Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Février 2022) : 93/100 « Léoville-Barton 2012 a un peu plus de précision et de dynamisme que le Langoa-Barton 2012, mûre et framboise, cèdre et menthe, presque un style Pauillac. La bouche est moyennement corsée avec des fruits noirs séveux, assez fougueuse et vibrante avec une bonne concentration en finale. C'est un vin très sérieux. Saint-Julien, et il a la substance nécessaire pour bien vieillir en bouteille. Excellent. »
Même si leur évolution passe toujours par une période d’austérité, les vins de Léoville-Barton possèdent une classe et une élégance suprême, autant dues à l’âge avancé des vignes qu’à un travail méticuleux. Toujours encensé par les critiques, comme en 2015 « fin, sapide et très long, beaucoup de classe en bouche, avec un côté juteux et un superbe grain », noté 97/100 par la Revue du Vin de France.
Le millésime 2009 dans la presse :
J-M Quarin (octobre 2019) : 95/100 « Minutieux dans sa texture dès l’entrée en bouche, puis ample au milieu, très aromatique, le vin évolue fondant, juteux et noble, juste un tantinet austère. C’est long et très bon. »
Vinous (N. Martin - février 2019) : 95/100 « Léoville-Barton 2009 est l'un des rares Saint-Julien '09 à suggérer juste un soupçon de brettanomyces au nez, bien que franchement cela n'enlève rien à son allure, avec de beaux arômes de jus de viande et d'épices brunes. La bouche est mi-corsée avec des tanins souples, juteuse et légèrement plus mâchue que ses pairs, une acidité bien jugée avec une densité et une rondeur amples en fin de bouche. Il pourrait bénéficier d'une année supplémentaire en bouteille, mais sinon, il s'agit tout simplement d'un merveilleux Léoville-Barton, plein de vie et d'un charme désarmant. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 97/100 « Le Ducru-Beaucaillou 2022 est un vin d'une sensualité totale. Tous les éléments sont merveilleusement tissés. La cerise noire, la prune, la réglisse, le chocolat, les épices et la lavande infusent le palais avec une profondeur saisissante. La finale soutenue et persistante est d'une grande beauté. Des accents floraux relevés prolongent agréablement la finale. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Le vin est impressionnant. Avec la plus haute proportion de cabernet (98 %) de l'histoire du cru, il possède une classe folle. Un grand aristocrate taillé au laser, avec une pureté du fruit qui scintille. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 98/100 « Le Ducru-Beaucaillou 2021 capture tout le potentiel qu'il a montré en barrique. Un vin délicat et sobre, le 2021 impressionne avant tout par sa finesse. Tous les éléments sont impeccablement équilibrés. Le temps passé dans le verre fait ressortir la douceur intérieure et le parfum magnifique du vin. L'équilibre avec le chêne, parfois difficile ici, est également sans faille. Avec moins d'alcool et donc moins d'extraction du chêne que les millésimes récents, le 2021 s'annonce comme un classique des temps modernes. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 97/100 « Le Ducru-Beaucaillou 2016 a un bouquet éthéré, le plus pur de tous les Ducru-Beaucaillou, avec de copieuses cerises noires, de la violette et des senteurs minérales, une touche de sol forestier émerge avec le temps. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples, une fine perle d'acidité, un peu plus de fruits rouges en fin de bouche que le 2018 dégusté à côté, et commence peut-être à se refermer pour mûrir à long terme. C'est un vin fantastique, qui rivalisera avec le 2009 et peut-être le 2018 comme l'un des meilleurs. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 94/100 « Ducru-Beaucaillou 2015 est un millésime qui a besoin de plus de temps pour s'installer et décider ce qu'il veut être. Le nez a besoin d'un peu plus de cohésion et de concentration, il est assez direct et ouvertement floral, peut-être plus qu'il ne doit l'être et il occulte légèrement l'expression du terroir pour le moment. La bouche est douce et veloutée, avec une profondeur modérée et une acidité fine. Je le trouve parfois un peu lactique en fin de bouche, comme c'est le cas ici ; peut-être préférerais-je le 2017 dégusté à côté, qui montre plus de tension en fin de bouche. Un bon Ducru-Beaucaillou plutôt qu'un grand. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2011 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 94/100 « Ducru-Beaucaillou a la même analyse que les 2009 et 2010 en termes d'IPT. Il a un bouquet très bien défini avec des fruits noirs intenses qui se mêlent aux herbes sèches et à la réglisse ; étrangement, le 2011 n'est pas sans rappeler le 2005 en termes de caractère et aussi parce qu'il n'est « pas prêt ». La bouche est mi-corsée avec des tanins souples, une acidité fine, douce et généreuse mais avec une acidité compensatoire et une finale magnifique, pure et nuancée. C'est l'une des vraies surprises de cette verticale et il doit se classer parmi les meilleurs vins de la Rive Gauche du millésime. »
Depuis l’arrivée de Bruno Borie en 2003, Ducru-Beaucaillou vole de succès en succès. Personne n’a oublié que, jusqu’en 1980, Ducru était le plus grand des seconds crus classés du Médoc, place qu’il est en train de reconquérir. Bravo !
