Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Le plus petit cru bourgeois (3,9 ha) du Médoc et l'un des premiers certifiés bio (en 2011), tenu par Mme Nadalié, oenologue et fille de la tonnellerie Nadalié qui fournit nombre de grands crus bordelais. Situé au sud du Médoc entre La Lagune et l'appellation Margaux, 65% cabernet-sauvignon et 35% merlot, il est difficile de ne pas aimer son Clos La Bohême au nez floral (très pivoine) sur une bouche suave, tendre, fraîche et des tanins toujours savoureux.
Le plus petit cru bourgeois (3,9 ha) du Médoc et l'un des premiers certifiés bio (en 2011), tenu par Mme Nadalié, oenologue et fille de la tonnellerie Nadalié qui fournit nombre de grands crus bordelais. Situé au sud du Médoc entre La Lagune et l'appellation Margaux, 65% cabernet-sauvignon et 35% merlot, il est difficile de ne pas aimer son Clos La Bohême au nez floral (très pivoine) sur une bouche suave, tendre, fraîche et des tanins toujours savoureux.
Le grand domaine, 144 ha, du Château Giscours produit sur 45 ha en bordure de l'appellation Margaux un Haut-Médoc de noble origine. 50% cabernet-sauvignon et 50% merlot, élevé 12 mois en barrique, un excellent vin déjà séduisant, au bouquet généreux (framboise, mûre, cèdre) et bien structuré par des tanins élégants. Rapport qualité/prix indiscutable.
Rapport qualité/prix indiscutable, d’autant plus dans le millésime 2015 si réussi en sud Médoc.
Avec une remarquable constance, Potensac est depuis 30 ans l'un des plus réguliers crus bourgeois du nord Médoc, preuve du savoir-faire de l'équipe de Léoville-Las Cases (même propriétaire). Sa capacité au vieillissement est toujours étonnante, y compris et surtout dans les 'petites années'.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Potensac 2022 est un Haut-Médoc assez riche et capiteux. Les fruits bleus et violacés, les épices, le cuir neuf, le menthol et la sauge complètent agréablement les couches. Le 2022 offre une combinaison de profondeur de fruit et de vivacité qui est extrêmement séduisante. Il s'ouvre magnifiquement avec un peu d'encouragement. »
Avec une remarquable constance, Potensac est depuis 30 ans l'un des plus réguliers crus bourgeois du nord Médoc, preuve du savoir-faire de l'équipe de Léoville-Las Cases (même propriétaire). Sa capacité au vieillissement est toujours étonnante, y compris et surtout dans les 'petites années'.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Potensac 2022 est un Haut-Médoc assez riche et capiteux. Les fruits bleus et violacés, les épices, le cuir neuf, le menthol et la sauge complètent agréablement les couches. Le 2022 offre une combinaison de profondeur de fruit et de vivacité qui est extrêmement séduisante. Il s'ouvre magnifiquement avec un peu d'encouragement. »
Avec une remarquable constance, Potensac est depuis 30 ans l'un des plus réguliers crus bourgeois du nord Médoc, preuve du savoir-faire de l'équipe de Léoville-Las Cases (même propriétaire). Sa capacité au vieillissement est toujours étonnante, y compris et surtout dans les 'petites années'.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Avec sa bouche juteuse et sa belle expression de fuit, le 2021 se montre déjà ouvert et savoureux. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 91/100 « Potensac 2021 est un vin racé et capiteux. Il y a un peu de cabernet sauvignon dans l'assemblage de cette année, et cela se traduit dans la personnalité du vin. Moyennement corsé, savoureux et très expressif, le Potensac est formidable en 2021. J'admire particulièrement sa finesse. Des notes florales enlevées égayent la finale. »
