Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 93/100 « Le délicieux Meyney 2014 marque une année où la vigneronne Anne Le Naour et son équipe ont encore haussé leur niveau de jeu. Le nez de jolis fruits rouges mélangés à des pétales de rose fanés et du cèdre gagne en intensité à l'aération. La bouche présente des tanins beaucoup plus fins que ceux des millésimes précédents, une acidité bien ajustée et une superbe précision sur la finale de style classique. Ce vin est sur le point d'atteindre son plateau de dégustation. »
Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2022) : 90/100 « Meyney 2012 offre un nez à dominante de fruits rouges, agrémenté de notes de soja et de poivre, modéré en termes de complexité. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes, assez structurée avec un bon poids, bien qu'elle manque de précision vers la finale qui sent un peu l'amertume. »
Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.
Ce cru de 45 hectares (d'un seul tenant au sud de Saint-Estèphe), célèbre pour sa façade et son étiquette jaune toscan, a été acquis en 2021 par M. Lorenzetti. Connaissant les investissements réalisés et les soins apportés aux autres crus de son écurie de grands crus (Lilian-Ladouys, Pédesclaux et d'Issan), nul doute que Lafon-Rochet brille depuis le millésime 2022 d'un nouvel éclat tout en restant d'un prix très accessible parmi ses pairs.
Depuis 2022 et l'arrivée du nouveau maître de chai M. Congé (ex-Lafite-Rothschild), Lafon-Rochet affiche davantage de profondeur de chair que par le passé, tout en conservant l'onctuosité et l'éclat fruité que lui procure son encépagement à forte proportion merlot (40%) et qui sont sa signature.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Le Lafon-Rochet 2022 est une pure classe. Soyeux, aromatique et gracieux, Lafon-Rochet est probablement le Saint-Estèphe le moins connu. Les fruits bleus et violacés, la lavande, la sauge, la menthe et les épices sont tous magnifiquement délimités. D'une élégance et d'une classe sublimes, le Lafon-Rochet est exquis en 2022. »
Phélan-Ségur est une des propriétés historiques de Saint-Estèphe, avec un vignoble de 70 hectares en première ligne sur l'estuaire de la Gironde, bordé au nord par Calon-Ségur et au sud par Meyney et Montrose. L'arrivée en 2018 d'un nouveau propriétaire belge (M. Van de Vyvere) ouvre une nouvelle ère et de nouvelles ambitions à Phélan-Ségur : conduite de 20 hectares en agriculture biologique, tressage des vignes (en lieu et place du rognage), diminution progressive de la densité de plantation à 8000 pieds/ha pour lutter contre les sècheresses estivales, utilisation parcimonieuse du soufre, vinifications parcellaires en levures indigènes...
Les derniers millésimes sont très convaincants, avec des vins racés, associant intensité, vinosité et finesse à l'image de ceux de Calon-Ségur.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Le Phélan Ségur 2022 est fabuleux, peut-être un peu trop mûr, mais tout de même remarquable. La cerise noire, le gravier, la terre brûlée, le clou de girofle et la réglisse explosent en bouche. Viril et inquiétant, le Phélan Ségur déborde de caractère et de personnalité. »
Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Les Pagodes s’appuie aussi sur une forte proportion de merlot, fondant un vin suave, au fruité franc et juteux et à la belle rondeur en bouche. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 90/100 « 2021 Les Pagodes de Cos est un grand vin puissant. Une explosion de prune, de mûre, d'expresso, de chocolat et de réglisse est réglée au maximum. Les lecteurs trouveront un vin explosif, presque choquant pour l'année. Ce vin me semble un peu excessif. »
Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
Le millésime 2020 dans la presse :
Jean-Marc Quarin (septembre 2023) : 93/100 « Couleur sombre, intense et jeune. Nez moyennement aromatique, au fruité mûr. Moelleux en entrée de bouche, très aromatique au milieu, avec un corps plein et charnu, le vin glisse en bouche, long et séveux. Les sensations délivrées s'accélèrent dans le dernier tiers du palais. C'est long et très bon. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 93/100 « 2020 Les Pagodes de Cos est sombre, somptueux et très expressif. Il y a un élément de mystère dans le 2020, c'est un vin qui n'est pas encore prêt à montrer tous ses charmes. La cerise noire mûre, la prune, le cuir neuf, la réglisse, le tabac, l'encens et les herbes séchées se développent agréablement dans un Pagodes qui équilibre la richesse du fruit et l'énergie. »
Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
Le millésime 2019 dans la presse :
J-M Quarin (mars 2022) : 93/100 « Pointé comme ma meilleure note en Primeurs, ce vin confirme ce statut en finale. Couleur sombre et intense. Nez très aromatique, au fruité mûr et épicé. »
Second vin de Cos d'Estournel, vraisemblablement le meilleur second vin du Médoc après ceux des premiers crus classés (pour la moitié voire le quart du prix).
