Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
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Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Second vin de Gruaud-Larose. Dans un registre assez puissant et serré, Sarget est un Saint-Julien sérieux et convaincant, avec du fond, au mieux après 5 à 7 ans de vieillissement.
Le millésime 2022 dans la presse :
J-M Quarin (février 2025) : 89/100 « Couleur sombre et intense. Nez très aromatique, fruité, subtil et plus vif que lors de la présentation Primeurs. Bouche fruitée, savoureuse, au corps fondant, gagnant de la puissance en finale. Longueur normale séveuse et parfumée. »
Second vin de Gruaud-Larose. Dans un registre assez puissant et serré, Sarget est un Saint-Julien sérieux et convaincant, avec du fond, au mieux après 5 à 7 ans de vieillissement.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Gruaud Larose 2021 est un vin de pure race et de stature. Les fruits sépia, les épices, le cuir neuf, la réglisse, les graviers, les herbes séchées, les copeaux de crayon et l'encens sont magnifiquement amplifiés. Souple et expansif dans le verre, avec une formidable énergie, le 2021 respire la classe. Des tanins polis et souples enveloppent le tout, avant qu'une dernière explosion d'acidité vibrante ne prolonge la finale. »
Second vin de Gruaud-Larose. Dans un registre assez puissant et serré, Sarget est un Saint-Julien sérieux et convaincant, avec du fond, au mieux après 5 à 7 ans de vieillissement.
Connu sous le nom de Château Lalande-Borie jusqu'en 2018, Le Petit Ducru est issu de parcelles de grands crus classés. Un Saint-Julien fin et distingué, dans l'esprit de Ducru-Beaucaillou
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92/100 « Le Petit Ducru 2022 déborde de fruits rouges et bleus, de cuir neuf, de tabac épicé, de graphite, de moka et d'espresso. Ce Saint-Julien juteux et audacieux offre des tonnes d'immédiateté, car le Merlot était particulièrement mûr. Le Petit Ducru est tout à fait extraverti, mais il possède également une bonne structure. »
Connu sous le nom de Château Lalande-Borie jusqu'en 2018, Le Petit Ducru est issu de parcelles de grands crus classés. Un Saint-Julien fin et distingué, dans l'esprit de Ducru-Beaucaillou
Connu sous le nom de Château Lalande-Borie jusqu'en 2018, Le Petit Ducru est issu de parcelles de grands crus classés. Un Saint-Julien fin et distingué, dans l'esprit de Ducru-Beaucaillou
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - Février 2022) : 92/100 « Le Petit Ducru de Ducru-Beaucaillou 2019 est cossu, crémeux et ouvert, ce qui lui confère une grande immédiateté, sans parler de son charme. De succulentes cerises noires, des prunes, du moka et de la réglisse nuancent cet assemblage racé à base de merlot. Le Petit Ducru est un nouveau vin qui se veut la troisième sélection du château. »
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 90/100 « Anciennement baptisé Lalande-Borie, le troisième vin de Ducru-Beaucaillou est très accessible et ouvert, à boire sur le fruit de sa jeunesse. Ce 2019 est friand et soyeux, avec du charme et un côté digeste. »
Le meilleur cru bourgeois de Saint-Julien (il aurait pu aisément être classé en 1855), tenu par l’équipe de Saint-Pierre, même propriétaire, et en très grande forme dans les derniers millésimes. La valeur sûre du Médoc par excellence.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Gloria 2022 est audacieux, percutant et très expressif. Dans ce millésime, Gloria a un peu plus de richesse en milieu de bouche et de poids que la plupart des années. Les fruits rouges, l'orange sanguine, le moka, les épices, le cuir neuf et le cèdre se développent au fur et à mesure que ce Saint-Julien s'ouvre dans le verre. »
