Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
De tous les seconds crus classés de St-Julien, Gruaud-Larose est bien le plus vigoureux et le plus massif en vin jeune. Mais, magie du terroir, il acquiert moelleux et finesse si on lui laisse le temps de vieillir. Son rapport qualité/prix le place devant les autres seconds crus classés de St-Julien !
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 96/100
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 96/100 « Le Gruaud-Larose 2019 présente un bouquet cohérent et très harmonieux avec des pierres concassées et du tabac qui infusent le fruit noir ; des senteurs de cèdre font surface avec une plus grande aération. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière succulente, plus sucrée que prévu mais sans être étouffante, de la réglisse et des touches de poivre noir meublant la finale longue et assez décadente. Un vin de longue haleine »
J-M Quarin (octobre 2023) : 96/100 « Minutieux en entrée de bouche, particulièrement parfumé au milieu, avec du goût et une permanence du moelleux dans le déroulé, le vin se développe complexe. Son corps s'allonge entre le milieu et la finale, tandis que les saveurs rebondissent. Ensemble délicieux, long, présent et aérien à la fois. La potentialité de ce terroir m'impressionne. »
De tous les seconds crus classés de St-Julien, Gruaud-Larose est bien le plus vigoureux et le plus massif en vin jeune. Mais, magie du terroir, il acquiert moelleux et finesse si on lui laisse le temps de vieillir. Son rapport qualité/prix le place devant les autres seconds crus classés de St-Julien !
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N.Martin - janvier 2023) : 93/100 « Gruaud Larose 2016 présente un beau nez, beaucoup plus pur que le millésime des années quatre-vingt. Il est bien défini avec des senteurs de mûre, de myrtille et de violette écrasée. Le style est beaucoup plus floral. La bouche est moyennement corsée avec des tanins à grain fin, souple et équilibrée, avec une douce construction en bouche, mais, pour reprendre un mot que j'ai déjà écrit, ce Gruaud a quelque chose de tranquille ; il ne veut pas faire trop d'histoires. Très beau. »
De tous les seconds crus classés de St-Julien, Gruaud-Larose est bien le plus vigoureux et le plus massif en vin jeune. Mais, magie du terroir, il acquiert moelleux et finesse si on lui laisse le temps de vieillir. Son rapport qualité/prix le place devant les autres seconds crus classés de St-Julien !
Le millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France : 18/20 « Le Gruaud le plus pur et précis que nous connaissions. Un potentiel énorme ! »
Cru emblématique du Médoc par son architecture comme par la délicatesse de ses vins, internationalement recherché. Beychevelle est encore monté d'un cran en finesse et précision aromatique avec la mise en service en 2018 de son nouveau cuvier, et tutoie maintenant les seconds crus classés de la commune.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Beychevelle 2022 est très impressionnant. Vin de précision et d'envergure, le 2022 a beaucoup à offrir. Les fruits noirs d'encre, la réglisse, le moka et la lavande se développent dans un Saint-Julien somptueux et crémeux. Toute cette intensité se déploie en milieu de bouche, pour atteindre un crescendo stupéfiant sur la finale explosive et résonnante. Même avec toute cette intensité évidente, le 2022 conserve une magnifique sensation de fraîcheur et de vivacité. »
Cru emblématique du Médoc par son architecture comme par la délicatesse de ses vins, internationalement recherché. Beychevelle est encore monté d'un cran en finesse et précision aromatique avec la mise en service en 2018 de son nouveau cuvier, et tutoie maintenant les seconds crus classés de la commune.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Beychevelle 2022 est très impressionnant. Vin de précision et d'envergure, le 2022 a beaucoup à offrir. Les fruits noirs d'encre, la réglisse, le moka et la lavande se développent dans un Saint-Julien somptueux et crémeux. Toute cette intensité se déploie en milieu de bouche, pour atteindre un crescendo stupéfiant sur la finale explosive et résonnante. Même avec toute cette intensité évidente, le 2022 conserve une magnifique sensation de fraîcheur et de vivacité. »
Cru emblématique du Médoc par son architecture comme par la délicatesse de ses vins, internationalement recherché. Beychevelle est encore monté d'un cran en finesse et précision aromatique avec la mise en service en 2018 de son nouveau cuvier, et tutoie maintenant les seconds crus classés de la commune.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - avril 2022) : 95/100 « Le Beychevelle 2016 présente un bouquet très intense, un peu plus introverti que les autres 2016 que j'ai dégustés : des arômes de mûre, d'encens, de cèdre et de graphite léger qui émergent avec le temps. La bouche est moyennement corsée avec des tanins granuleux, un Beychevelle bien construit et structuré avec beaucoup de fraîcheur - plus que le 2010 qui se trouvait à côté. Sur la base de ces observations, le 2016 pourrait entrer dans une phase de fermeture, alors conservez-le pendant plusieurs années. »
Cru emblématique du Médoc par son architecture comme par la délicatesse de ses vins, internationalement recherché. Beychevelle est encore monté d'un cran en finesse et précision aromatique avec la mise en service en 2018 de son nouveau cuvier, et tutoie maintenant les seconds crus classés de la commune.
