Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 92+/100 « Le Petit-Mouton 2017 est doté d'une richesse et d'une intensité formidables. Profond, ample et structuré, il déborde de fruits rouges et violacés d'encre, de grenade, d'épices, de cuir, d'orange sanguine, de poivre blanc et de fleurs sauvages. Le 2017, puissant et cossu, regorge d'une énergie explosive qui ne demande qu'à être libérée. »
Second vin de Lafite-Rothschild.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Carruades de Lafite 2022 est un Pauillac dense et plein de fougue. Loin d'être un second vin facile à boire, le Carruades 2022 aura besoin d'un certain nombre d'années pour être à son meilleur. C'est un vin d'une puissance presque choquante, doté d'un solide équilibre et d'une classe inouïe. Des touches de cabernet franc et de petit verdot apportent des touches d'épices pour compléter l'assemblage. Le 2022 est exceptionnel. Il se peut très bien que je le sous-estime aujourd'hui. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 97/100 « Ce pauillac affiche beaucoup de distinction. Les cabernets (90 %) sont d’une admirable définition. Le vin tapisse la bouche et livre un équilibre frais (12,8°). La qualité des tanins est magnifique, avec un toucher très fin et beaucoup de suavité. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 95/100 « Le Mouton-Rothschild 2015 a plus d'intensité fruitée au nez que le Château Margaux 2015 et aussi plus de fruits rouges que de fruits noirs : les senteurs de framboise et de fraise des bois sont plus expressives que celles de mûre et de biaire. Le chêne est bien intégré ici, même si j'aurais souhaité un peu plus de délimitation. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples et des fruits rouges et noirs vivaces, mais c'est la texture soyeuse qui vous séduit vraiment. Il n'y a pas un seul cheveu qui dépasse sur la finale. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2011 dans la presse :
Vinous (N. Martin - septembre 2021) : 92/100 « Mouton-Rothschild 2011 est étonnamment réduit au nez et a eu besoin de beaucoup d'encouragement. Le cuir, le moka, la réglisse se développent dans le verre, assez bretté par rapport à ses pairs. La bouche est moyennement corsée, charnue et mûre, ce moka se traduisant par le nez, mentholé avec des touches de poivre blanc en finale. Un Pauillac très correct, un effort solide plutôt que spectaculaire de la part de Mouton cette année. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2007 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2016) : 94/100 « Le Mouton-Rothschild 2007 est un vin magnifique, surtout dans le contexte du millésime. Des arômes ouverts et expressifs ainsi qu'un fruité affirmé font du 2007 un excellent choix à boire dès maintenant et au cours des deux prochaines décennies environ. Bien que le 2007 ne soit pas un Mouton épique, c'est sans aucun doute l'un des meilleurs millésimes récents à boire actuellement. La fumée, le tabac, le cèdre et la réglisse apportent les dernières nuances. »
Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».
Le millésime 2006 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2016) : 92/100 « Mouton-Rothschild 2006 est sombre, puissant et intense, avec des tannins fermes qui ont besoin de temps pour s'adoucir. C'est un Mouton particulièrement sombre, sombre, avec des notes de fruits noirs, de fumée, de menthol, de gravier et de charcuterie. De légères notes végétales soutiennent le fruit. Je ne suis pas sûr que le 2006 ait suffisamment de fraîcheur pour être un vin de longue garde ou qu'il ait la profondeur de fruit nécessaire pour résister aux tannins. »
Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.