J.M Quarin (Février 2025) : 93/100 « Beau rouge sombre, intense. Nez très aromatique, au fruité mûr, subtil et légèrement fumé à l'agitation du verre. Juteux en entrée de bouche, très aromatique au milieu, avec un gras fin parcourant le palais, le vin évolue vers une longue finale séveuse, savoureuse, qui laisse la bouche fraîche (y compris à 9h du matin !). C'est très bon. En compétition avec le 2018 pour être le meilleur jamais fait. »
Le meilleur cru bourgeois de Saint-Julien (il aurait pu aisément être classé en 1855), tenu par l’équipe de Saint-Pierre, même propriétaire, et en très grande forme dans les derniers millésimes. La valeur sûre du Médoc par excellence.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « 2021 ne fait pas exception, le vin est posé sur une jolie structure, avec des notes de fruits rouges et un joli côté étiré sur des tanins très polis. L'élevage se fait discret. Esprit flatte par sa gourmandise immédiate et son ouverture. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 93/100 « Gloria 2021, qui contient une bonne dose de Petit Verdot (14%), présente un bouquet net et pur avec des senteurs de cerise noire, de myrtille, de cèdre et de violette écrasée, presque dans le style de Margaux. Le chêne est bien intégré. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière teintée de graphite. C'est un Gloria assez « vertical », conservateur à certains égards, mais il ne compense pas en termes de précision sur la finale, et sa longueur en fin de bouche est rassurante. Il y a un bon potentiel ici. »
Le meilleur cru bourgeois de Saint-Julien (il aurait pu aisément être classé en 1855), tenu par l’équipe de Saint-Pierre, même propriétaire, et en très grande forme dans les derniers millésimes. La valeur sûre du Médoc par excellence.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 93/100 « Les derniers millésimes semblent orienter Gloria vers davantage d'élégance et de pureté. 2018 est à ce titre très réussi, le vin possède un fruit très noble et beaucoup de race avec un élevage qui se fait plus discret. Très bel équilibre. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 93/100 « Le Gloria 2018 présente un bouquet merveilleux et harmonieux de copieuses notes de mûre, de biary, de cèdre et de tabac, qui semble tellement... sans effort. La bouche très harmonieuse offre des fruits noirs purs agrémentés de graphite. Avec un poids modéré et une acidité fine, ainsi qu'une finale linéaire et concentrée, ce Gloria est d'une grande classe et pourrait mériter une note plus élevée à l'avenir. »
Le meilleur cru bourgeois de Saint-Julien (il aurait pu aisément être classé en 1855), tenu par l’équipe de Saint-Pierre, même propriétaire, et en très grande forme dans les derniers millésimes. La valeur sûre du Médoc par excellence.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 94/100 « Le Gloria 2010 présente un bouquet très attrayant et assez intense avec une surabondance de senteurs de mûre et de fraise des bois, de cèdre et d'algues légères qui se révèlent à l'aération. Le palais est très bien équilibré avec des tannins souples mais fermes encadrant la pureté de la mûre et de la myrtille, agrémentée de poivre noir et de clou de girofle. Très complexe, très concentré et très précis en finale, ce Saint-Julien 2010 est exceptionnel. »
Clos du Marquis n'est plus le second vin de Léoville-Las Cases, mais un vin à part entière produit sur les parcelles jouxtant Léoville-Poyferré et Lagrange. Quoiqu'il en soit, sa régularité exemplaire depuis maintenant plus de 30 ans force le respect.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Clos du Marquis 2022 est magnifique. Résonant et très expressif, il possède une profondeur de texture notable et beaucoup de présence, mais ne se sent jamais lourd. Des fruits noirs d'encre, des épices, du cuir neuf et de la réglisse se répandent sur le palais. Le 2022 sera un véritable délice à boire au cours des 10 à 15 prochaines années. »
J.M Quarin (Février 2025) : 93/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez moyennement aromatique, au fruité mûr et qui merlote. Tendre à l'attaque, suave en milieu de bouche, le vin glisse, caresse et finit long, sur un grain de tannin enrobé. Il m'a manqué un peu d'éclat. »