Le millésime 2009 dans la presse :
Vinous (N. Martin - avril 2022) : 93/100 « Beychevelle 2009 est très parfumé et floral au nez, avec des arômes de fruits rouges rameux, d'encens et de menthe. Il est bien défini et montre plus de pedigree que le 2005. La bouche est moyennement corsée, avec une entrée en matière souple, une acidité fine et une texture légèrement granuleuse. En fin de bouche, il présente une touche de feuille de curry que j'ai retrouvée dans les bouteilles précédentes. Il se boit dès maintenant et devrait se conserver pendant encore 15 à 20 ans. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Léoville-Poyferré 2022 est très exotique. Dense et souple, avec une profondeur saisissante en milieu de bouche et un équilibre exquis, c'est de la pure sensualité. La cerise rouge, l'abricot, l'orange sanguine, les fleurs sauvages et les épices se mêlent au fur et à mesure que le 2022 s'ouvre dans le verre. Des tanins souples et raffinés prolongent le milieu de bouche et la finale. La pureté du fruit est remarquable. Je trouve également que l'empreinte du bois neuf - qui est depuis longtemps la signature de ce vin - est beaucoup moins évidente que par le passé. Les vendanges plus précoces du merlot donnent aujourd'hui un vin aux nuances de fruits rouges plus marquées que par le passé, lorsque Léoville-Poyferré était un vin plus sombre. Un vin exceptionnel. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
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Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Le vin est marqué par une maturité du fruit plus poussée que chez les voisins. [...] Un choix stylistique qui amène à produire un vin taillé pour la garde, prometteur, mais peu ouvert aujourd’hui. »
J.M Quarin (Février 2024) : 95/100 « Minutieux en entrée de bouche, délicatement charnu au milieu, très savoureux, le vin gagne du corps tout en restant juteux. Il s'étire long et assez puissant en marquant un peu plus le tannin que d'autres, mais toujours équilibré. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96/100 « Le Léoville-Poyferré 2021 est devenu un vin fabuleux. Étonnamment riche, le 2021 possède une profondeur notable. Le kirsh, l'orange sanguine et les fleurs sauvages s'ouvrent en premier, apportant une qualité exotique et parfumée. En bouche, le 2021 est charnu et expressif. Il y a un peu de chêne neuf qui doit s'intégrer. Sinon, le 2021 est impeccablement équilibré. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2018) : 98/100 « Voici un très solide candidat dans la course au sommet du millésime 2015. Massif, dense, mais aussi très subtil, il impose sa bouche de grande race et surtout des tanins très nobles. »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 95/100 « Léoville-Poyferré 2015 présente un nez plus fruité et plus affirmé que le 2014, avec des arômes somptueux de baies rouges, fleur d’oranger et gousse de vanille. La bouche est moyennement corsée avec des tanins sveltes, doux et sensuels. Il ne possède peut-être pas la tension du 2014, mais il y a tant de volume et d’harmonie en finale qu’il est presque impossible d’y résister. Splendide. »
J-M Quarin (décembre 2019) : 18.5/20 « Riche et complexe en milieu de bouche, le vin fond au palais et s’étire très longtemps sur une longue finale, à la tannicité enveloppée. C’est délicieux. »
Avec l’aide de Michel Rolland, Léoville-Poyferré a gagné depuis 1993 en profondeur, volupté de texture et aptitude au vieillissement. Il se rapproche aujourd'hui de la qualité de ses prestigieux voisins dans lesquels il est enclavé : Léoville-Las Cases et Pichon-Lalande. La compétition entre les trois Léoville est intense mais Léoville-Poyferré l’emporte aujourd'hui par un abord plus facile, plus voluptueux, et un rapport qualité/prix/plaisir supérieur.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 96/100 « Léoville Poyferré 2014 possède un nez magnifique qui se démarque de ses pairs : plus concentré, plus délimité et d'une profondeur étonnante, avec une complexité qui ne se révèle qu'à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, mais ce Saint-Julien a une véritable colonne vertébrale et de la densité, avec une substance impressionnante en fin de bouche. L'un des meilleurs vins de la rive gauche. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 95/100 « Comment ne pas succomber face à l’élégance et au raffinement de Barton 2021 ? Le cru possède ce côté voluptueux et délicieusement fruité qui le caractérise. »