Le millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « D'une profondeur admirable, un Lafite sur l'élégance plutôt que sur la puissance. »
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 100/100 « Spectaculaire et tutoie la perfection. il se montre d’une distinction et d’une élégance absolues. Le sommet de l’aristocratie du cabernet qui tombe en bouche tel un costume sur mesure. L’alliance de la puissance et de l’élégance. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 98/100
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 98/100 « Lafite-Rothschild 2020, qui contient la plus forte proportion de merlot depuis le 2016, a fait mouche dès la barrique. En revisitant le vin en bouteille depuis juillet, il éclate toujours dans le verre avec de copieuses mûres, des touches de myrtille et de genièvre, une mine de crayon de pierre concassée. Merveilleuse délimitation. La bouche est moyennement corsée avec des tanins finement ciselés, très linéaire et « correcte » - l'aquintessentiel de Lafite-Rothschild à bien des égards. Il se développe doucement en bouche tout en gardant une certaine retenue, et se termine par une sapidité fine, mais un peu plus juteuse que ce que l'on aurait pu trouver dix ou vingt ans plus tôt. Ce vin a le potentiel d'évoluer magnifiquement pendant plusieurs décennies. »
Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.
Le millésime 2008 dans la presse :
Vinous (N. Martin - mars 2018) : 94/100 « Lafite-Rothschild 2008 a fait une drôle de prestation lors de la précédente horizontale, quelques semaines plus tôt. Cette bouteille est bien meilleure. Elle a une couleur profonde avec peu de vieillissement sur le bord. Au nez, il y a beaucoup de fruits, de la mûre et de la myrtille avec des notes de mine de crayon et de sauge, mais dans l'ensemble il y a juste plus d'intensité que la bouteille précédente. La bouche est bien équilibrée avec des tanins à grain fin et une bonne densité, une facette qui fait parfois défaut à Lafite-Rothschild. En fin de bouche, on retrouve une touche de sucre brun et de sauge qui, heureusement, ne s'atténue pas comme dans le cas de la bouteille précédente. Ce vin est beaucoup plus représentatif et, bien qu'il ne soit pas le meilleur premier cru du millésime, il fait preuve de plus de sophistication et de classe, même s'il n'égale pas les résultats plus spectaculaires qu'il a obtenus juste après la mise en bouteille. »
Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.
Le millésime 2007 dans la presse :
Vinous (N. Martin - mars 2018) : 93/100 « Lafite-Rothschild 2007 est une belle performance dans ce qui a été une saison de croissance difficile. À 11 ans d'âge, le 2007 commence à bien se boire avec des arômes de mûre, de briary, de graphite et de fumée au nez, peut-être encore cette vieille touche de buerau antique. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins à grains fins et du tabac, bien équilibrée mais typiquement discrète en finale. Le 2007 n'est certainement pas le plus grand Lafite-Rothschild, mais il devrait offrir 15 à 20 ans de plaisir à boire. »
Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.
Le millésime 1999 dans la presse :
Vinous (N. Martin - septembre 2019) : 92/100 « Personnellement, j'ai aimé ce premier cru depuis que je l'ai goûté pour la première fois en barrique. Maintenant âgé de 20 ans, il commence à montrer un peu de brique sur le bord. Le bouquet est net et détaillé, avec du cassis, de la framboise, du goudron fondu et du cèdre qui se développent dans le verre (mais moins de quatre-épices que j'ai observé dans les bouteilles précédentes). La bouche est moyennement corsée et peut-être plus compacte que prévu, peut-être parce qu'il s'agit d'une bouteille sortie de cave. Bien qu'il ne s'agisse pas d'un Lafite-Rothschild concentré, il est très harmonieux et élégant, avec une touche subtile de poivre en fin de bouche et un soupçon d'écorce d'orange séchée en arrière-goût. Un vrai régal. »
Cru bourgeois historique de Saint-Estèphe puisque dans la même famille (Anney) depuis... 1678 ! Avec un encépagement où domine le merlot (60%) et la supervision d'Hubert de Boüard (Angélus) depuis 2016, Tour des Termes a bâti son succès grâce à un velouté et une souplesse de texture qui font son charme. Une page se tourne en 2023 avec l'arrivée d'un nouveau propriétaire irlandais.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 91/100 « Tour des Termes 2021 a un bouquet frais et énergique avec un élément mentholé prononcé qui n'était pas perceptible en barrique mais qui complète bien le fruit noir. La bouche est moyennement corsée avec des tannins granuleux et une fine perle d'acidité, cohésive et exerçant une douce prise. Ce vin a plus d'élégance et de précision en finale que beaucoup de ses pairs et, compte tenu des prix du marché, il est recommandé. »
Petit cru bourgeois de 7 ha, donnant un St-Estèphe classique et sans fard, avec juste ce qu'il faut de vigueur et de fermeté pour une bonne garde. Son propriétaire, M. Guy Delon, possède également le Château Moulin de la Rose à St-Julien.
