Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
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Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 95/100 « Le Malartic Lagravière 2022 est un vin assez sexy, ses tannins considérables n'étant pas en reste. Une explosion de cerise noire, de prune, de réglisse, de chocolat, de cuir neuf et d'épices constitue une déclaration d'ouverture forte. Le 2022 est dense et dense jusqu'au cœur, avec une formidable intensité de fruit et des tanins tout aussi imposants. C'est une brute. »
J-M Quarin (février 2025) : 95/100 « Belle couleur sombre et profonde. Nez intense, pur, subtil, au fruité mûr. Bouche immédiatement délicieuse, se développant très parfumée et complexe au milieu, vers une finale à la délicatesse de chair incroyable. Vin très original, aérien, minutieux et profond. C'est incrachable. »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 95/100 « Le Malartic Lagravière 2022 est un vin assez sexy, ses tannins considérables n'étant pas en reste. Une explosion de cerise noire, de prune, de réglisse, de chocolat, de cuir neuf et d'épices constitue une déclaration d'ouverture forte. Le 2022 est dense et dense jusqu'au cœur, avec une formidable intensité de fruit et des tanins tout aussi imposants. C'est une brute. »
J-M Quarin (février 2025) : 95/100 « Belle couleur sombre et profonde. Nez intense, pur, subtil, au fruité mûr. Bouche immédiatement délicieuse, se développant très parfumée et complexe au milieu, vers une finale à la délicatesse de chair incroyable. Vin très original, aérien, minutieux et profond. C'est incrachable. »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 91/100 « Délicat à l'attaque, un brin salin au milieu, le vin évolue suave, fondant et délicatement charnu vers une finale savoureuse à la salinité présente. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 92/100 « Le Malartic Lagravière 2021, qui contient un peu plus de Cabernet Sauvignon que d'habitude, a un bouquet attrayant - pas incroyablement intense, mais délimité avec une prédominance de fruits noirs, d'olives noires et de légères senteurs estuariennes. Il est concentré, mais sans fioritures. La bouche est moyennement corsée avec une touche d'écorce d'orange à l'entrée. Le chêne finement intégré confère à ce Pessac-Léognan une texture soyeuse attrayante, qui s'épanouit gracieusement en fin de bouche. Ce vin semble avoir bien évolué au cours de son élevage en barrique, et il devrait se boire tranquillement pendant 20 à 25 ans. »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 94/100 « Habilement vinifié avec un léger allègement du tanin qui va dans le sens d'une recherche d'élégance plus immédiate, finement épicé, très typique de Léognan, finale fraîche et délicate. Plus que jamais, Malartic fait partie des incontournables de l'appellation. »
J-M Quarin (septembre 2021) : 93/100 « Robe rouge foncé. Intense. Nez intense, frais, fruité, mûr, complexe et profond. Ample à l'attaque, juteux en milieu de bouche, très savoureux en milieu et un tantinet austère, le vin évolue vers une finale légèrement épicée. Bonne longueur. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 95/100 « Le Malartic Lagravière 2018 est tout aussi convaincant qu'il l'était en primeur. Des fruits noirs d'encre, des herbes séchées, de la réglisse, de la lavande et du chocolat sont tous mis en valeur dans ce somptueux Pessac-Léognan. Des courbes douces et des tanins soyeux ajoutent à l'attrait considérable de ce vin. Le 2018 est indéniablement tape-à-l'œil et séduisant, je l'ai adoré. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 93/100 « Dense, velouté, gardant un bel équilibre, construit sur des tanins longs, soyeux, accomplis, avec une générosité alcoolique bien intégrée. Potentiel de longue garde. »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 92/100 « Un Pessac-Léognan souple avec des notes de mûre, de prune rouge et de groseille, agrémentées de clou de girofle et de poivre blanc en fin de bouche. Ce n'est pas un vin d'une complexité étonnante, mais il est élégant et d'une persistance satisfaisante. À savourer dans les 15 prochaines années, voire plus. »
J-M Quarin (octobre 2020) : 91/100 « Nez très aromatique et fin, au fruité mûr. Caressant en entrée de bouche, puis suave au milieu, savoureux et très parfumé, ce vin glisse au palais, juteux et noble dans sa présence finale. C’est bon! »
Racheté en 1988, puis replanté et rénové de fond en comble, Malartic-Lagravière retrouve le style fin, droit et racé‚ qui avait fait son succès dans les années 50 et 60 grâce à l'intransigeance quasi-maniaque de la famille Bonnie.