J.M Quarin (Février 2024) : 94/100 « Minutieux en entrée de bouche, parfumé au milieu, avec un toucher cotonneux, le vin fond au palais, sur une texture délicatement crémeuse. Persistance sans angle tannique, sur des saveurs de fruits noirs. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94+/100 « Léoville-Barton 2021 est un magnifique Saint-Julien de facture classique. Le graphite, le cuir, les fruits bleus, les épices, le tabac, la réglisse et la lavande sont immédiatement séduisants. Moyennement corsé et vibrant, le 2021 exsude la finesse du début à la fin. Il est d'une grande sobriété et tous les éléments sont impeccablement équilibrés. Je lui donnerais quelques années de cave. Il s'épanouit vraiment à l'air libre, mais le meilleur reste encore à venir. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 96/100 « Le Léoville-Barton 2018 est un vin magnifique et exotique. Crème de cassis, lavande, menthol, réglisse et clou de girofle s'échappent du verre. Le 2018 marie l'opulence naturelle de l'année à une structure assez classique, ce qui en fait l'un des vins les plus convaincants de l'année. Je lui donnerais une bonne décennie en cave. Il y a beaucoup à attendre. J'admire particulièrement l'énergie et l'assurance de ce vin. »
Vinous (N. Martin - mars 2021) : 94/100 « C'est un excellent Léoville Barton dont le caractère buvable plaira à beaucoup, même si je lui accorderais de 4 à 6 ans en bouteille. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 98/100 « Il offre un raffinement indéniable. Son nez de fruits noirs est envoutant et irrésistible. La bouche est harmonieuse, raffinée, soyeuse et les tannins s'intègrent parfaitement. Superbe équilibre. »
J-M Quarin (février 2021) : 94/100
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (juin 2019) : 96/100 « Raffiné et dense dès l’entrée en bouche, puis moelleux au développement, très aromatique, juteux, un tantinet discret cependant, le vin s’achève gras et noble sur une longue finale sèveuse. C’est très bon. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France (2015) : 18.5/20 « Fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain. »
J-M Quarin (décembre 2019) : 18.5/20 « Caressant à l’attaque, puis de suite juteux et prenant de l’ampleur, le vin se montre complet en milieu de bouche, avec de l’éclat dans le goût. Il fond au palais sur une texture minutieuse et des saveurs profondes et longues. C’est encore un brin austère, mais délicieux. »
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 95/100 « Le Léoville Barton 2015 possède l'un des bouquets les plus riches de l'appellation, arborant au nez des senteurs presque ostentatoires de mûre, de framboise et de myrtille, étouffées par des arômes de calcaire broyé et de graphite léger. La bouche mi-corsée est tendue et croquante, avec une acidité fine et fraîche du début à la fin. Il s'agit principalement de fruits noirs, avec des notes de cuir et de moka en fin de bouche. Superbe. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 94/100 « Léoville Barton 2014 présente un bouquet séduisant et magnifiquement composé, avec d'amples senteurs de fruits rouges rameux, de sous-bois et de légers copeaux de crayon. Ce vin est d'une grande finesse. [La bouche est bien équilibrée avec des tanins fins, une acidité bien marquée et plus de salinité que ses pairs. Ce qui ressemble à du chêne neuf de première qualité adoucit la finale sans s'imposer. Il s'agit d'un Saint-Julien de grande classe de la famille Barton. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Février 2022) : 93/100 « Léoville-Barton 2012 a un peu plus de précision et de dynamisme que le Langoa-Barton 2012, mûre et framboise, cèdre et menthe, presque un style Pauillac. La bouche est moyennement corsée avec des fruits noirs séveux, assez fougueuse et vibrante avec une bonne concentration en finale. C'est un vin très sérieux. Saint-Julien, et il a la substance nécessaire pour bien vieillir en bouteille. Excellent. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (octobre 2019) : 95/100 « Minutieux dans sa texture dès l’entrée en bouche, puis ample au milieu, très aromatique, le vin évolue fondant, juteux et noble, juste un tantinet austère. C’est long et très bon. »
