Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Toujours noir d’encre, toujours délicieusement gras et suave, toujours St-Julien et surtout toujours régulier. Supervisé par M. Derenoncourt à partir de 2009, Talbot a gagné en intensité et en précision aromatique.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 93/100 « Le Talbot 2015 se montre bien meilleur aujourd'hui qu'il y a tout juste un an. Il présente ici un bouquet beaucoup plus intense que les Gruaud Larose et Lagrange. Des senteurs de mûre et de myrtille en amont, du cèdre et des arômes subtils de menthe apportent de la complexité avec le temps passé dans le verre. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins serrés à l'entrée, une acidité finement perlée et des couches de fruits noirs infusés de graphite. J'adore la précision de la finale et la persistance est superbe. Impressionnant. »
Les progrès patents de Saint-Pierre depuis 2003 le placent maintenant en grand rival de ses pairs à Saint-Julien, les devançant même en profondeur de chair. Magnifique dans les millésimes récents, comme le 2019 noté 95/100 par la Revue des Vins de France « Grande réussite » ou le 2020 noté 96/100 « un des plus aboutis et raffinés qui soient ».
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 95/100 « Le Saint-Pierre (Saint-Julien) 2022 est superbe, tel qu'il était en primeur. Les fruits noirs d'encre, le cuir neuf, la lavande, la réglisse, les épices et le graphite infusent le 2022 d'une complexité et d'une dimension saisissantes. Comme toujours, le Saint-Pierre (Saint-Julien) est un grand vin capiteux. Il y a certainement beaucoup de vin ici. Le 2022 est très vif. »
J-M Quarin (février 2025) : 97/100 « Couleur sombre, intense, profonde et jeune. Nez très aromatique, fin, pur, fruité et légèrement fumé, sentant bon le beau cabernet sauvignon. Minutieux en entrée de bouche et de suite très aromatique, précis, gras, parfumé et séveux, le vin caresse, se développe élancé sur le palais et s'achève dense, tramé et long. C'est superbe ! »
Les progrès patents de Saint-Pierre depuis 2003 le placent maintenant en grand rival de ses pairs à Saint-Julien, les devançant même en profondeur de chair. Magnifique dans les millésimes récents, comme le 2019 noté 95/100 par la Revue des Vins de France « Grande réussite » ou le 2020 noté 96/100 « un des plus aboutis et raffinés qui soient ».
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Le cru ne cesse de nous surprendre par son nouveau style, bien plus défini et précis, plus proche du fruit. Ce 2021 est juteux et sapide en bouche, tout en fruit, avec des tanins caressants en finale. »
J.M Quarin (Février 2024) : 94/100
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 93/100 « Le Saint-Pierre 2021 est un vin sombre et ténébreux. Les fruits noirs, les graviers, les épices, le menthol, la réglisse et la lavande s'ajoutent à une impression d'intensité sombre. Il y a une bonne profondeur et un bon dynamisme, même si quelques contours anguleux subsistent. Comme toujours, le Saint-Pierre montre le côté plus sombre de Saint-Julien. Tout est là en 2021. »
Les progrès patents de Saint-Pierre depuis 2003 le placent maintenant en grand rival de ses pairs à Saint-Julien, les devançant même en profondeur de chair. Magnifique dans les millésimes récents, comme le 2019 noté 95/100 par la Revue des Vins de France « Grande réussite » ou le 2020 noté 96/100 « un des plus aboutis et raffinés qui soient ».
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 96/100 « Le 2020 est un des plus aboutis et raffinés qui soient, avec une bouche qui impressionne par sa définition et sa dynamique. Une très belle réussite dans un esprit très Saint-Julien. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le Saint-Pierre 2020 présente un bouquet bien défini et très précis, avec des arômes de mûre et de framboise et des touches de laurier et de terreau. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins et une acidité vive, légèrement épicée, avec une finale vive, teintée de poivre blanc. Délicieux et doux. »
Les progrès patents de Saint-Pierre depuis 2003 le placent maintenant en grand rival de ses pairs à Saint-Julien, les devançant même en profondeur de chair. Magnifique dans les millésimes récents, comme le 2019 noté 95/100 par la Revue des Vins de France « Grande réussite » ou le 2020 noté 96/100 « un des plus aboutis et raffinés qui soient ».