Malartic-Lagravière continue son ascension, ce qui vaut à son millésime 2018 d’être unanimement salué par les critiques : 93/100 pour la Revue du Vin de France et 94/100 pour En Magnum « il faut plus que jamais compter avec Malartic parmi les incontournables de l'appellation ».
Le millésime 2016 dans la presse :
Jean-Marc Quarin (février 2019) : 94/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez moyennement intense, au fruité mûr, avec une touche qui rappelle plutôt la rive droite. Une nuance de bois de pin participe à la fraîcheur générale. Moelleux et fondant dès l’attaque, le vin se développe juteux et parfumé en milieu de bouche, avec une touche de résine dans sa saveur. Il évolue gras, profond, avec du goût, de la chair et des tanins fins.»
Vinous (N.Martin - janvier 2019) : 95/100 « Le Malartic-Lagravière 2016 présente un merveilleux bouquet de fruits rouges parfumés, agrémenté de pot-pourri, de tapenade d'olives noires et de légers arômes de saumure - un bouquet plein de personnalité. La bouche fraîche et harmonieuse est moyennement corsée, avec des tanins souples, une fine acidité et juste ce qu'il faut de salinité dans la finale aux accents de terreau. Bon vin de la part des Bonnie. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 91/100 « Goûter ce vin à 9 h le matin et ne pas pouvoir cracher, voilà la rareté. Et puis il y a la volupté du corps et cet arôme si particulier que je ne trouve nulle part ailleurs. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 90/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2021 est bordé de fleurs écrasées, de baies rouges sucrées, d'épices et de tabac à pipe. La Chapelle est assez floral et délicat en 2021. Sa personnalité discrète est tout à fait charmante. L'acidité vive de la finale rappelle la saison fraîche et pluvieuse. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 92/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2020 est très contrôlé et plus en retrait au nez par rapport à ses pairs, avec des arômes de mûre, de framboise, de terre humide et d'olive noire légère. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes mais fins. Il y a ici une forte influence marine avec une pointe de réglisse en finale. Ce vin a besoin de temps pour trouver sa voie, mais il le fera. »
Second vin rouge de La Mission Haut-Brion, créé en 1991 et grandement amélioré depuis 2006 par l'adjonction de la totalité du vignoble de La Tour Haut-Brion.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (décembre 2022) : 93/100 « Bouche particulièrement caressante, éclatante de fruits et fondante entre le milieu et la finale. Très belle persistance au grain fin. C’est remarquable. »
Vinous (N. Martin - Janvier 2020) : 91/100 « La Chapelle de La Mission Haut-Brion 2016 a un bouquet plus riche et plus dense que le 2016 Haut Bailly, offrant plus de fruits noirs d'entrée de jeu avec des notes d'algues et de saumure. La bouche est moyennement corsée avec des fruits noirs croquants, une fine perle d'acidité, des notes d'olive noire et de sauge et une finale assez complexe et engageante. Très bon, bien qu'il n'ait pas la persistance de ses pairs. »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2022 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 94/100 « Unanimement salué, le 2022 s'inscrit de toute évidence dans la lignée remarquable des derniers millésimes. Soutenu par une très belle acidité, il possède un caractère plus marqué par la puissance tannique et alcoolique, à l'instar du 2018, que par le rayonnement du fruit qui fait la grandeur singulière du 2016 ou du 2020. La comparaison des mérites de cette succession historique de grands millésimes nourrira la plaisir des sens et du débat de plusieurs générations ! »
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96+/100 « Le Domaine de Chevalier 2022 est fabuleux. Je m'attendais à voir un vin plus turbulent dans ce millésime, mais au lieu de cela, le Domaine de Chevalier est un peu strict et serré. Je pense que ces qualités lui seront utiles dans les décennies à venir. Des arômes de fruits rouges, d'orange sanguine, de cuir neuf et d'épices s'échappent du verre. J'admire particulièrement l'énergie et la tension de ce vin. »