Vinous (N. Martin - février 2019) : 95/100 « Léoville-Barton 2009 est l'un des rares Saint-Julien '09 à suggérer juste un soupçon de brettanomyces au nez, bien que franchement cela n'enlève rien à son allure, avec de beaux arômes de jus de viande et d'épices brunes. La bouche est mi-corsée avec des tanins souples, juteuse et légèrement plus mâchue que ses pairs, une acidité bien jugée avec une densité et une rondeur amples en fin de bouche. Il pourrait bénéficier d'une année supplémentaire en bouteille, mais sinon, il s'agit tout simplement d'un merveilleux Léoville-Barton, plein de vie et d'un charme désarmant. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (octobre 2019) : 95/100 « Minutieux dans sa texture dès l’entrée en bouche, puis ample au milieu, très aromatique, le vin évolue fondant, juteux et noble, juste un tantinet austère. C’est long et très bon. »
Vinous (N. Martin - février 2019) : 95/100 « Léoville-Barton 2009 est l'un des rares Saint-Julien '09 à suggérer juste un soupçon de brettanomyces au nez, bien que franchement cela n'enlève rien à son allure, avec de beaux arômes de jus de viande et d'épices brunes. La bouche est mi-corsée avec des tanins souples, juteuse et légèrement plus mâchue que ses pairs, une acidité bien jugée avec une densité et une rondeur amples en fin de bouche. Il pourrait bénéficier d'une année supplémentaire en bouteille, mais sinon, il s'agit tout simplement d'un merveilleux Léoville-Barton, plein de vie et d'un charme désarmant. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Le vin est impressionnant. Avec la plus haute proportion de cabernet (98 %) de l'histoire du cru, il possède une classe folle. Un grand aristocrate taillé au laser, avec une pureté du fruit qui scintille. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 98/100 « Le Ducru-Beaucaillou 2021 capture tout le potentiel qu'il a montré en barrique. Un vin délicat et sobre, le 2021 impressionne avant tout par sa finesse. Tous les éléments sont impeccablement équilibrés. Le temps passé dans le verre fait ressortir la douceur intérieure et le parfum magnifique du vin. L'équilibre avec le chêne, parfois difficile ici, est également sans faille. Avec moins d'alcool et donc moins d'extraction du chêne que les millésimes récents, le 2021 s'annonce comme un classique des temps modernes. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 97/100 « Le Ducru-Beaucaillou 2016 a un bouquet éthéré, le plus pur de tous les Ducru-Beaucaillou, avec de copieuses cerises noires, de la violette et des senteurs minérales, une touche de sol forestier émerge avec le temps. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples, une fine perle d'acidité, un peu plus de fruits rouges en fin de bouche que le 2018 dégusté à côté, et commence peut-être à se refermer pour mûrir à long terme. C'est un vin fantastique, qui rivalisera avec le 2009 et peut-être le 2018 comme l'un des meilleurs. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 94/100 « Ducru-Beaucaillou 2015 est un millésime qui a besoin de plus de temps pour s'installer et décider ce qu'il veut être. Le nez a besoin d'un peu plus de cohésion et de concentration, il est assez direct et ouvertement floral, peut-être plus qu'il ne doit l'être et il occulte légèrement l'expression du terroir pour le moment. La bouche est douce et veloutée, avec une profondeur modérée et une acidité fine. Je le trouve parfois un peu lactique en fin de bouche, comme c'est le cas ici ; peut-être préférerais-je le 2017 dégusté à côté, qui montre plus de tension en fin de bouche. Un bon Ducru-Beaucaillou plutôt qu'un grand. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2011 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 94/100 « Ducru-Beaucaillou a la même analyse que les 2009 et 2010 en termes d'IPT. Il a un bouquet très bien défini avec des fruits noirs intenses qui se mêlent aux herbes sèches et à la réglisse ; étrangement, le 2011 n'est pas sans rappeler le 2005 en termes de caractère et aussi parce qu'il n'est « pas prêt ». La bouche est mi-corsée avec des tanins souples, une acidité fine, douce et généreuse mais avec une acidité compensatoire et une finale magnifique, pure et nuancée. C'est l'une des vraies surprises de cette verticale et il doit se classer parmi les meilleurs vins de la Rive Gauche du millésime. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 96+/100 « Ducru-Beaucaillou 2010 est plus en retrait, plus sulfureux que le 2009, mais il y a beaucoup de fruits noirs, de violette et de cèdre, avec un très léger parfum de cendres qui émerge avec le temps. La bouche est corsée, avec de puissants fruits noirs, une belle texture granuleuse et une acidité redoutable. La finale est certainement capiteuse, plus atypique que celle du 2009, bien qu'elle soit d'une persistance extraordinaire. »
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».