Avec une remarquable constance, Potensac est depuis 30 ans l'un des plus réguliers crus bourgeois du nord Médoc, preuve du savoir-faire de l'équipe de Léoville-Las Cases (même propriétaire). Sa capacité au vieillissement est toujours étonnante, y compris et surtout dans les 'petites années'.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 93/100 « Potensac 2020 est une admirable réussite et sans doute l'un des plus impressionnants qui soient. Sa forme classique, droite, séveuse laisse présager un beau vieillissement. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 92/100 « Le Potensac 2020 est un véritable bijou. Des acides vifs confèrent au 2020 une énergie notable qui se manifeste immédiatement. Les fruits rouges écrasés, l'orange sanguine, la menthe, le pétale de rose, l'anis étoilé et les pierres concassées se marient à merveille. Ce Médoc finement taillé et ciselé a de belles années devant lui. »
Avec une remarquable constance, Potensac est depuis 30 ans l'un des plus réguliers crus bourgeois du nord Médoc, preuve du savoir-faire de l'équipe de Léoville-Las Cases (même propriétaire). Sa capacité au vieillissement est toujours étonnante, y compris et surtout dans les 'petites années'.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 92/100 « Cette propriété de Jean-Hubert Delon (Léoville Las Cases, Saint-Julien) bénéficie de toute son attention et du savoir-faire de ses équipes.[...] 2019 et 2020 sont spectaculaires, offrant raffinement et soyeux des tanins, avec une finale très juteuse. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 92/100 « Potensac 2019 est fabuleux. Brillant et concentré, le 2019 impressionne par son énergie, son équilibre et sa classe totale. Des fleurs écrasées, de la menthe, de la cannelle, des pierres concassées et de l'orange sanguine s'ouvrent dans le verre. Le 2019 est d'une grande classe, j'adore sa pureté. Le 2019 est un vin exceptionnel, qui devrait en outre offrir un excellent rapport qualité-prix. »
En Magnum (avril 2020) : 92/100 « Encore un millésime de grande classe pour ce cru exemplaire. Le vin du Médoc qui ne déçoit jamais. »
Avec une remarquable constance, Potensac est depuis 30 ans l'un des plus réguliers crus bourgeois du nord Médoc, preuve du savoir-faire de l'équipe de Léoville-Las Cases (même propriétaire). Sa capacité au vieillissement est toujours étonnante, y compris et surtout dans les 'petites années'.
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum ( avril 2021) : 92/100 « Toujours très complet et classique de son appellation, typiquement médocain, dense, structuré, précis dans sa construction et dans l'extraction de son tannin, caractère cédreux. La famille Delon signe encore un millésime de grande classe pour ce cru exemplaire. Le vin du Médoc qui ne déçoit jamais. »
Avec une remarquable constance, Potensac est depuis 30 ans l'un des plus réguliers crus bourgeois du nord Médoc, preuve du savoir-faire de l'équipe de Léoville-Las Cases (même propriétaire). Sa capacité au vieillissement est toujours étonnante, y compris et surtout dans les 'petites années'.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - février 2017) : 90/100 « Potensac 2014 offre une intensité de raisin à la hauteur de sa personnalité affirmée et séduisante. Les fruits bleus et noirs à noyau, les herbes grillées, la réglisse et les épices sombres font une forte première impression. La famille Delon produit des vins de premier ordre, et Potensac est sans doute le joyau caché de la gamme. »
Avec une remarquable constance, Potensac est depuis 30 ans l'un des plus réguliers crus bourgeois du nord Médoc, preuve du savoir-faire de l'équipe de Léoville-Las Cases (même propriétaire). Sa capacité au vieillissement est toujours étonnante, y compris et surtout dans les 'petites années'.