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 96+/100 « Ducru-Beaucaillou 2010 est plus en retrait, plus sulfureux que le 2009, mais il y a beaucoup de fruits noirs, de violette et de cèdre, avec un très léger parfum de cendres qui émerge avec le temps. La bouche est corsée, avec de puissants fruits noirs, une belle texture granuleuse et une acidité redoutable. La finale est certainement capiteuse, plus atypique que celle du 2009, bien qu'elle soit d'une persistance extraordinaire. »
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».
Le millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « On touche à la perfection avec ce millésime 2020 de Léoville Las Cases. Rien ne dépasse ici, tout semble en place pour une longue, très longue, vie. Un grand classique. »
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 98/100 « Le Léoville Las Cases 2020 présente un nez intense de mûre, de fraise des bois, de cassis et une touche de réglisse. Il est merveilleusement cohérent, avec des tanins en filigrane et une finale brillante et tendue qui se déploie avec un réel panache. Bien sûr, il s'agit d'un vin primitif et naissant, mais on peut déjà deviner la classe qu'il dégage. »
J-M Quarin (mars 2023) : 98/100 « Fond de bois, de noisette, de réglisse, me rappelant les Las Cases jeunes d'antan (1986). Moelleux en entrée de bouche, très aromatique au milieu, avec beaucoup d'éclat et une dominante de violette et réglisse zan, le vin fond au palais, magique, puissant, séveux, profond, sans aucun angle tannique. »
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 99-100/100 « Las Cases 2020 est un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition. Un vin qui déferle en bouche par vagues successives et qui ne semble pas vouloir s’arrêter. L'énorme structure tannique est parfaitement calée et se fond dans la finale avec une justesse absolue. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 98/100
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».
Le millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « On touche à la perfection avec ce millésime 2020 de Léoville Las Cases. Rien ne dépasse ici, tout semble en place pour une longue, très longue, vie. Un grand classique. »
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 98/100 « Le Léoville Las Cases 2020 présente un nez intense de mûre, de fraise des bois, de cassis et une touche de réglisse. Il est merveilleusement cohérent, avec des tanins en filigrane et une finale brillante et tendue qui se déploie avec un réel panache. Bien sûr, il s'agit d'un vin primitif et naissant, mais on peut déjà deviner la classe qu'il dégage. »
J-M Quarin (mars 2023) : 98/100 « Fond de bois, de noisette, de réglisse, me rappelant les Las Cases jeunes d'antan (1986). Moelleux en entrée de bouche, très aromatique au milieu, avec beaucoup d'éclat et une dominante de violette et réglisse zan, le vin fond au palais, magique, puissant, séveux, profond, sans aucun angle tannique. »
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 99/100 « Las Cases 2020, vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition. Un vin qui déferle en bouche par vagues successives et qui ne semble pas vouloir s’arrêter. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 98/100
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».