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 94/100 « Le Saint-Pierre 2019 a un nez tout à fait typique de Saint-Julien, très bien défini, avec de la mûre, des épices brunes et du cèdre qui se déploient à chaque tourbillon. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, fraîche et pleine de tension. La bouche est mi-corsée avec des tannins fins, frais et pleins de tension. Bonne profondeur en milieu de bouche, accrocheuse mais fraîche, avec une séduisante corpulence en finale. Miam ! »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95/100 « Le style du cru a évolué vers plus de finesse, optant pour une gestion plus mesurée du bois. C'est patent avec ce 2019 élégant, à la texture crémeuse et à la finale fondue et harmonieuse. »
Les progrès patents de Saint-Pierre depuis 2003 le placent maintenant en grand rival de ses pairs à Saint-Julien, les devançant même en profondeur de chair. Magnifique dans les millésimes récents, comme le 2019 noté 95/100 par la Revue des Vins de France « Grande réussite » ou le 2020 noté 96/100 « un des plus aboutis et raffinés qui soient ».
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 97/100 « Nez complet de cèdre et de graphite, corps intense, monumental, du niveau des Léoville. Œuvre formidable et rapport qualité prix exceptionnel au sein d'une réussite d'ensemble de l'appellation, qui a frappé notre équipe. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 95/100 « Saint-Pierre 2018 est encore plus intense que le Gloria au nez, me rappelant même le Léoville Poyferré que j'ai dégusté à côté. De copieuses cerises noires, de la lavande, de l'encens et de la violette sortent du verre en trombe. La bouche est moyennement corsée, avec des arômes de fruits noirs sèveux, de cèdre et de charbon de bois. Avec une délimitation et une concentration merveilleuses et une finale soyeuse et désarmante, ce vin remplit les promesses qu'il avait laissées en barrique. Un Saint-Julien exceptionnel qui devrait bien vieillir au cours des 20 à 30 prochaines années. »
Les progrès patents de Saint-Pierre depuis 2003 le placent maintenant en grand rival de ses pairs à Saint-Julien, les devançant même en profondeur de chair. Magnifique dans les millésimes récents, comme le 2019 noté 95/100 par la Revue des Vins de France « Grande réussite » ou le 2020 noté 96/100 « un des plus aboutis et raffinés qui soient ».
Le millésime 2017 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2021) : Coup de ♥ 94/100
Vinous (A. Galloni - Mars 2020) : 95/100 « Tout comme il était en barrique, le Saint-Pierre 2017 est d'une beauté saisissante. Les arômes de baies noires, de prune, de graphite, d'épices, de cuir neuf, de réglisse et de fumée confèrent au 2017 beaucoup de caractère. Les amateurs apprécieront un Saint-Julien intense et onctueux qui déborde de personnalité. Comme toujours, Saint-Pierre est un Saint-Julien profond et charpenté qui représente le coté plus viril de l'appellation. »
J-M Quarin (octobre 2020) : 93/100 « Caressant à l’attaque, juteux au développement, puis aérien et très savoureux, le vin se distingue en finale, très persistant, plein de charme et incrachable. »
Depuis son rachat par M. Maroteaux, les progrès de Branaire-Ducru sont rapides, à l'image de la construction du nouveau chai permettant de travailler uniquement par gravité, sans pompe risquant de “mâcher” les vins. Branaire-Ducru est le chef de file des 3-4èmes crus classés de l'appellation (Lagrange, Talbot, Beychevelle, Saint-Pierre) et certainement le plus fin d’entre eux.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 95/100 « Voilà un très joli classique, bien dessiné et très raffiné. La bouche est droite, précise, portée par un support fruité frais, avec une belle longueur et du style. Une belle affaire qui évoluera bien, tout comme ses prédécesseurs, les jolis 2019 et 2018, fort recommandables aussi. »
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 93/100 « Branaire Ducru 2020 présente un bouquet ouvert et plus direct que ses pairs - une touche de menthe infusant les fruits rouges, puis des notes d'encre de Chine et de violette pressée. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins et séveux. Il n'a pas tout à fait le panache et la complexité de ses pairs. Il s'agit d'un vin de la vieille école, avec une colonne vertébrale solide. Malgré une certaine austérité en fin de bouche, c'est un Saint-Julien qui déborde de charme et de classicisme. »
Depuis son rachat par M. Maroteaux, les progrès de Branaire-Ducru sont rapides, à l'image de la construction du nouveau chai permettant de travailler uniquement par gravité, sans pompe risquant de “mâcher” les vins. Branaire-Ducru est le chef de file des 3-4èmes crus classés de l'appellation (Lagrange, Talbot, Beychevelle, Saint-Pierre) et certainement le plus fin d’entre eux.