Très rares sont les crus du nord du Médoc à s'être pour l'instant lancés dans la conversion bio en raison d'une hygrométrie plus forte que partout ailleurs en Gironde. De Côme, petit cru bourgeois (supérieur) de 7 ha, est devenu après 7 ans d'efforts (et la perte des 2/3 de la récolte 2018) le premier cru de Saint-Estèphe certifié bio, dans une version souple, fine et soyeuse de l'appellation.
Très rares sont les crus du nord du Médoc à s'être pour l'instant lancés dans la conversion bio en raison d'une hygrométrie plus forte que partout ailleurs en Gironde. De Côme, petit cru bourgeois (supérieur) de 7 ha, est devenu après 7 ans d'efforts (et la perte des 2/3 de la récolte 2018) le premier cru de Saint-Estèphe certifié bio, dans une version souple, fine et soyeuse de l'appellation.
Après 15 ans d’errance, Lilian-Ladouys a été racheté en 2008 par M. Lorenzetti. Comme à Pédesclaux, des investissements hors du commun portent leurs fruits : Lilian-Ladouys fait à nouveau partie des plus beaux crus bourgeois de Saint-Estèphe.
Et même du Médoc, en gagnant la Coupe des crus bourgeois avec son 2012, ou en étant noté 90/100 par M. Galloni (Vinous) pour son 2014.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - février 2017) : 90/100 « Lilian Ladouys 2014 est doux, dodu et incroyablement séduisant. Des notes éclatantes de cerise rouge, de framboise, de pétale de rose, de menthe et d'épices douces sont toutes poussées vers l'avant. C'est une bouteille de vin absolument délicieuse et joyeuse à déguster pour son fruit primaire et son caractère racé. »
Après 15 ans d’errance, Lilian-Ladouys a été racheté en 2008 par M. Lorenzetti. Comme à Pédesclaux, des investissements hors du commun portent leurs fruits : Lilian-Ladouys fait à nouveau partie des plus beaux crus bourgeois de Saint-Estèphe.
Et même du Médoc, en gagnant la Coupe des crus bourgeois avec son 2012, ou en étant noté 90/100 par M. Galloni (Vinous) pour son 2014.
Cru historique de Saint-Estèphe (deuxième vignoble le plus ancien de l’appellation), Tronquoy est idéalement situé sur la fameuse « Terrasse 3 », aux graves argileuses profondes (jusqu’à 8m). Les 30 hectares du vignoble ont été rachetés par MM. Bouygues peu après Montrose, et sont aujourd’hui conduits avec le même soin et la même volonté d’incarner le renouveau de Bordeaux : cuvier moderne, conversion à la viticulture biologique, recherche de fraîcheur et d’éclat dans les vins…
Encore trop peu connu, Tronquoy est actuellement la pépite en mutation de Saint-Estèphe, proposant tout à la fois des vins accessibles dans leur jeunesse (excellent 2019, noté 93/100 par M. Quarin) et disposant d’un très bon potentiel de garde (2012 aujourd'hui à son apogée, avec une texture crémeuse qui le rend gourmand).
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Le millésime 2019 se déguste aujourd'hui fort bien, avec un noble début d'évolution au nez, des notes de tabac, de cèdre et de poivre. La bouche, fondue, bien en place, est étirée par des tanins souples. »
Vinous (N. Martin - Janvier 2023) : 92/100 « Le Tronquoy-Lalande 2019 a un nez concentré avec des fruits noirs assez intenses, des touches de mûre de Boysen, un peu plus riche que certains de ses pairs. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière dense, puissante, presque bourrue, très saline en bouche, mais je recherche plus de précision et de finesse en finale. Cela pourrait bien se développer avec le temps. Dégusté à l'aveugle lors de la dégustation annuelle de Southwold.»