Le millésime 2011 dans la presse :
J-M Quarin (novembre 2021) : 94/100 « Ample à l'attaque, juteux en milieu de bouche, bien constitué, savoureux et complet, le vin s'achève long et noble, avec beaucoup de goût et un brin d'austérité positive. C'est très bon. »
Vinous (N. Martin - septembre 2021) : 92/100 « Le Léoville Las-Cases 2011 est beaucoup plus introspectif au nez que ses pairs, bien qu'il se déploie pour révéler des arômes de fruits noirs, de cuir et de graphite très minéraux. il ne se laisse jamais complètement aller. La bouche est moyennement corsée avec des tannins granuleux, une acidité fine, fraîche et vive avec une finale concentrée et teintée de graphite. Peut-être un peu conservateur en accord avec le millésime, mais c'est bien fait. »
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».
Le millésime 2004 dans la presse :
Vinous (N.Martin - avril 2022) : 92/100 « Le Léoville Las Cases 2004 présente au nez un caractère mentholé perceptible qui complète bien le fruit rouge, bien qu'il s'éloigne de ce que l'on pourrait appeler la typicité du Saint-Julien. Après dix minutes, il s'harmonise avec des arômes de cendres et de thé noir. La bouche est moyennement corsée avec une texture ronde à l'entrée. Le 2004 présente une belle acidité et est légèrement épicé avec du poivre noir en fin de bouche. Un peu conservateur, mais il s'en sort bien compte tenu du millésime. »
Second vin de Grand-Puy Lacoste. Fruité, tendre, soyeux, et toujours élégant. Un classique à prix doux.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - avril 2024) : 90/100 « Lacoste-Borie 2021 est un très joli second vin. Le pétale de rose écrasé, la menthe, l'orange sanguine et le poivre blanc ajoutent une belle présence aromatique à ce Pauillac soyeux et racé. L'équilibre favorise ici la sobriété et la fraîcheur, à la manière d'un Pinot. »
Second vin de Grand-Puy Lacoste. Fruité, tendre, soyeux, et toujours élégant. Un classique à prix doux.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2021) : 95/100 « On retrouve la suavité et la séduction qui signent les vins de la propriété. Admirable qualité de tanins au grain fin et soyeux. »
Second vin de Grand-Puy Lacoste. Fruité, tendre, soyeux, et toujours élégant. Un classique à prix doux.
Second vin de Grand-Puy Lacoste. Fruité, tendre, soyeux, et toujours élégant. Un classique à prix doux.
Plus moelleux et plus raffiné depuis 2015, mais toujours dans son style ample et généreux, Fonbadet fait partie des meilleurs crus non classés de Pauillac (espèce en voie de disparition).
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 94/100 « Le Fonbadet 2018 est superbe. Classiquement élégant et raffiné, le 2018 gratifie le palais d'une finesse exquise dès le départ. Des saveurs de baies rouges, de fleurs, d'orange sanguine et de menthe transmettent de la fraîcheur alors que le 2018 s'ouvre dans le verre. L'acidité vive stimule la finale nuancée et persistante. Les lecteurs ne trouveront pas beaucoup de 2018 aussi délicats, sensuels et tout simplement charmants. »
Plus moelleux et plus raffiné depuis 2015, mais toujours dans son style ample et généreux, Fonbadet fait partie des meilleurs crus non classés de Pauillac (espèce en voie de disparition).
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 93/100 « Fonbadet 2017 est somptueux et super expressif, sans aucune dureté et avec beaucoup d'immédiateté. Les fruits bleus et violacés, le menthol, la réglisse, la lavande, les épices et le cuir sont tous au premier plan. Les lecteurs découvriront un Pauillac crémeux et texturé qui s'appuie sur la présence et la jutosité du fruit. Mieux encore, le 2017 peut être dégusté sans trop d'états d'âme dès sa sortie. J'ai adoré. »
Idéalement placé sur le plateau de Mouton, voisin de crus classés prestigieux tels d'Armailhac, Clerc-Milon et Pontet-Canet, Pibran appartient à l'assureur AXA et bénéficie de l'expertise de l'équipe technique de Pichon-Baron (même propriétaire). Il ne reste plus que quelques crus non-classés à Pauillac, Pibran est de loin le meilleur d'entre eux !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Le Pibran 2018 est fabuleux, tout comme il l'était en primeur. Juteux, riche et expansif dans ce millésime, le Pibran offre une richesse et une verve formidables. La cerise noire, les épices, le cuir neuf et le cèdre se développent alors que cet élégant pauillac dévoile ses charmes considérables. Le 2018 est incontestablement extraverti. Il est également délicieux et sans vergogne. »
Idéalement placé sur le plateau de Mouton, voisin de crus classés prestigieux tels d'Armailhac, Clerc-Milon et Pontet-Canet, Pibran appartient à l'assureur AXA et bénéficie de l'expertise de l'équipe technique de Pichon-Baron (même propriétaire). Il ne reste plus que quelques crus non-classés à Pauillac, Pibran est de loin le meilleur d'entre eux !