Clos du Marquis n'est plus le second vin de Léoville-Las Cases, mais un vin à part entière produit sur les parcelles jouxtant Léoville-Poyferré et Lagrange. Quoiqu'il en soit, sa régularité exemplaire depuis maintenant plus de 30 ans force le respect.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 91+/100 « Le Clos du Marquis 2019 a besoin d'un peu plus de précision au nez, de fruits noirs, de cèdre, de touches de sauge et de pétales d'iris écrasés. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins et assez souples Douceur de prise, mais il y a certainement une structure évidente ici avec une fisnish assez tannique. Ce vin aura besoin d'un peu de temps en cave. »
Clos du Marquis n'est plus le second vin de Léoville-Las Cases, mais un vin à part entière produit sur les parcelles jouxtant Léoville-Poyferré et Lagrange. Quoiqu'il en soit, sa régularité exemplaire depuis maintenant plus de 30 ans force le respect.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Février 2022) : 91/100 « Clos du Marquis 2012 a plus de puissance au nez que le Talbot 2012. Le fruit est légèrement plus sombre, mais le chêne est bien intégré. La bouche est moyennement corsée avec une entrée légèrement épicée, une texture granuleuse, une touche de poivre blanc saupoudrée sur le fruit rouge avec juste une très légère mais bienvenue amertume sur la finale qui lui donne du tranchant. »
Clos du Marquis n'est plus le second vin de Léoville-Las Cases, mais un vin à part entière produit sur les parcelles jouxtant Léoville-Poyferré et Lagrange. Quoiqu'il en soit, sa régularité exemplaire depuis maintenant plus de 30 ans force le respect.
Le plus sérieux et le plus régulier des grands crus classés de Saint-Julien, et même du Médoc. Quel que soit le millésime depuis 1986, Lagrange ne déçoit jamais, avec une constance et une justesse qui forcent le respect !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Lagrange 2022 est un vin magnifique et de grande classe. Des fleurs écrasées, de la menthe, de la cannelle et de la lavande se fondent dans un noyau de fruits rouges brillants. Le Lagrange a bien supporté les rigueurs de la saison de croissance. J'admire particulièrement sa précision et sa nuance. De vives notes florales et d'agrumes soulèvent magnifiquement la finale. »
J-M Quarin (février 2025) : 95/100 « Couleur sombre, intense, pourpre et vive. Nez très aromatique, au fruité frais, mûr, parfaitement ajusté au boisé. Pulpeux à l'attaque, délicatement tramé en milieu de bouche, le vin glisse et évolue dense, élancé et profond vers une longue finale séveuse. C'est superbe ! »
Le plus sérieux et le plus régulier des grands crus classés de Saint-Julien, et même du Médoc. Quel que soit le millésime depuis 1986, Lagrange ne déçoit jamais, avec une constance et une justesse qui forcent le respect !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Lagrange 2022 est un vin magnifique et de grande classe. Des fleurs écrasées, de la menthe, de la cannelle et de la lavande se fondent dans un noyau de fruits rouges brillants. Le Lagrange a bien supporté les rigueurs de la saison de croissance. J'admire particulièrement sa précision et sa nuance. De vives notes florales et d'agrumes soulèvent magnifiquement la finale. »
J-M Quarin (février 2025) : 95/100 « Couleur sombre, intense, pourpre et vive. Nez très aromatique, au fruité frais, mûr, parfaitement ajusté au boisé. Pulpeux à l'attaque, délicatement tramé en milieu de bouche, le vin glisse et évolue dense, élancé et profond vers une longue finale séveuse. C'est superbe ! »
Le plus sérieux et le plus régulier des grands crus classés de Saint-Julien, et même du Médoc. Quel que soit le millésime depuis 1986, Lagrange ne déçoit jamais, avec une constance et une justesse qui forcent le respect !