Noté 18,5 en 2016 par la Revue du Vin de France.
Depuis son rachat par M. Maroteaux, les progrès de Branaire-Ducru sont rapides, à l'image de la construction du nouveau chai permettant de travailler uniquement par gravité, sans pompe risquant de “mâcher” les vins. Branaire-Ducru est le chef de file des 3-4èmes crus classés de l'appellation (Lagrange, Talbot, Beychevelle, Saint-Pierre) et certainement le plus fin d’entre eux.
Le millésime 2014 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2017) : 94/100 « Belle couleur sombre et intense. Nez très aromatique, au fruité frais et mûr. Bouche élancée et suave dès l'attaque, savoureuse et délicatement grasse au milieu. Elle évolue avec beaucoup de goût vers une grande longueur sans aucun angle tannique. C'est très bon. »
Vinous (N.Martin - février 2024) : 91/100 « Le Branaire-Ducru 2014 a un bouquet « plus calme » que ses pairs, un peu atténué au début, bien que bien défini avec principalement des fruits tertiaires noirs mêlés de tabac. La bouche est moyennement corsée avec des tanins granuleux. »
Depuis son rachat par M. Maroteaux, les progrès de Branaire-Ducru sont rapides, à l'image de la construction du nouveau chai permettant de travailler uniquement par gravité, sans pompe risquant de “mâcher” les vins. Branaire-Ducru est le chef de file des 3-4èmes crus classés de l'appellation (Lagrange, Talbot, Beychevelle, Saint-Pierre) et certainement le plus fin d’entre eux.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - septembre 2022) : 91/100 « Le Branaire-Ducru 2012 a un bouquet plutôt discret par rapport à ses pairs et n'a pas la même joie de vivre que le Clos du Marquis 2012. La bouche est moyennement corsée avec une légère poignée à l'entrée, finement équilibrée avec une pureté admirable. Il suggère que les arômes pourraient être dans une phase muette car il y a plus d'éclat vers la finale. »ment grasse au milieu. Elle évolue avec beaucoup de goût vers une grande longueur sans aucun angle tannique. C'est très bon. »
J-M Quarin (octobre 2014) : 92/100 « Couleur sombre, d'intensité normale. Beau nez fin et fruité. Bouche finement pulpeuse et juteuse, se développant ascendante, avec un finish élancé et un joli grain de tannin. Très bon vin fin. »
De tous les seconds crus classés de St-Julien, Gruaud-Larose est bien le plus vigoureux et le plus massif en vin jeune. Mais, magie du terroir, il acquiert moelleux et finesse si on lui laisse le temps de vieillir. Son rapport qualité/prix le place devant les autres seconds crus classés de St-Julien !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 95/100 « Profond, étagé et résonnant, avec une énorme persistance, le Gruaud Larose 2022 est un vin d'une classe et d'un pedigree remarquables. La cerise noire, la prune, le menthol, la sauge, la réglisse et l'écorce d'orange se développent dans un vin d'une réelle substance et d'une grande finesse. Les tanins s'enroulent autour de la finale longue et soutenue. Ce vin est tout aussi impressionnant qu'il l'était en primeur. »
J.M Quarin (Février 2025) : 97/100 « Couleur noire et pourpre. Nez intense, fin, fruité, légèrement truffé et vanillé. Ultra minutieux en entrée de bouche, avec de la classe dans le toucher et une saveur subjuguante de fruits noirs, le vin évolue puissant, long et noble, tout en fondant dans la persistance. Fameux et incrachable. »
De tous les seconds crus classés de St-Julien, Gruaud-Larose est bien le plus vigoureux et le plus massif en vin jeune. Mais, magie du terroir, il acquiert moelleux et finesse si on lui laisse le temps de vieillir. Son rapport qualité/prix le place devant les autres seconds crus classés de St-Julien !