J.M Quarin (Février 2025) : 95/100 « Beau rouge sombre, légèrement évolué. Nez intense, fin, fruité et subtil. Bouche gracieuse à souhait, évoluant savoureuse vers une finale un brin vive et plus stricte que la douceur ressentie en entrée et en milieu de bouche. Corps fondant. »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 93/100 « Dans le contexte du millésime et par rapport à ses pairs, 2021 impressionnait dès les dégustations en primeur. Il confirme aujourd'hui ! Le cabernet-sauvignon est nettement dominant (80% de l'assemblage), définissant un fruit d'une magnifique transparence, intense, "bleu" (comme 2017), satiné et fumé, d'un éclat d'autant plus vif que le boisé est d'une totale discrétion. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94+/100 « Le Domaine de Chevalier 2021 se présente comme assez timide et réticent dans ce millésime. Les arômes sont séduisants, mais en bouche, le vin semble un peu strict et bridé. Des fleurs écrasées, des fruits rouges sucrés, des épices, de la menthe et de l'orange sanguine émergent, mais seulement avec beaucoup de réticence. Il sera intéressant de voir comment le 2021 évoluera avec le temps. »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 91/100 « Coulis de fruit, délié, tendre et solaire à la fois, 2019 offre une respiration pleine de charme mais manque un peu de densité et de relief par rapport aux millésimes qui l'encadrent. L'effet de contexte évoqué en préambule joue pleinement. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
J.M Quarin (Février 2022) : 95/100 « Moelleux en entrée de bouche, particulièrement fruité au milieu, accompagné d'un corps fondant et d'un toucher raffiné, le vin gagne de l'ampleur et de l'expression dans la seconde partie du palais. Il s'achève long sur des tannins fins et sans cesse aromatiques. C'est très bon. »
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 97/100 « Le Domaine de Chevalier 2019 présente un bouquet précis et complexe avec des senteurs de mûre, de cèdre et de tabac, dans un style assez proche du Médoc. C'est un vin très engageant. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples, un chêne exquisément intégré, charnu et finement osé avec une finale précise. Ce vin est exceptionnel. »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 94/100 « On retrouve ce caractère fruité original, profond et noble, dans un 2018 pur et remarquablement constitué, avec toutefois par rapport au 2016 une acidité semblant plus basse et une présence alcoolique qui reprend de la voix-ce qui est tout à fait dans la logique du millésime. »
En Magnum (avril 2021) : 96/100 « Excellent corps, ensemble puissant et frais, très équilibré, tannin racé, pas encore tout à fait formé en milieu de bouche, mais prometteur pour la longue garde. Fidèle à son style toujours énergique et lumineux, ce terroir spectaculaire s'exprime de la plus belle des manières. Nouvelle réussite d'ampleur pour la famille Bernard et ses équipes. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 97/100 « Le Domaine de Chevalier 2018 est facilement l'un des vins du millésime. Un vin d'une précision époustouflante et d'une élégance royale, le Domaine de Chevalier éblouit dès la première dégustation. Les herbes séchées, le pétale de rose, la menthe, l'orange sanguine, la grenade et les notes minérales éclatantes se développent toutes dans le verre. Richement étagé mais aussi translucide, le 2018 fait tourner les têtes. À ne pas manquer ! »
L'arrivée comme consultant de M. Derenoncourt en 2006 a donné un supplément de charme et de moelleux au Domaine de Chevalier, tout en lui conservant sa finesse racée. Son succès est éclatant dans les millésimes récents, le hissant progressivement au faîte de l'appellation.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (mai 2025) : 97/100 « L'éclat du 2016 est d'emblée saisissant, le fruit retranscrit avec enthousiasme ce caractère spécifiqueque l'on retrouve dans les expressions les plus accomplies du cru, cette floralité profonde, suggestive, articulée. Les qualités de constitution et de forme sont admirables, l'équilibre avec les qualités de fraîcheur (vibration, vitalité) s'approche de la perfection. Connaîtra-t-il, comme le 2005 ou le 2010, des phases de fermetures ? »
J-M Quarin (février 2019) : 95/100 « Nuances originales de bois de pin, d’encre et de crème. Fondant à l’attaque, moelleux au développement, très agréable, un brin vif, le vin caresse sur un corps séveux et s'achève profond, avec du goût et des tannins fins. Très bonne longueur. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 97/100 « Le Domaine de Chevalier 2016 est un vin passionnant. Dense et magnifiquement étagé, le 2016 est également un peu plus riche qu'il ne l'est habituellement. Les arômes et la structure du Cabernet Sauvignon sont omniprésents dans le vin. Les fruits rouges sont incroyablement primaires à ce stade. Les lecteurs doivent être prêts à conserver le 2016 pendant au moins une poignée d'années. Il a été tout simplement magnifique les trois fois où je l'ai dégusté jusqu'à présent. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 97+/100 « Le Smith Haut Lafitte 2022 est soyeux, élégant et nuancé. Tout est là. Un vin de précision et de classe, le 2022 est très impressionnant. Des tannins raffinés et souples enveloppent un noyau de fruits bleus et violacés, de lavande, d'espresso et de moka. Je trouve le 2022 un peu fermé aujourd'hui, mais c'est probablement une très bonne chose pour ses perspectives à long terme. J'ai hâte de le voir vieillir. »