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (avril 2022) : 92/100 « Belle couleur sombre et profonde. Nez très aromatique, fin, fruité, frais et mûr. Moelleux en entrée de bouche, juteux au milieu et comme toujours très savoureux, le vin caresse le palais, éclatant de fruits. Il s'achève long, sur une nuance d'encre et une tannicité charnue. C'est très bon. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Lagrange 2021 s'est révélé magnifique. De succulentes cerises rouges, des prunes, du cèdre, du tabac, des épices et du moka infusent le 2021 avec une profondeur magnifique. Doux, succulent et engageant, le Lagrange est merveilleusement attirant. Il se boira bien avec un minimum de garde. »
Le plus sérieux et le plus régulier des grands crus classés de Saint-Julien, et même du Médoc. Quel que soit le millésime depuis 1986, Lagrange ne déçoit jamais, avec une constance et une justesse qui forcent le respect !
Le millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (avril 2022) : 92/100 « Belle couleur sombre et profonde. Nez très aromatique, fin, fruité, frais et mûr. Moelleux en entrée de bouche, juteux au milieu et comme toujours très savoureux, le vin caresse le palais, éclatant de fruits. Il s'achève long, sur une nuance d'encre et une tannicité charnue. C'est très bon. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Lagrange 2021 s'est révélé magnifique. De succulentes cerises rouges, des prunes, du cèdre, du tabac, des épices et du moka infusent le 2021 avec une profondeur magnifique. Doux, succulent et engageant, le Lagrange est merveilleusement attirant. Il se boira bien avec un minimum de garde. »
Le plus sérieux et le plus régulier des grands crus classés de Saint-Julien, et même du Médoc. Quel que soit le millésime depuis 1986, Lagrange ne déçoit jamais, avec une constance et une justesse qui forcent le respect !
Le millésime 2020 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 94/100 « Le bouquet est délicieux et précis, avec des notes minérales de fruits noirs, des touches de sous-bois et une influence subtile de la mer et de la coquille d'huître. La bouche est détaillée et minérale, très pure et harmonieuse, avec un mélange de fruits rouges et noirs, soyeux et d'une profondeur impressionnante. C'est la quintessence du Larange, très séduisant et je parie qu'il sera sous-estimé par certains. Pas moi. »
Le plus sérieux et le plus régulier des grands crus classés de Saint-Julien, et même du Médoc. Quel que soit le millésime depuis 1986, Lagrange ne déçoit jamais, avec une constance et une justesse qui forcent le respect !
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 95/100
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 95/100 « Lagrange 2019 présente un nez ouvert et classique de Saint-Julien avec des fruits noirs, de la suie de cheminée, du tabac et un léger saupoudrage de poivre blanc. Il y a un peu plus de terre ici. La bouche est discrète et charnue, poignée douce, plus accessible que ses pairs, pure mais sans la même poignée et la même colonne vertébrale en finale. Très séduisant. »
J-M Quarin (mars 2022) : 94/100 « Bravo ! Lagrange retrouve une position d'Outsider dans ce millésime. »
Le plus sérieux et le plus régulier des grands crus classés de Saint-Julien, et même du Médoc. Quel que soit le millésime depuis 1986, Lagrange ne déçoit jamais, avec une constance et une justesse qui forcent le respect !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 94/100 « Le 2018 est charmant et gracieux. Des arômes doux et élevés et une structure de poids moyen donnent au 2018 des tonnes d'immédiateté. Les baies rouges brillantes, l'orange sanguine, la menthe, les épices, le pétale de rose et le cèdre se développent avec le temps dans le verre. Des tanins polis et soyeux agrémentent la finale magnifiquement persistante. Mieux encore, le 2018 sera prêt à être dégusté avec un minimum de garde. »
Dans l’ombre de son grand frère (Léoville-Barton), Langoa-Barton avec un vignoble d’à peine 17 ha est le plus petit et le moins connu des crus classés de Saint-Julien. Pour autant, il offre le fruité élégant et gracieux des Saint-Julien avec une remarquable capacité de vieillissement. Et un prix des plus raisonnables !