Le millésime 2021 dans la presse :
J.M Quarin (Février 2024) : 94/100
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Gruaud Larose 2021 est un vin de pure race et de stature. Les fruits sépia, les épices, le cuir neuf, la réglisse, les graviers, les herbes séchées, les copeaux de crayon et l'encens sont magnifiquement amplifiés. Souple et expansif dans le verre, doté d'une formidable énergie, le 2021 respire la classe. Des tanins polis et souples enveloppent le tout, avant qu'une dernière explosion d'acidité vivifiante ne prolonge la finale. »
De tous les seconds crus classés de St-Julien, Gruaud-Larose est bien le plus vigoureux et le plus massif en vin jeune. Mais, magie du terroir, il acquiert moelleux et finesse si on lui laisse le temps de vieillir. Son rapport qualité/prix le place devant les autres seconds crus classés de St-Julien !
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 95/100 « Le Gruaud Larose 2020 est en train de réaliser le potentiel que j'avais entrevu en barrique et juste après la mise en bouteille. Le nez est généreux, avec des arômes de cerise noire, de mûre de Boysen et de subtiles senteurs florales. Des arômes de cèdre et de sol forestier apparaissent avec le temps. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins et une acidité vive, assez structurée et ferme. La symétrie de la finale est très séduisante. Superbe. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 96/100
J-M Quarin (Octobre 2023) : 96/100 « Moelleux en entrée de bouche, très aromatique au milieu, accompagné d'un toucher raffiné, le vin se développe délicieux, offrant une grande unité dans la stimulation de toutes les parties de la bouche. Noble, il fond au palais, avec une nuance de réglisse inédite. C'est incrachable. »
De tous les seconds crus classés de St-Julien, Gruaud-Larose est bien le plus vigoureux et le plus massif en vin jeune. Mais, magie du terroir, il acquiert moelleux et finesse si on lui laisse le temps de vieillir. Son rapport qualité/prix le place devant les autres seconds crus classés de St-Julien !
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 96/100
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 96/100 « Le Gruaud-Larose 2019 présente un bouquet cohérent et très harmonieux avec des pierres concassées et du tabac qui infusent le fruit noir ; des senteurs de cèdre font surface avec une plus grande aération. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière succulente, plus sucrée que prévu mais sans être étouffante, de la réglisse et des touches de poivre noir meublant la finale longue et assez décadente. Un vin de longue haleine ».
J-M Quarin (octobre 2023) : 96/100 « Minutieux en entrée de bouche, particulièrement parfumé au milieu, avec du goût et une permanence du moelleux dans le déroulé, le vin se développe complexe. Son corps s'allonge entre le milieu et la finale, tandis que les saveurs rebondissent. Ensemble délicieux, long, présent et aérien à la fois. La potentialité de ce terroir m'impressionne. »
De tous les seconds crus classés de St-Julien, Gruaud-Larose est bien le plus vigoureux et le plus massif en vin jeune. Mais, magie du terroir, il acquiert moelleux et finesse si on lui laisse le temps de vieillir. Son rapport qualité/prix le place devant les autres seconds crus classés de St-Julien !