Ce cru de 12 ha est admirablement situé entre ses deux illustres voisins, Chasse-Spleen et Poujeaux. Un seul mot d'ordre pour l'élaboration des vins, quel que soit le millésime : la finesse des tanins. Raffiné et soyeux, Branas Grand Poujeaux s'installe aujourd'hui parmi les tout meilleurs crus bourgeois du Médoc.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 92/100 « Branas Grand Poujeaux 2016 présente un joli bouquet de fruits rouges rameux, de cèdre, de touches de menthe et d'anis étoilé. Il est bien défini et concentré. La bouche est souple et flexible, charnue mais structurée avec une douce adhérence en fin de bouche. Ce Moulis semble se délecter d'une saison de croissance bienveillante, avec juste ce qu'il faut d'amertume en fin de bouche. Un potentiel énorme - l'un des meilleurs millésimes à ce jour. »
Ce cru de 12 ha est admirablement situé entre ses deux illustres voisins, Chasse-Spleen et Poujeaux. Un seul mot d'ordre pour l'élaboration des vins, quel que soit le millésime : la finesse des tanins. Raffiné et soyeux, Branas Grand Poujeaux s'installe aujourd'hui parmi les tout meilleurs crus bourgeois du Médoc.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N.Martin - février 2024) : 90/100 « Le Branas Grand Poujeaux 2014 présente un nez beaucoup plus frais que de nombreux grands noms, avec des senteurs de fruits noirs, de framboise, de piment de la Jamaïque et de cèdre. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples, peut-être un peu moins serrés que dans mon souvenir, mais avec une belle finale caressante. Il s'agit sans aucun doute de l'un des meilleurs vins de la rive gauche du millésime. »
Ce cru de 12 ha est admirablement situé entre ses deux illustres voisins, Chasse-Spleen et Poujeaux. Un seul mot d'ordre pour l'élaboration des vins, quel que soit le millésime : la finesse des tanins. Raffiné et soyeux, Branas Grand Poujeaux s'installe aujourd'hui parmi les tout meilleurs crus bourgeois du Médoc.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N.Martin - juin 2021) : 91/100 « Le Branas Grand Poujeaux 2010 est plus frais et plus vigoureux au nez que le 2009 : mûre, framboise, cuir marbré et arômes mentholés qui se déploient avec le temps. La bouche est moyennement corsée avec des tannins au grain fin, le cèdre et le poivre noir se mêlent à de légères notes ferreuses, bien qu'il y ait ici plus de précision sur la finale par rapport au 2009. Très beau - peut-être le premier à réaliser tout le potentiel du domaine, même s'il a fini par être dépassé. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Avec un côté charnu, un fruit plus noir et une grande ampleur. Une référence pour le cru. »
Vinous (N. Martin - Décembre 2022) : 92/100 « Le Poujeaux 2020 est un merveilleux Moulis-en-Médoc qui devrait offrir un excellent rapport qualité-prix. Au nez, la mûre brillante se mêle à la myrtille et au graphite, et le vin est intense et déterminé à faire bonne impression. La bouche est structurée mais bien équilibrée, le fil d'argent de l'acidité courant du début à la fin. Un peu vitreux en fin de bouche, il sera tempéré par le vieillissement en bouteille dont le Poujeaux a toujours besoin. Ne l'ignorez pas. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2021) : 94/100 « Poujeaux 2019 présente un bouquet très délimité et concentré de mûre, de cèdre, de menthe et de légères feuilles de thé, l'un des plus complexes que j'ai rencontrés dans ce grand domaine au cours des dernières années. La bouche mi-corsée est fraîche, vibrante et accrocheuse, avec des tanins légèrement crayeux et une finale saline et persistante. »
J-M Quarin (février 2022) : 92/100 « Le vin caresse le palais offrant une sensation de plénitude inconnue jusqu'alors. Très longue finale aux saveurs multidimensionnelles. Une grande réussite. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N.Martin - janvier 2021) : 92/100 « Poujeaux 2018 présente un bouquet intense avec des couches de mûres et de myrtilles, un léger parfum marin et une patine persistante de chêne qui a encore besoin de temps pour être subsumée. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière douce, des tanins soyeux et très souples encadrant un Poujeaux au volume et à la poigne impressionnants. Cohérent du début à la fin, il se referme un peu sur la finale, ce qui indique que ce Moulis a des projets à long terme. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N.Martin - janvier 2021) : 92/100 « Poujeaux 2018 présente un bouquet intense avec des couches de mûres et de myrtilles, un léger parfum marin et une patine persistante de chêne qui a encore besoin de temps pour être subsumée. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière douce, des tanins soyeux et très souples encadrant un Poujeaux au volume et à la poigne impressionnants. Cohérent du début à la fin, il se referme un peu sur la finale, ce qui indique que ce Moulis a des projets à long terme. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2019) : 90+/100 « Il semble un peu pincé pour l'instant, mais il a le poids et l'intensité nécessaires pour s'étoffer avec le vieillissement en bouteille. Il gagnerait peut-être à être plus complexe en fin de bouche, mais sinon, c'est un Poujeaux bien construit. »
Racheté en 2008 par M. Cuvelier (Clos Fourtet), une nouvelle ère commence à Poujeaux sous la conduite de MM. Thienpont et Derenoncourt.
Par son élégance racée, son velouté naturel et sa texture à la fois délicate et profonde, Poujeaux est le plus Saint-Julien des Moulis, et un modèle de style pour tous les crus bourgeois du Médoc. Le cru ne cesse de progresser, comme en atteste la note de 94/100 attribuée par la Revue du vin de France pour son 2020 « voilà un vin très séveux et prometteur ».