Le millésime 2021dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Fidèle à son style, est délicieux, fondu et très raffiné, avec des tanins de soie. »
J.M Quarin (Février 2024) : 93/100
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 93/100 « Langoa Barton 2021 est présenté dans une étiquette unique spécialement conçue à la main et dans une boîte en carton durable au lieu du bois, pour célébrer le bicentenaire de la propriété familiale. Les arômes ont en fait progressé d'un cran depuis que je l'ai goûté en barrique : mûre intense et fraise des bois, violette écrasée et juste un soupçon d'eucalyptus. Le chêne est parfaitement intégré. La bouche est moyennement corsée avec un fruit noir étonnamment moelleux, un Langoa suave et harmonieux avec un soupçon d'épices en fin de bouche. Ce vin est plein de saveur et il sera difficile d'y résister dans sa jeunesse. »
Dans l’ombre de son grand frère (Léoville-Barton), Langoa-Barton avec un vignoble d’à peine 17 ha est le plus petit et le moins connu des crus classés de Saint-Julien. Pour autant, il offre le fruité élégant et gracieux des Saint-Julien avec une remarquable capacité de vieillissement. Et un prix des plus raisonnables !
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 93/100
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 94/100 « Le Langoa Barton 2019 présente un bouquet beaucoup plus classique avec des arômes de mûre, de gravier, de tabac fraîchement roulé et de fumée qui s'échappent de la bouche. La bouche est moyennement corsée avec des tanins doux et mûrs. Il n'a pas tout à fait la profondeur de ses pairs, bien qu'il soit très bien équilibré, mais il se referme sur la finale. A garder en cave pendant encore 8 à 10 ans. »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95/100 « Le millésime lui convient à merveille en lui apportant une rondeur suave en milieu de bouche, ce qui le rend très gourmand. La finale fraîche et sapide se prolonge bien. »
Dans l’ombre de son grand frère (Léoville-Barton), Langoa-Barton avec un vignoble d’à peine 17 ha est le plus petit et le moins connu des crus classés de Saint-Julien. Pour autant, il offre le fruité élégant et gracieux des Saint-Julien avec une remarquable capacité de vieillissement. Et un prix des plus raisonnables !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 92/100 « Langoa Barton est succulent et racé dès le départ. Des fruits rouges d'encre, de douces notes florales, du cèdre et des épices s'entremêlent sans effort. Ce Saint-Julien mi-lourd et souple est tout aussi séduisant qu'il l'était en barrique. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 93/100 « Une matière travaillée sur la délicatesse et un fruité qui demeure éclatant. Déjà très séduisant. »
Dans l’ombre de son grand frère (Léoville-Barton), Langoa-Barton avec un vignoble d’à peine 17 ha est le plus petit et le moins connu des crus classés de Saint-Julien. Pour autant, il offre le fruité élégant et gracieux des Saint-Julien avec une remarquable capacité de vieillissement. Et un prix des plus raisonnables !
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2017) : 93/100 « Quelle belle surprise que ce Langoa-Barton 2015. Racé, soyeux et en avant, le 2015 se boira bien avec un minimum de garde. Les succulentes cerises rouges et la grenade sont joliment relevées par des notes florales et d'épices qui ajoutent de l'intensité aromatique et des couches de saveurs. Les tanins soyeux ajoutent à l'immédiateté et à l'attrait du vin. »
Second vin de Ducru-Beaucaillou. Comme pour les autres vins élaborés par Bruno Borie (Le Petit Ducru et Ducru-Beaucaillou), La Croix Ducru-Beaucaillou a considérablement progressé depuis 2003 au point de s’imposer comme un rival direct des 3èmes/4èmes crus classés de St-Julien. De plus, il bénéficie maintenant d’un apport de vignes achetées au Château Terrey-Gros-Cailloux.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « La Croix Ducru-Beaucaillou 2022 est un vin énorme et dense. Une explosion de cerise noire, de prune, de chocolat, de cuir, d'encens et de cuir neuf sature le palais. Large, ample et explosif, avec une intensité qui fait tache, La Croix Ducru-Beaucaillou est un Saint-Julien somptueux et opulent. La texture est très présente et les tannins sont à l'avenant. »