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 96/100
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 96/100 « Le Gruaud-Larose 2019 présente un bouquet cohérent et très harmonieux avec des pierres concassées et du tabac qui infusent le fruit noir ; des senteurs de cèdre font surface avec une plus grande aération. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière succulente, plus sucrée que prévu mais sans être étouffante, de la réglisse et des touches de poivre noir meublant la finale longue et assez décadente. Un vin de longue haleine »
J-M Quarin (octobre 2023) : 96/100 « Minutieux en entrée de bouche, particulièrement parfumé au milieu, avec du goût et une permanence du moelleux dans le déroulé, le vin se développe complexe. Son corps s'allonge entre le milieu et la finale, tandis que les saveurs rebondissent. Ensemble délicieux, long, présent et aérien à la fois. La potentialité de ce terroir m'impressionne. »
De tous les seconds crus classés de St-Julien, Gruaud-Larose est bien le plus vigoureux et le plus massif en vin jeune. Mais, magie du terroir, il acquiert moelleux et finesse si on lui laisse le temps de vieillir. Son rapport qualité/prix le place devant les autres seconds crus classés de St-Julien !
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N.Martin - janvier 2023) : 93/100 « Gruaud Larose 2016 présente un beau nez, beaucoup plus pur que le millésime des années quatre-vingt. Il est bien défini avec des senteurs de mûre, de myrtille et de violette écrasée. Le style est beaucoup plus floral. La bouche est moyennement corsée avec des tanins à grain fin, souple et équilibrée, avec une douce construction en bouche, mais, pour reprendre un mot que j'ai déjà écrit, ce Gruaud a quelque chose de tranquille ; il ne veut pas faire trop d'histoires. Très beau. »
Cru emblématique du Médoc par son architecture comme par la délicatesse de ses vins, internationalement recherché. Beychevelle est encore monté d'un cran en finesse et précision aromatique avec la mise en service en 2018 de son nouveau cuvier, et tutoie maintenant les seconds crus classés de la commune.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Beychevelle 2022 est très impressionnant. Vin de précision et d'envergure, le 2022 a beaucoup à offrir. Les fruits noirs d'encre, la réglisse, le moka et la lavande se développent dans un Saint-Julien somptueux et crémeux. Toute cette intensité se déploie en milieu de bouche, pour atteindre un crescendo stupéfiant sur la finale explosive et résonnante. Même avec toute cette intensité évidente, le 2022 conserve une magnifique sensation de fraîcheur et de vivacité. »
J.M Quarin (Février 2025) : 95/100 « Beau rouge sombre, pourpre et profond. Nez intense, fin, subtil et très fruité. Bouche tout en délicatesse, évoluant parfumée, avec une grâce tactile folle. Peut être un peu moins de structure que certains, mais le goût final est si alléchant qu'il est bien difficile de ne pas succomber. De fait, on peut le goûter jeune sinon attendre. C'est un Saint-Julien margalais. »
Cru emblématique du Médoc par son architecture comme par la délicatesse de ses vins, internationalement recherché. Beychevelle est encore monté d'un cran en finesse et précision aromatique avec la mise en service en 2018 de son nouveau cuvier, et tutoie maintenant les seconds crus classés de la commune.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - avril 2022) : 95/100 « Le Beychevelle 2016 présente un bouquet très intense, un peu plus introverti que les autres 2016 que j'ai dégustés : des arômes de mûre, d'encens, de cèdre et de graphite léger qui émergent avec le temps. La bouche est moyennement corsée avec des tanins granuleux, un Beychevelle bien construit et structuré avec beaucoup de fraîcheur - plus que le 2010 qui se trouvait à côté. Sur la base de ces observations, le 2016 pourrait entrer dans une phase de fermeture, alors conservez-le pendant plusieurs années. »
Cru emblématique du Médoc par son architecture comme par la délicatesse de ses vins, internationalement recherché. Beychevelle est encore monté d'un cran en finesse et précision aromatique avec la mise en service en 2018 de son nouveau cuvier, et tutoie maintenant les seconds crus classés de la commune.