J-M Quarin (février 2025) : 97/100 « Couleur très intense. Nez très aromatique, fin, pur et riche. Nuances un brin solaire, puis de fruits noirs relevés par l'épice et le beau chêne. Délicat en entrée de bouche, avec de la classe dans le toucher, le vin monte lentement en finale. Il s'achève puissant, un brin ferme mais aussi très savoureux et long. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 97+/100 « Le Smith Haut Lafitte 2022 est soyeux, élégant et nuancé. Tout est là. Un vin de précision et de classe, le 2022 est très impressionnant. Des tannins raffinés et souples enveloppent un noyau de fruits bleus et violacés, de lavande, d'espresso et de moka. Je trouve le 2022 un peu fermé aujourd'hui, mais c'est probablement une très bonne chose pour ses perspectives à long terme. J'ai hâte de le voir vieillir. »
J-M Quarin (février 2025) : 97/100 « Couleur très intense. Nez très aromatique, fin, pur et riche. Nuances un brin solaire, puis de fruits noirs relevés par l'épice et le beau chêne. Délicat en entrée de bouche, avec de la classe dans le toucher, le vin monte lentement en finale. Il s'achève puissant, un brin ferme mais aussi très savoureux et long. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 95/100 « Ample à l'attaque, complet en milieu de bouche, le vin avance sur un corps fondant avec un peu plus de nuances si on le déguste juste décanté. Belle longueur à la tanicité allégée. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96/100 « Smith haut Lafitte 2021 est un vin engageant et dynamique. Les graviers, le menthol, la réglisse, le moka et les épices sont tous magnifiquement délimités. Un vin d'énergie et de concentration, le 2021 est absolument captivant - moyennement corsé, raffiné et super-impressionnant. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 96/100 « Ensemble harmonieux, splendide fin de bouche et noble intégration du tannin qui laisse augurer un vieillissement qui lui rendra justice et où il exprimera toute la splendeur de son terroir. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 95/100 « Smith Haut Lafitte 2018 était très impressionnant en barrique, et maintenant en bouteille, il tient ses promesses. Merveilleuse précision au nez, subtile au début mais se déployant à chaque tourbillon du verre, révélant des senteurs de mûre et de pierre broyée, des pétales d'iris comme auparavant, et peut-être une touche de plus de violette. La bouche est moyennement corsée, avec une belle tension et une bonne structure. C'est un Smith Haut Lafitte très serré, et même en le carafant pendant 3 à 4 heures, il reste plus réservé que les millésimes récents. Il offre finalement beaucoup de fruits noirs, d'olives noires, une légère influence marine et une pincée de poivre noir concassé sur la finale robuste. Un Smith Haut Lafitte exceptionnel, compte tenu du millésime. »
J-M Quarin (mars 2019) : 95/100 « Minutieux à l’attaque, fondant au développement, très aromatique et juteux, le vin glisse en bouche, parfumé et savoureux, long, avec du chic et de l’arôme. C’est très bon. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 94/100 « En 2016 le grand vin impose une présence encore serrée sur elle-même, intense et de grande tenue. C'est un vin prometteur, plein de ressources, moins extraverti et explosif que le 2015 mais peut-être plus apte à la longue garde. »
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 95+/100 « Smith Haut Lafitte 2016 présente un bouquet opulent et somptueux avec des couches de cerise noire, de gâteau de Noël, de chocolat noir et de vanille. Ce vin veut faire bonne impression. La bouche est très séduisante, avec des fruits rouges luxuriants, des épices brunes et des tanins saturés. Un peu de chêne neuf est visible en fin de bouche, mais il sera absorbé par le vieillissement en bouteille. Je le vois bien vieillir. »
J-M Quarin (janvier 2019) : 96/100 « Nez intense et fin, au fruité mûr, pur et légèrement toasté. Gras à l’attaque, suave au développement, très fruité, puissant et caressant, mais aussi tendre, le vin avance savoureux, vers une longue finale sèveuse, au goût de fruits noirs et de violette, avec une touche tannique à fondre. A noter que la décantation lui est très favorable. »
Pratiquement à l'abandon en 1993 quand M. et Mme Cathiard l'ont acheté, Smith Haut Lafitte fait aujourd'hui partie des 10 plus grands crus de la rive gauche bordelaise. Le chemin parcouru force l'admiration, tant les époux Cathiard n'ont pas ménagé leurs efforts : restauration du vignoble, construction d’un cuvier et d’un chai souterrain, introduction de matériel à la pointe de la technologie, conversion à l'agriculture biologique...