Incontestablement le cru le plus populaire du Médoc. Au fil des années, Haut-Marbuzet a su, en conservant sa dominante de merlot et son élevage sous bois neuf, gagner en finesse et en équilibre. Savoureux !
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Fidèle à lui-même, Haut-Marbuzet a élaboré un 2021 tout en charme, un vin soyeux à la texture caressante, doté de tanins fondus. Les merlots confèrent une belle rondeur et la suavité qui fait son succès. »
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 91/100 « Haut-Marbuzet 2021 a gagné en exubérance depuis que j'ai goûté l'échantillon de barrique. Aujourd'hui, il est très pur et assez séduisant, avec des fruits de cerise noire et de myrtille et des notes de gousse de vanille qui émergent avec le temps. La bouche est moyennement corsée, avec des fruits charnus et mûrs et une belle acidité, mais il lui manque peut-être un peu de complexité en fin de bouche. Sinon, je n'ai rien à redire sur ce Haut-Marbuzet. »
Incontestablement le cru le plus populaire du Médoc. Au fil des années, Haut-Marbuzet a su, en conservant sa dominante de merlot et son élevage sous bois neuf, gagner en finesse et en équilibre. Savoureux !
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2022) : 95/100 « 2018 est encore plus spectaculaire que le 2017 avec un cœur de bouche plus intense et toujours cette belle fraîcheur en finale. »
En Magnum (avril 2021) : 95/100 « Toujours cette noblesse aromatique pour le cru qui impose la puissance de son terroir et une grande maturité de raisins. Texture suave et magnifique, du niveau des meilleurs crus classés. Grande réussite. »
Incontestablement le cru le plus populaire du Médoc. Au fil des années, Haut-Marbuzet a su, en conservant sa dominante de merlot et son élevage sous bois neuf, gagner en finesse et en équilibre. Savoureux !
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 90/100 « Haut-Marbuzet 2016 présente un bouquet franc de fruits rouges rameux, un peu rustique dans son style mais gagnant en finesse avec un peu de dureté vers la finale. »
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Le cru se présente toujours avec un côté souple et agréable. Le bois est encore un peu marqué, mais la matière est belle, avec un joli grain et du fruit. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 90/100 « Cos Labory 2021 est un vin puissant et rustique. La terre brûlée, l'encens, le cuir et le tabac s'ajoutent à une impression de rusticité virile. Des tannins puissants et costauds renforcent cette première impression. Le 2021 a besoin de temps pour s'épanouir, mais je m'attends à ce qu'il soit toujours assez monolithique. »
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 94/100 « Voilà une affaire à ne pas laisser passer. Ce cru classé discret, dans l'ombre des stars Cos d'Estournel, Montrose ou désormais Calon Ségur, joue depuis des années sa partition avec justesse. La dégustation des 2005, 2012 et 2019 démontre que les vins sont plus que sérieux, dans un style toujours équilibré et classiquement médocain. Une marque de grande confiance. »
J-M Quarin (mars 2022) : 92/100 « Le vin avance savoureux en prenant du goût entre le milieu et la finale, le tout sans jamais marquer le tannin. Belle longueur. Un superbe Outsider. »
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Rapport qualité/prix épatant en 2016.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 91/100 « Cos-Labory 2016 a un beau bouquet, assez avancé et ouvert, offrant des fruits noirs rameux, lacés de violette. La bouche mi-corsée présente des tannins souples, une acidité finement perlée, du tabac et du cèdre vers la finale de style classique, qui fait preuve d'une impressionnante persistance. Ce vin est le reflet d'un château en pleine évolution, et il suggère que la colline de Cos pourrait avoir deux vins de Saint-Estèphe qui valent la peine d'être recherchés. »
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Précédemment campés sur des tanins fermes qui les rendaient austères dans leur jeunesse, les vins de Cos Labory ont depuis une dizaine d'années changé de style, devenant plus avenants et gagnant en profondeur et en raffinement (son vignoble jouxte ceux de Lafite-Rothschild et Cos d'Estournel). « Sans doute à ce jour le meilleur rapport qualité-prix du classement 1855 », d'après Bettane & Desseauve (Guide 2025).