Le millésime 2009 dans la presse :
Vinous (N. Martin - avril 2022) : 93/100 « Beychevelle 2009 est très parfumé et floral au nez, avec des arômes de fruits rouges rameux, d'encens et de menthe. Il est bien défini et montre plus de pedigree que le 2005. La bouche est moyennement corsée, avec une entrée en matière souple, une acidité fine et une texture légèrement granuleuse. En fin de bouche, il présente une touche de feuille de curry que j'ai retrouvée dans les bouteilles précédentes. Il se boit dès maintenant et devrait se conserver pendant encore 15 à 20 ans. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Léoville-Poyferré 2022 est très exotique. Dense et souple, avec une profondeur saisissante en milieu de bouche et un équilibre exquis, c'est de la pure sensualité. La cerise rouge, l'abricot, l'orange sanguine, les fleurs sauvages et les épices se mêlent au fur et à mesure que le 2022 s'ouvre dans le verre. Des tanins souples et raffinés prolongent le milieu de bouche et la finale. La pureté du fruit est remarquable. Je trouve également que l'empreinte du bois neuf - qui est depuis longtemps la signature de ce vin - est beaucoup moins évidente que par le passé. Les vendanges plus précoces du merlot donnent aujourd'hui un vin aux nuances de fruits rouges plus marquées que par le passé, lorsque Léoville-Poyferré était un vin plus sombre. Un vin exceptionnel. »
J-M Quarin (février 2025) : 98/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez très aromatique, fin, fruité, pur, subtil et complexe. Ultra raffiné en entrée de bouche, avec un corps fondant et velouté, le vin glisse sur le palais, juteux, frais, noble, complexe et nuancé. C'est tout simplement incrachable. Osez l'ouvrir jeune. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Léoville-Poyferré 2022 est très exotique. Dense et souple, avec une profondeur saisissante en milieu de bouche et un équilibre exquis, c'est de la pure sensualité. La cerise rouge, l'abricot, l'orange sanguine, les fleurs sauvages et les épices se mêlent au fur et à mesure que le 2022 s'ouvre dans le verre. Des tanins souples et raffinés prolongent le milieu de bouche et la finale. La pureté du fruit est remarquable. Je trouve également que l'empreinte du bois neuf - qui est depuis longtemps la signature de ce vin - est beaucoup moins évidente que par le passé. Les vendanges plus précoces du merlot donnent aujourd'hui un vin aux nuances de fruits rouges plus marquées que par le passé, lorsque Léoville-Poyferré était un vin plus sombre. Un vin exceptionnel. »
J-M Quarin (février 2025) : 93/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez très aromatique, fin, fruité, pur, subtil et complexe. Ultra raffiné en entrée de bouche, avec un corps fondant et velouté, le vin glisse sur le palais, juteux, frais, noble, complexe et nuancé. C'es tout simplement incrachable. Osez l'ouvrir jeune. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Le vin est marqué par une maturité du fruit plus poussée que chez les voisins. [...] Un choix stylistique qui amène à produire un vin taillé pour la garde, prometteur, mais peu ouvert aujourd’hui. »
J.M Quarin (Février 2024) : 95/100 « Minutieux en entrée de bouche, délicatement charnu au milieu, très savoureux, le vin gagne du corps tout en restant juteux. Il s'étire long et assez puissant en marquant un peu plus le tannin que d'autres, mais toujours équilibré. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96/100 « Le Léoville-Poyferré 2021 est devenu un vin fabuleux. Étonnamment riche, le 2021 possède une profondeur notable. Le kirsh, l'orange sanguine et les fleurs sauvages s'ouvrent en premier, apportant une qualité exotique et parfumée. En bouche, le 2021 est charnu et expressif. Il y a un peu de chêne neuf qui doit s'intégrer. Sinon, le 2021 est impeccablement équilibré. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2018) : 98/100 « Voici un très solide candidat dans la course au sommet du millésime 2015. Massif, dense, mais aussi très subtil, il impose sa bouche de grande race et surtout des tanins très nobles. »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 95/100 « Léoville-Poyferré 2015 présente un nez plus fruité et plus affirmé que le 2014, avec des arômes somptueux de baies rouges, fleur d’oranger et gousse de vanille. La bouche est moyennement corsée avec des tanins sveltes, doux et sensuels. Il ne possède peut-être pas la tension du 2014, mais il y a tant de volume et d’harmonie en finale qu’il est presque impossible d’y résister. Splendide. »