Le millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « On touche à la perfection avec ce millésime 2020 de Léoville Las Cases. Rien ne dépasse ici, tout semble en place pour une longue, très longue, vie. Un grand classique. »
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 98/100 « Le Léoville Las Cases 2020 présente un nez intense de mûre, de fraise des bois, de cassis et une touche de réglisse. Il est merveilleusement cohérent, avec des tanins en filigrane et une finale brillante et tendue qui se déploie avec un réel panache. Bien sûr, il s'agit d'un vin primitif et naissant, mais on peut déjà deviner la classe qu'il dégage. »
J-M Quarin (mars 2023) : 98/100 « Fond de bois, de noisette, de réglisse, me rappelant les Las Cases jeunes d'antan (1986). Moelleux en entrée de bouche, très aromatique au milieu, avec beaucoup d'éclat et une dominante de violette et réglisse zan, le vin fond au palais, magique, puissant, séveux, profond, sans aucun angle tannique. »
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 99-100/100 « Las Cases 2020 est un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition. Un vin qui déferle en bouche par vagues successives et qui ne semble pas vouloir s’arrêter. L'énorme structure tannique est parfaitement calée et se fond dans la finale avec une justesse absolue. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 98/100
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».
Le millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « On touche à la perfection avec ce millésime 2020 de Léoville Las Cases. Rien ne dépasse ici, tout semble en place pour une longue, très longue, vie. Un grand classique. »
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 98/100 « Le Léoville Las Cases 2020 présente un nez intense de mûre, de fraise des bois, de cassis et une touche de réglisse. Il est merveilleusement cohérent, avec des tanins en filigrane et une finale brillante et tendue qui se déploie avec un réel panache. Bien sûr, il s'agit d'un vin primitif et naissant, mais on peut déjà deviner la classe qu'il dégage. »
J-M Quarin (mars 2023) : 98/100 « Fond de bois, de noisette, de réglisse, me rappelant les Las Cases jeunes d'antan (1986). Moelleux en entrée de bouche, très aromatique au milieu, avec beaucoup d'éclat et une dominante de violette et réglisse zan, le vin fond au palais, magique, puissant, séveux, profond, sans aucun angle tannique. »
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 99/100 « Las Cases 2020, vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition. Un vin qui déferle en bouche par vagues successives et qui ne semble pas vouloir s’arrêter. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 98/100
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 95/100 « Il y a ici de la complexité, un style plus tertiaire, avec des feuilles d'automne et de la fumée de cigare qui infusent le fruit rouge. La bouche est moyennement corsée avec des tanins mûrs, charnus au point de masquer la colonne vertébrale. La finale est ample et me rappelle Léoville Poyferré. Séduisant. »
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».
Le millésime 2011 dans la presse :
J-M Quarin (novembre 2021) : 94/100 « Ample à l'attaque, juteux en milieu de bouche, bien constitué, savoureux et complet, le vin s'achève long et noble, avec beaucoup de goût et un brin d'austérité positive. C'est très bon. »
Vinous (N. Martin - septembre 2021) : 92/100 « Le Léoville Las-Cases 2011 est beaucoup plus introspectif au nez que ses pairs, bien qu'il se déploie pour révéler des arômes de fruits noirs, de cuir et de graphite très minéraux. il ne se laisse jamais complètement aller. La bouche est moyennement corsée avec des tannins granuleux, une acidité fine, fraîche et vive avec une finale concentrée et teintée de graphite. Peut-être un peu conservateur en accord avec le millésime, mais c'est bien fait. »
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».