Si les vins de Pibran présentent généralement un corps charnu et un fruit éclatant, le millésime 2016 transcende ces qualités. Tout en chair et en charme, il est considéré comme le meilleur jamais fait par Jean-Marc Quarin et Neal Martin.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin -mai 2018) : 92/100 « Pibran 2016, qui contient 68% de merlot, venait d'être mis en bouteille lorsque j'ai effectué la dégustation verticale. Il présente un fabuleux bouquet de cassis et de cerises noires, magnifiquement défini et parfaitement intégré au chêne. La bouche mi-corsée offre une exquise pureté de fruits noirs agrémentée de graphite. Elle transmet énergie et tension, et la finale est extrêmement détaillée et raffinée. Il s'agit d'un très bon Pibran, probablement le meilleur jamais produit. »
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2025) : 94/100 « Le 2022 Les Griffons de Pichon Baron était très impressionnant depuis la barrique. Maintenant en bouteille, il a une sorte de bouquet discret qui se déploie dans le verre. Il est très nuancé, avec des notes de truffe noire filtrant à travers les fruits noirs et un peu de sous-bois. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples et magnifiquement équilibrée avec une finale fraîche et légèrement citrique. J'aime l'énergie de ce Les Griffons et il devrait bien vieillir en bouteille. »
J-M Quarin (février 2025) : 94/100 « Couleur rouge sombre et intense. Beau nez très aromatique, au fruité mûr et noir. Minutieux en entrée de bouche, avec le corps le plus aérien que je lui connaisse, ce vin commence par fondre sur le palais, puis il s'amplifie en finale, long, juteux et séveux, sur une jolie note de petit verdot. C'est bon et long. »
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2025) : 94/100 « Le 2022 Les Griffons de Pichon Baron était très impressionnant depuis la barrique. Maintenant en bouteille, il a une sorte de bouquet discret qui se déploie dans le verre. Il est très nuancé, avec des notes de truffe noire filtrant à travers les fruits noirs et un peu de sous-bois. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples et magnifiquement équilibrée avec une finale fraîche et légèrement citrique. J'aime l'énergie de ce Les Griffons et il devrait bien vieillir en bouteille. »
J-M Quarin (février 2025) : 94/100 « Couleur rouge sombre et intense. Beau nez très aromatique, au fruité mûr et noir. Minutieux en entrée de bouche, avec le corps le plus aérien que je lui connaisse, ce vin commence par fondre sur le palais, puis il s'amplifie en finale, long, juteux et séveux, sur une jolie note de petit verdot. C'est bon et long. »
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Les Griffons se rapproche de l’esprit du grand vin et reçoit un apport de petit verdot significatif, qui confère de la profondeur, de la sapidité et beaucoup de classe à cette cuvée. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 93/100 « 2021 Les Griffons de Pichon Baron est un autre beau vin de cette gamme de Pichon Baron. Doux et caressant, le 2021 offre un mélange exotique de cerise noire, de cannelle, de moka, d'orange sanguine et de cuir. Tous les éléments sont impeccablement équilibrés ».