Cru historique de Saint-Estèphe (deuxième vignoble le plus ancien de l’appellation), Tronquoy-Lalande est idéalement situé sur la fameuse « Terrasse 3 », aux graves argileuses profondes (jusqu’à 8m). Les 30 hectares du vignoble ont été rachetés par MM. Bouygues peu après Montrose, et sont aujourd’hui conduits avec le même soin et la même volonté d’incarner le renouveau de Bordeaux : cuvier moderne, conversion à la viticulture biologique, recherche de fraîcheur et d’éclat dans les vins…
Encore trop peu connu, Tronquoy-Lalande est actuellement la pépite en mutation de Saint-Estèphe, proposant tout à la fois des vins accessibles dans leur jeunesse (excellent 2019, noté 93/100 par M. Quarin) et disposant d’un très bon potentiel de garde (2012 aujourd'hui à son apogée, avec une texture crémeuse qui le rend gourmand).
Le Ch. Tronquoy-Lalande est renommé Tronquoy (tout court) à compter du millésime 2019.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Février 2022) : 90/100 « Tronquoy-Lalande 2012 a un bouquet légèrement plus charnu et teinté de sang séché avec des senteurs de goudron fondu qui apparaissent avec le temps et, plus tard, une touche lointaine de menthe. La bouche est moyennement corsée avec des tannins plutôt rustiques. Un Saint-Estèphe audacieux qui manque un peu de grâce, ferreux et excessivement épicé en fin de bouche. »
Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !
Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « C’est un vin très gourmand et délicieusement fruité, doté d'un charme indéniable. »
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 91/100 « Ormes de Pez 2021 est assez frappant au nez, plus saumuré que ce dont je me souviens de la barrique, avec des notes de mûre et de mûre de Boysen et une touche de balsamique. La bouche est moyennement corsée avec des tannins granuleux, encore une fois très saline en bouche et légèrement granuleuse en texture, avec de la tapenade d'olives noires vers la finale. Assez fougueux pour l'instant, il faut lui donner trois ou quatre ans de bouteille. »
Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Septembre 2023) : 94/100 « Toujours d'admirable facture, le vin est particulièrement bon en 2020 avec un éclat vraiment superbe et une admirable définition du fruit. Élégant, mais aussi intense et doté de tanins élégants, il est déjà irrésistible. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 92/100 « Ormes de Pez 2020 a un nez plus ouvert que ses pairs, plus orienté vers les fruits rouges, avec des notes de pot-pourri et de romarin qui lui donnent de la complexité. La bouche est moyennement corsée avec des tannins saturés. La finale est assez longue. Il devra être conservé au cellier pendant plusieurs années avant de pouvoir être bu. »
Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Février 2020) : 91/100 « Les Ormes de Pez 2010 a un bouquet mûr et fruité avec des tonnes de fraises sauvages et des notes de sous-bois, bien défini mais pas aussi complexe que ses pairs. La bouche est moyennement corsée avec des tannins au grain fin. Une bonne acidité, bien proportionnée, avec une touche d'épices en fin de bouche, en fait l'un des vins les plus accessibles de Saint-Estèphe. »
Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !
Le millésime 2009 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2019) : 91/100 « Le 2009 Les Ormes de Pez a un nez étrange au premier abord, un peu distant et manquant de l'intensité fruitée de ses pairs. Il y a ici une légère poussière qui se traduit en bouche. Bonne concentration du fruit et bonne tenue, juste une touche de verdure sur les bords avec un soupçon d'épices bienvenu en fin de bouche. Tout à fait agréable, même s'il manque un peu de finesse. »
Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Le millésime 2021dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Un vin dense, encore un peu sous l'emprise de son bois, mais avec du potentiel. Prieur, beaucoup plus souple, peut être bu dès maintenant. »
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 92/100 « Meyney 2021, qui est en pleine forme ces derniers temps, présente un joli bouquet avec des senteurs vives de baies rouges, de pierre broyée et d'écorce d'orange, qui sont concentrées et vivantes. La bouche est moyennement corsée avec une ouverture structurée (comme on peut s'y attendre), plus de concentration de fruits que ses pairs et une finale teintée de truffe. Ce vin sera d'une belle tenue au cours des 15 à 20 prochaines années. »
Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 95/100 « Le vin est solidement constitué mais aussi très racé, et trouve son équilibre. Il possède beaucoup de fond et une superbe définition de tanins qui s'harmonisent en finale. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 93/100 « Meyney 2020 présente un bouquet vif, concentré et détaillé, avec des senteurs précises de mûre, de myrtille et de cèdre qui rappellent presque le style Pauillac. La bouche est moyennement corsée avec une concentration impressionnante à l'entrée, des couches de fruits noirs teintés de réglisse et une finale poivrée qui veut se faire remarquer ; mais elle est juste un peu molle. Il lui faudra cinq ou six ans en bouteille pour arrondir ses angles. »
J-M Quarin (juin 2023) : 92/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fruité, crémeux et légèrement truffé. Minutieux en entrée de bouche, raffiné au toucher, très aromatique, le vin se développe sur un port général gracieux. Il fond en finale, parfumé, long, séveux et très bon. »
Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 95/100 « Le Meyney 2019 possède un bouquet divin, si pur et si vineux avec des senteurs florales de baies rouges, un chêne neuf magnifiquement intégré et une superbe précision. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, charnue au point que l'on peut presque oublier la colonne vertébrale de ce Saint-Estèphe. Il aurait pu être plus puissant, mais il conserve un superbe équilibre et se montre luxuriant et long en fin de bouche. Il s'agit d'un vin exceptionnel qui éclipse facilement ses performances en barrique ou juste après la mise en bouteille. »
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 95/100 « Le cru dispose d'un terroir fantastique, digne d'un cru classé. Ceci explique d'ailleurs qu'il jouisse d'une admirable réputation, méritée au regard des nombreux grands vins qui ont été produits ici. On peut encore trouver quelques vieux millésimes très en forme ( comme les admirables 1986 ou 1989). Le château n'élabore toutefois pas des vins pour les amateur pressés, à l'image des 2019 ou 2018 ; une décennie en cave est indispensable pour en profiter pleinement. »
J-M Quarin (mars 2022) : 91/100 « Nez très aromatique, fin, fruité, pur et subtil. Caressant à l'attaque, très fruité en milieu de bouche et plutôt parfumé pour un Saint-Estèphe, le vin offre une trame tannique distinguée dans la persistance. »
Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Décembre 2022) : 94/100 « Le cru dispose d'un terroir fantastique, digne d'un cru classé. Ceci explique d'ailleurs qu'il jouisse d'une admirable réputation, méritée au regard des nombreux grands vins qui ont été produits ici. On peut encore trouver quelques vieux millésimes très en forme ( comme les admirables 1986 ou 1989). Le château n'élabore toutefois pas des vins pour les amateur pressés, à l'image des 2019 ou 2018 ; une décennie en cave est indispensable pour en profiter pleinement. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Meyney 2018 est tout aussi impressionnant qu'il l'était en primeur. La directrice technique Anne Le Naour a fait un travail formidable en maîtrisant une partie de l'excès de poids et de puissance des millésimes précédents, mais sans sacrifier la richesse. Classique et étagé, le Meyney est doté d'une profondeur fabuleuse et d'une grande force de caractère. Les fruits rouges et violacés mûrs, les épices, l'orange sanguine, la fumée et l'encens sont quelques-uns des nombreux arômes et saveurs qui s'entremêlent [...] Le Meyney 2018 est un vin d'un immense plaisir. Mieux encore, il présente un rapport qualité-prix exceptionnel. »