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 90/100 « Le Chasse-Spleen 2022 est un Moulis puissant et profond. La terre brûlée, le tabac, l'encens et les fleurs séchées complètent un noyau de fruits noirs. Le 2022 a besoin de quelques années en bouteille pour être à son meilleur. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 90/100 « Le Chasse-Spleen 2022 est un Moulis puissant et profond. La terre brûlée, le tabac, l'encens et les fleurs séchées complètent un noyau de fruits noirs. Le 2022 a besoin de quelques années en bouteille pour être à son meilleur. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 90+/100 « Le Chasse-Spleen 2019 présente un bouquet bien défini, avec des notes de mûre et de myrtille, de sous-bois et de tabac - un vrai classique du Médoc. La bouche est moyennement corsée avec beaucoup de fruits rouges fougueux, une profondeur modeste et montrant une certaine austérité vers la fin. Un 2019 plus cérébral de la rive gauche, même si j'aurais aimé un peu plus de persistance. Il est peut-être en train d'entrer dans une adolescence difficile. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (A Galloni - décembre 2017) : 93/100 « Le Chasse-Spleen 2016 possède un merveilleux bouquet détaillé et minéral qui ressemble à un ressort enroulé en ce moment. La bouche harmonieuse est moyennement corsée avec des tanins souples, une profondeur impressionnante et une finale pure mais accrocheuse et convaincante. L'un des meilleurs Chasse-Spleen de ces dernières années. Bravo à tous ! Ce vin pourrait représenter l'un des meilleurs rapports qualité/prix de la Rive Gauche. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (A Galloni - décembre 2017) : 90/100 « Chasse-Spleen 2015 est un vin de finesse et de grâce. Des notes florales, des épices, du cuir et de la menthe sont magnifiquement délimitées dans ce vin attrayant et de poids moyen. Tous les éléments sont très joliment équilibrés. Les lecteurs qui apprécient le côté raffiné du bordeaux seront enthousiasmés par le 2015. »
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 90/100 « Le Chasse-Spleen 2014 a un nez plus rétro que dans mes souvenirs, anisé, teinté de fruits rouges, avec juste une touche de menthe sauvage. La bouche est moyennement corsée avec des fruits rouges légèrement épicés, bien équilibrée et ferreuse vers la fin avec une finale épicée. »
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥
Bien que contigu à Poujeaux, Chasse-Spleen offre un autre visage des vins de Moulis, plus tannique et, dans sa première jeunesse, plus austère. Un grand classique médocain.
Chasse-Spleen s'étend en 2023 avec l'acquisition de Brillette, 35 ha d'un beau terroir de graves profondes de Moulis.
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 90/100 « Sociando-Mallet 2021 met un peu de temps à évoluer dans le verre, bien qu'il offre finalement des senteurs attrayantes de mûre, de saumure et de cèdre. Une très légère note de truffe noire se cache en arrière-plan. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins. C'est un joli Sociando, bien équilibré et frais, qui gagne en profondeur en fin de bouche, avec un arrière-goût vif de cerise acide. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Avec toute l'élégance margalaise que l'on est en droit d'attendre du cru. Déjà séduisant, avec son côté velouté, il évoluera sur une décennie sans problème. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 91/100 « Le Sociando-Mallet 2020 montre plus de chêne neuf au nez que ses pairs, bien qu'il y ait suffisamment de fruits rouges pour absorber cela. La bouche est moyennement corsée, fraîche et bien délimitée, avec des notes de cerise amère et un soupçon de balsamique. La texture est granuleuse, la longueur satisfaisante et une touche de clissisme. Donnez-lui quelques années en bouteille. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 91+/100 « Le Sociando Mallet 2019 a plus de présence au nez que le Le Boscq ; le fruit est plus sombre et plus audacieux. La bouche est moyennement corsée avec des tannins saturés, beaucoup de cassis et de framboises agrémentés de cèdre et de poivre noir. Solide, même s'il manque un peu d'élégance en fin de bouche. Donnez-lui quelques années et il reviendra régulièrement à son niveau d'évaluation après la mise en bouteille. »
J-M Quarin (avril 2022) : 90/100 « Beau nez très aromatique, fruité et subtil. Nuances fines de gelée de mûres. »