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 93/100 « Les Griffons, dont les merlots représentent 50 % de l’assemblage, est encore plus effilé et précis avec un côté cristallin. Il bénéficie d’un élevage parfaitement calé, au service d’un fruit explosif. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 91/100 « Le 2020 Les Griffons de Pichon Baron a un nez ouvert et expressif, mélange de fruits rouges et noirs, assez élégant et développant des senteurs florales séduisantes. La bouche est moyennement corsée, cohérente et persistante, avec des notes charnues et mûres de fruits noirs et de poivre blanc. »
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 93/100 « Cette cuvée à dominante de cabernet-sauvignon offre une admirable droiture et un grand potentiel. Elle se hisse au niveau d'un cru classé, tout à fait dans l'esprit du grand vin. Très grande définition et noblesse tannique en finale, il est parti pour plus de 10 ans. »
En Magnum (avril 2021) : 94/100 « Parfait équilibre dans cette année solaire, élégant et précis dans son rendu du terroir. Un modèle du genre en adéquation avec les ambitions affichés par Axa Millésimes pour ce second cru classé de Pauillac. Sous l'impulsion de Christian Seely et de Jean-René Matignon, la propriété est au plus haut niveau et signe ce griffons impeccable, apte à la garde et déjà très bon. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Les Griffons de Pichon Baron 2018 est un Pauillac capiteux et sauvage. Un mélange exotique de fruits noirs d'encre, de chocolat, d'épices, d'herbes grillées, d'expresso et de chêne neuf donne aux Griffons sa personnalité extravertie. Les tannins ont besoin d'un peu de temps pour s'assouplir, mais il y a beaucoup à attendre. C'est un Pauillac particulièrement dense et riche. »
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le 2016 est à l'image du grand vin : pur et vigoureux, racé et puissant, promis à une belle et longue garde.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 91/100 « Le 2016 Les Griffons de Pichon Baron est assez puissant et dense. L'élevage, et plus précisément le régime de barriques de 18 mois en chêne (60 % neuf) a laissé le 2016 avec une lourde qualité de toast/torréfaction qui, pour l'instant, domine les fruits noirs et les arômes de cabernet que le vin a montré en barrique. »
Second vin de Pichon-Comtesse de Lalande : velouté, généreux, aux tanins bien polis et aux arômes de fruits mûrs avec une note de cèdre très pauillacaise. Une valeur sûre et régulière, vite épanouie.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le 2022 Réserve de la Comtesse est un vin sexy. Les contours cossus s'enroulent autour d'un noyau de cerise noire, de prune, de graphite et de fleurs séchées. Le 2022 a la particularité d'inclure tout le petit verdot produit à la propriété. C'est une décision qui s'est avérée payante. »
J-M Quarin (février 2025) : 93/100 « Beau rouge sombre. Joli nez intense et pur, au fruité mûr. Gras à l'attaque et en milieu de bouche, fondant, avec des nuances de fruits noirs et fruits frais, le vin finit long, puissant et parfumé, avec un retour réglissé. C'est très bon. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Pédesclaux 2022 regorge de cerises noires, de prunes, de cuir neuf, de réglisse et de chocolat. Ce somptueux et audacieux Pauillac a beaucoup à offrir dans un style résolument flamboyant. »
J-M Quarin (février 2025) : 95/100 « Couleur sombre, vive et pourpre. Nez très aromatique, au fruité mûr, subtil et noble, particulièrement bien associé au bois. Moelleux en entrée de bouche, hédoniste au milieu, avec un gras fin parcourant le palais, riche en saveurs, le vin évolue juteux, complet, délicat et pourtant profond. Grande persistance fruitée sans marquer le tannin. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Le 2020 confirme ses admirables dispositions et s'impose comme le plus abouti au domaine. Le fruit est superbe d'éclat, bien juteux et savoureux, avec de jolis tanins gracieux et une finale acidulée. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 90/100 « Le nez du Pédesclaux 2020 est franc et bien délimité, avec une dominante de fruits noirs mêlée à des senteurs de pot-pourri et de cèdre. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins juteux et mûrs, une belle profondeur et une belle cohésion. Une judicieuse touche d'épices persiste sur la finale poivrée. Il manque peut-être d'un peu de sophistication en ce moment, mais j'apprécie cette fin de bouche teintée de poivron. Il devrait bénéficier de trois ou quatre années supplémentaires en cave. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « Le 2018 est une référence, la matière est lumineuse, le fruit, très mûr. Il n'en demeure pas moins éclatant, avec une note mentholée en finale. »