ainsi les meilleurs crus de Léognan. Rapport qualité prix incontestable au sein des Pessac-Léognan.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 93/100 « Carbonnieux 2021 est un délice absolu. Il offre un mélange exotique de fruits à chair noire, d'espresso, de réglisse, de clous de girofle, de cuir et de lavande. Profond, savoureux et très expressif, le 2021 a tellement de choses à faire, tellement de choses à offrir. Le cabernet sauvignon occupe le devant de la scène, ce qui se reflète dans la personnalité des saveurs et la structure générale du vin. »
Plus réputé dans les années 90 pour ses blancs, Carbonnieux a depuis une dizaine d'années nettement relevé le niveau de son vin rouge en puissance, en matière et en velouté de texture, rejoignant ainsi les meilleurs crus de Léognan. Rapport qualité prix incontestable au sein des Pessac-Léognan.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 92/100 « Très réussi, le 2020 s'installe en bouche avec une accorte douceur, un fruit pulpeux qui enrobe une structure fine. La finale ferme et harmonieuse démontre tout le sérieux de ce vin, qui durera longtemps. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 92/100
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 90/100 « Carbonnieux 2020 est très équilibré au nez, avec des senteurs de mûre, de framboise et de cèdre léger, ainsi qu'un boisé bien intégré. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière vive. Il présente une belle structure et une bonne colonne vertébrale, avec une finale fraîche et teintée d'olive noire. Ce vin mérite d'être recherché. »