J-M Quarin (décembre 2019) : 18.5/20 « Riche et complexe en milieu de bouche, le vin fond au palais et s’étire très longtemps sur une longue finale, à la tannicité enveloppée. C’est délicieux. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 96/100 « Léoville Poyferré 2014 possède un nez magnifique qui se démarque de ses pairs : plus concentré, plus délimité et d'une profondeur étonnante, avec une complexité qui ne se révèle qu'à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, mais ce Saint-Julien a une véritable colonne vertébrale et de la densité, avec une substance impressionnante en fin de bouche. L'un des meilleurs vins de la rive gauche. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 95/100 « Comment ne pas succomber face à l’élégance et au raffinement de Barton 2021 ? Le cru possède ce côté voluptueux et délicieusement fruité qui le caractérise. »
J.M Quarin (Février 2024) : 94/100 « Minutieux en entrée de bouche, parfumé au milieu, avec un toucher cotonneux, le vin fond au palais, sur une texture délicatement crémeuse. Persistance sans angle tannique, sur des saveurs de fruits noirs. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94+/100 « Léoville-Barton 2021 est un magnifique Saint-Julien de facture classique. Le graphite, le cuir, les fruits bleus, les épices, le tabac, la réglisse et la lavande sont immédiatement séduisants. Moyennement corsé et vibrant, le 2021 exsude la finesse du début à la fin. Il est d'une grande sobriété et tous les éléments sont impeccablement équilibrés. Je lui donnerais quelques années de cave. Il s'épanouit vraiment à l'air libre, mais le meilleur reste encore à venir. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 96/100 « Le Léoville-Barton 2018 est un vin magnifique et exotique. Crème de cassis, lavande, menthol, réglisse et clou de girofle s'échappent du verre. Le 2018 marie l'opulence naturelle de l'année à une structure assez classique, ce qui en fait l'un des vins les plus convaincants de l'année. Je lui donnerais une bonne décennie en cave. Il y a beaucoup à attendre. J'admire particulièrement l'énergie et l'assurance de ce vin. »
Vinous (N. Martin - mars 2021) : 94/100 « C'est un excellent Léoville Barton dont le caractère buvable plaira à beaucoup, même si je lui accorderais de 4 à 6 ans en bouteille. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 98/100 « Il offre un raffinement indéniable. Son nez de fruits noirs est envoutant et irrésistible. La bouche est harmonieuse, raffinée, soyeuse et les tannins s'intègrent parfaitement. Superbe équilibre. »
J-M Quarin (février 2021) : 94/100
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (juin 2019) : 96/100 « Raffiné et dense dès l’entrée en bouche, puis moelleux au développement, très aromatique, juteux, un tantinet discret cependant, le vin s’achève gras et noble sur une longue finale sèveuse. C’est très bon. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France (2015) : 18.5/20 « Fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain. »
J-M Quarin (décembre 2019) : 18.5/20 « Caressant à l’attaque, puis de suite juteux et prenant de l’ampleur, le vin se montre complet en milieu de bouche, avec de l’éclat dans le goût. Il fond au palais sur une texture minutieuse et des saveurs profondes et longues. C’est encore un brin austère, mais délicieux. »
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 95/100 « Le Léoville Barton 2015 possède l'un des bouquets les plus riches de l'appellation, arborant au nez des senteurs presque ostentatoires de mûre, de framboise et de myrtille, étouffées par des arômes de calcaire broyé et de graphite léger. La bouche mi-corsée est tendue et croquante, avec une acidité fine et fraîche du début à la fin. Il s'agit principalement de fruits noirs, avec des notes de cuir et de moka en fin de bouche. Superbe. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 94/100 « Léoville Barton 2014 présente un bouquet séduisant et magnifiquement composé, avec d'amples senteurs de fruits rouges rameux, de sous-bois et de légers copeaux de crayon. Ce vin est d'une grande finesse. [La bouche est bien équilibrée avec des tanins fins, une acidité bien marquée et plus de salinité que ses pairs. Ce qui ressemble à du chêne neuf de première qualité adoucit la finale sans s'imposer. Il s'agit d'un Saint-Julien de grande classe de la famille Barton. »