Second vin de Ducru-Beaucaillou. Comme pour les autres vins élaborés par Bruno Borie (Le Petit Ducru et Ducru-Beaucaillou), La Croix Ducru-Beaucaillou a considérablement progressé depuis 2003 au point de s’imposer comme un rival direct des 3èmes/4èmes crus classés de St-Julien. De plus, il bénéficie maintenant d’un apport de vignes achetées au Château Terrey-Gros-Cailloux.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 Coup de ♥ « La Croix s’assume comme le second vin, même s’il s’appuie sur un parcellaire dédié. Construit autour des cabernets, il se révèle d’une grande droiture, savoureux et sapide, avec une bouche qui affiche un volume superbe et des tanins intégrés. »
Vinous (N. Martin - décembre 2023) : 93/100 « 2021 La Croix Ducru-Beaucaillou a un bouquet magnifiquement défini où le cabernet sauvignon règne en maître, apportant une fine minéralité et une jolie influence marine, assez frais et classique, la bouche est très saline en entrée, comme pour marcher jusqu'à la finale impressionnante et persistante, c'est un superbe 2021 qui donnera 20 ans de plaisir. Il n'est qu'à un cheveu du Grand Vin en termes de qualité. »
Second vin de Ducru-Beaucaillou. Comme pour les autres vins élaborés par Bruno Borie (Le Petit Ducru et Ducru-Beaucaillou), La Croix Ducru-Beaucaillou a considérablement progressé depuis 2003 au point de s’imposer comme un rival direct des 3èmes/4èmes crus classés de St-Julien. De plus, il bénéficie maintenant d’un apport de vignes achetées au Château Terrey-Gros-Cailloux.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 93/100 « La Croix de Beaucaillou 2016 présente un bouquet très attrayant de mûres et de myrtilles, à la fois riche et maîtrisé, qui s'entremêle avec un chêne de qualité. La bouche mi-corsée présente des tanins fins, une acidité bien dosée et une finale soyeuse et sensuelle qui reste longtemps en bouche. Ce 2016 est très impressionnant. »
Toujours noir d’encre, toujours délicieusement gras et suave, toujours St-Julien et surtout toujours régulier. Supervisé par M. Derenoncourt à partir de 2009, Talbot a gagné en intensité et en précision aromatique.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2025) : 94/100 « Le Talbot 2022 a été mis en bouteille en mai. Le directeur du domaine, Jean-Michel Laporte, a déclaré qu'il le considérait comme une combinaison des millésimes 2018, 2019 et 2020, mais qu'il était meilleur que ces derniers. Le 2022 a un bouquet serré, net et propre, un peu plus « froid » que dans mon souvenir, et je veux dire cela de façon positive. Il se débarrasse parfaitement de la chaleur de cette saison de croissance. Il présente une merveilleuse pureté de fruit, teintée de tabac et de légères senteurs de suie de cheminée. La bouche est moyennement corsée, avec des notes de fruits noirs croquants - une quintessence du Talbot, avec un peu plus de puissance que les millésimes récents, mais une belle précision et de la structure en fin de bouche. J'apprécie la finesse des tanins et le poids de ce Saint-Julien. »
J-M Quarin (février 2025) : 90/100 « Couleur sombre, intense et légèrement évoluée. Nez très aromatique, au fruité mûr et solaire. Bouche minutieuse et parfumée, mais légère, qui pourrait être plus tramée. »
Toujours noir d’encre, toujours délicieusement gras et suave, toujours St-Julien et surtout toujours régulier. Supervisé par M. Derenoncourt à partir de 2009, Talbot a gagné en intensité et en précision aromatique.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2016) : 92/100 « Talbot 2016 présente un bouquet aérien et bien défini de mûre, de cèdre et de légers arômes mentholés, peut-être plus Pauillac que Saint-Julien. La bouche moyennement corsée offre des tannins granuleux, une acidité fine et une finale marquée par le graphite. C'est un très bon vin pour Talbot, un Saint-Julien taillé dans un style typiquement classique. »