Le millésime 2008 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2018) : 92/100 « Le Smith Haut Lafitte 2008 est un beau vin pour le millésime, encore assez poli au nez avec des senteurs de cassis et de coulis de framboise, une touche de goudron fondu et de tabac ; jeune pour son âge et faisant preuve d'une belle vigueur. A l'aération, un fort parfum de réglisse apparaît soudain. La bouche est douce et ronde à l'attaque, mais elle est très profonde en milieu de bouche, avec des couches de fruits noirs légèrement grillés, agrémentés de tabac, de poivre noir et de fumée. J'ai juste eu l'impression qu'il y avait un peu de sécheresse en fin de bouche, mais il s'agit néanmoins d'un excellent Pessac-Léognan. »
Depuis 1985, Pape Clément associe magnifiquement le bouquet et la finesse naturelle des Graves, à la puissance de son terroir (comparable à celui des plus grands Pauillac). C'est incontestablement un des super seconds de la rive gauche, ce que confirment les notes attribuées à ses derniers millésimes.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Pape Clément 2021 est un vin très élégant et raffiné. Des fleurs écrasées, des cerises rouges, de l'orange sanguine, du menthol et des épices agrémentent ce millésime merveilleusement étagé et expressif du Pape Clément. De jolies notes florales en tête apportent fraîcheur et vivacité. Le style plus décontracté de la maison est aujourd'hui très séduisant. »
J-M Quarin (février 2024) : 96/100
Depuis 1985, Pape Clément associe magnifiquement le bouquet et la finesse naturelle des Graves, à la puissance de son terroir (comparable à celui des plus grands Pauillac). C'est incontestablement un des super seconds de la rive gauche, ce que confirment les notes attribuées à ses derniers millésimes.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 95/100 « Le Pape Clément rouge 2020 présente un bouquet incroyablement intense avec des arômes de mûre et de myrtille à plusieurs niveaux, de cèdre et de compote d'olives noires. Des notes de gousse de vanille et de truffe noire apparaissent avec le temps. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fermes et assez affirmés qui encadrent un énorme poids de fruits (plus que le Domaine de Chevalier ou le Malartic-Lagravière dégustés à côté). Ce n'est pas un Pessac-Léognan subtil, c'est certain, mais il présente une fraîcheur adéquate et une sensation de minéralité et de tension en finale. Il aura besoin d'au moins une décennie en bouteille, mais à long terme, il sera magnifique. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 92/100
Depuis 1985, Pape Clément associe magnifiquement le bouquet et la finesse naturelle des Graves, à la puissance de son terroir (comparable à celui des plus grands Pauillac). C'est incontestablement un des super seconds de la rive gauche, ce que confirment les notes attribuées à ses derniers millésimes.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « La robe du rouge 2019 montre déjà des signes d'évolution. L'expression est cependant profonde, encore serré, “minérale”, avec aussi des inflexions sanguines et fumées. Le fruit s'impose ensuite, se délie avec une réelle suavité, livrant une touchante note florale. Si l'armature tannique est forte, le grain est fin, la matière encore très jeune. On sent dans ce Pape Clément encore réservé mais très distingué, profond, comme une conscience de l'histoire. La réintégration de la propriété à deux étoiles dans notre hiérarchie est une évidence. »
J.M Quarin (mars 2022) : 95/100 « Couleur sombre, intense. Nez très aromatique au fruité mûr et complexe. Moelleux en entrée de bouche, un brin tendre aussi, le vin met du temps avant de se réveiller en milieu de bouche. Il évolue savoureux vers une finale à la tannicité présente et enveloppée. Très bonne longueur. »
Vinous (N. Martin - février 2023) : 94/100 «Le Pape Clément 2019 a beaucoup d'intensité au nez, bien que le chêne neuf soit plus proéminent ici que dans le Domaine de Chevalier. Néanmoins, la délimitation et la concentration sont admirables. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière aigre-douce, des tanins granuleux, de la truffe noire et du soja. La finale est assez intense et affirmée. Ce vin aura besoin de 3 à 5 ans en bouteille et méritera sans aucun doute une note plus élevée. »
Depuis 1985, Pape Clément associe magnifiquement le bouquet et la finesse naturelle des Graves, à la puissance de son terroir (comparable à celui des plus grands Pauillac). C'est incontestablement un des super seconds de la rive gauche, ce que confirment les notes attribuées à ses derniers millésimes.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 96/100 « Le Pape Clément 2018 est un vin si beau et si accueillant. Soyeux, parfumé et étagé, le 2018 montre le style plus sobre et vibrant qui est devenu la norme ici ces dernières années. Les fruits rouges et violacés, la lavande, les pétales de rose et les épices sont au premier plan, tandis que le chêne - autrefois très présent ici - est vraiment atténué. Le 2018 sera un vin fascinant à suivre en cave au cours des prochaines décennies. La pureté des saveurs est tout simplement saisissante. »
J.M Quarin (septembre 2021) : 94/100
Depuis 1985, Pape Clément associe magnifiquement le bouquet et la finesse naturelle des Graves, à la puissance de son terroir (comparable à celui des plus grands Pauillac). C'est incontestablement un des super seconds de la rive gauche, ce que confirment les notes attribuées à ses derniers millésimes.
Le millésime 2016 dans la presse :
J.M Quarin (février 2019) : 98/100 « Couleur sombre, intense, belle et pourpre. Superbe nez très aromatique et très intense, au fruité pur, mûr, subtil. Nuances complexes à la fois fraîches et chaudes. Ample dès l’entrée en bouche, puis très fondant au milieu, le vin se développe à la fois puissant et aérien au milieu, particulièrement riche en arôme. La texture caresse le palais. Savoureux, minutieux et très chic, il s’achève complexe, très fruité, profond, beau, grand avec beaucoup de goût ! Bravo. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2019) : 96/100 « Le Pape Clément 2016 est fabuleux. Racé et somptueux dans le verre, le 2016 capture le style qui caractérise désormais les vins du domaine de Bernard Magrez à Pessac. Plus précisément, le 2016 est merveilleusement profond dans le verre, tout en conservant une formidable fraîcheur. Des arômes de cerise noire, de fumée de prune, de terre brûlée, d'herbes grillées, de cuir et de menthol se développent au fur et à mesure que le 2016 dévoile sa personnalité convaincante et invitante. Je préférerais donner au 2016 au moins quelques années en bouteille pour lui permettre de développer toute l'étendue de ses arômes. Malgré tout, il y a beaucoup de choses à aimer. Souple, souple et très expressif, le Pape Clément est magnifique en 2016. »
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 97/100 « Haut-Bailly 2022 est l'un des vins les plus élégants que j'ai goûté ici depuis très longtemps. Des arômes de fruits rouges/pourpres, de lavande, d'épices, de pétale de rose et d'orange sanguine se mêlent finement dans le verre. Il y a un nouveau sens du raffinement à Haut Bailly ces jours-ci. Le 2022 en est un excellent exemple. Les lecteurs y trouveront un vin suprêmement raffiné, d'une pureté de fruit saisissante, d'une longueur magnifique et d'une construction légèrement linéaire qui n'est pas du tout typique (dans le bon sens du terme) d'un millésime chaud et sec. Des notes minérales nettes soutiennent la finale. »
J.M Quarin (Février 2025) : 98/100 « Couleur sombre, intense. Nez très aromatique, au fruité mûr, profond et complexe. Très délicat en entrée de bouche, avec un toucher gracieux, le vin évolue profond en maintenant cette grande délicatesse. Il s'achève complexe, gras, distingué et noble sur une grande finale séveuse. Enthousiasmant ! Le meilleur jamais fait avec le 2016. »
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 Coup de ♥ « Haut-Bailly 2021 n'est pas un extraverti ; si on lui prête l'attention qu'il mérite, il offre une distinction aromatique unique dans l'appellation, d'une subtilité et d'une fraîcheur émouvantes. »
J-M Quarin (février 2024) : 95/100 « Minutieux en entrée de bouche, très aromatique au milieu, avec de la classe dans le toucher, le vin fond au palais, juteux, parfumé, un brin tendre et déjà très ouvert. Bonne longueur. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96/100 « Haut-Bailly 2021 est incroyablement équilibré, même s'il s'agit clairement d'un vin de réserve dans ce millésime. Sa construction verticale témoigne d'une sophistication pure. Le temps passé dans le verre fait ressortir des notes d'herbes séchées, de menthol, de réglisse, de pin, de mûre et de sous-bois. La plus grande partie de l'assemblage est constituée de cabernet, de sorte que le profil des saveurs et la structure générale sont assez savoureux. J'ai hâte de voir comment le 2021 va vieillir. Il pourrait bien surprendre dans les années à venir. »
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Offrant un impressionnant volume de bouche, un velouté et une qualité de tanin exceptionnels, le 2020 se détend peu à peu. Mais ne soyez surtout pas pressés de l'ouvrir ! Il portera témoignage pour les générations futures. »
Guide Hachette (Guide 2024) coup de ♥ « ample, séveuse, caressante, la bouche profile un Pessac à la fois puissant et d'une grande délicatesse, porté par des tanins très fins, d'un soyeux inimitable »
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 95/100 « sa plénitude, son équilibre et son potentiel ne font aucun doute, ce sera un grand classique »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 96/100
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 95+/100 « Haut-Bailly 2020 a un bien meilleur bouquet que le de Fieuzal. Il est nettement plus frais, avec des arômes de fruits noirs, de cèdre et de tabac. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins - un Pessac - Léognan bien ficelé et harmonieux avec une finale précise et discrète. Ce Pessac 2020 exceptionnel fait preuve d'une grande classe. »
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Offrant un impressionnant volume de bouche, un velouté et une qualité de tanin exceptionnels, le 2020 se détend peu à peu. Mais ne soyez surtout pas pressés de l'ouvrir ! Il portera témoignage pour les générations futures. »
Guide Hachette (Guide 2024) coup de ♥ « ample, séveuse, caressante, la bouche profile un Pessac à la fois puissant et d'une grande délicatesse, porté par des tanins très fins, d'un soyeux inimitable »
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 95/100 « sa plénitude, son équilibre et son potentiel ne font aucun doute, ce sera un grand classique »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 96/100
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 95+/100 « Haut-Bailly 2020 a un bien meilleur bouquet que le de Fieuzal. Il est nettement plus frais, avec des arômes de fruits noirs, de cèdre et de tabac. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins - un Pessac - Léognan bien ficelé et harmonieux avec une finale précise et discrète. Ce Pessac 2020 exceptionnel fait preuve d'une grande classe. »
Haut-Bailly est le plus délicat des vins de Graves avec une structure tannique particulièrement soyeuse.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin ( février 2024) : 97/100 « Velouté à l'attaque, juteux en milieu de bouche, avec un corps ample et néanmoins fondant, le vin se développe minutieux, profond et noble, vers une longue finale complexe et très savoureuse, au grain fin. La classe ! »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 96+/100 « Haut-Bailly 2016 est brillant au nez avec une délimitation et une concentration exquises : mûres, pot-pourri, pierre broyée et des notes de pétale de violette. Ce vin est tout à fait séduisant. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins au grain fin, une acidité parfaitement dosée, très cohérente et presque semblable à celle d'un Pauillac en fin de bouche. Il s'agit d'un Haut-Bailly de grande classe, comme on peut s'y attendre, et sa longueur est stupéfiante. »