La famille Audoy ayant vendu son cru au voisin Cos d'Estournel début 2023, une nouvelle ère commence à Cos Labory.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2018) : 90/100 « Cos-Labory 2014 a un bouquet légèrement pincé au début, s'ouvrant progressivement sur des senteurs de mûre et de briary, juste une touche de graphite. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes, des fruits noirs séveux lacés de graphite et de poivre noir, assez harmonieux avec une finale croustillante et posée, satisfaisante. Un excellent Saint-Estèphe traditionnel et peut-être l'un des meilleurs Cos-Labory que j'ai dégustés jusqu'à présent. »
Le rachat de Calon-Ségur en 2012 par une filiale du Crédit Mutuel annonce le grand réveil de ce fameux terroir de graves sur calcaire, d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur (fait unique dans le Médoc). Tout Bordeaux souhaite qu'au bout d'un plan d'investissement sur 15 ans l'on puisse retrouver des Calon-Ségur aussi fabuleux que ceux du milieu du siècle dernier.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 92+/100 « Le Calon Ségur 2022 est un vin jeune, brut et puissant avec des tannins énormes. Aujourd'hui, je trouve le 2022 impénétrablement compact et difficile à lire. Cependant, le Calon Ségur était assez similaire en primeur, donc je ne peux pas dire que je sois terriblement surpris. Pour l'instant, le 2022 est un peu un mystère. »
Le rachat de Calon-Ségur en 2012 par une filiale du Crédit Mutuel annonce le grand réveil de ce fameux terroir de graves sur calcaire, d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur (fait unique dans le Médoc). Tout Bordeaux souhaite qu'au bout d'un plan d'investissement sur 15 ans l'on puisse retrouver des Calon-Ségur aussi fabuleux que ceux du milieu du siècle dernier.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 95/100 « Le vin se montre plus fermé que ses voisins, avec un fruit qui apparaît mûr et riche. Le nez est serré, intense, avec des notes de fruits noirs. À ce stade, la bouche est aussi très compacte et la finale stricte. Mais nous sommes confiants, car la texture est belle et il va s’harmoniser. »
Vinous (A. Galloni - Décembre 2023) : 97/100 et #39 du Top 100 des vins de l'année 2024 « Un Saint-Estèphe d'envergure et d'intensité verticale, le Calon Ségur 2021 éblouit dès la première dégustation. Les épices, le menthol, la réglisse, la cerise noire, la menthe et l'espresso sont quelques-unes des nombreuses notes qui se développent avec un peu d'attention. Le 2021 affiche un modeste taux d'alcool de 12,9 %, mais il possède une densité et une résonance texturale extraordinaires. Quel vin ! »
Le rachat de Calon-Ségur en 2012 par une filiale du Crédit Mutuel annonce le grand réveil de ce fameux terroir de graves sur calcaire, d'un seul tenant et entièrement ceint d'un mur (fait unique dans le Médoc). Tout Bordeaux souhaite qu'au bout d'un plan d'investissement sur 15 ans l'on puisse retrouver des Calon-Ségur aussi fabuleux que ceux du milieu du siècle dernier.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 94/100 « Le Calon Ségur 2014 a un nez frais et vibrant, un peu arriéré et maussade, mais il y a de la concentration ici, juste bien enroulée pour le moment. Il y a des touches d’iode et d’embruns présents. La bouche est moyennement corsée avec des tanins mûrs et juteux, assez denses et charnus, mais il y a un poids et une colonne vertébrale énormes à l’arrière qui, je pense, le feront mûrir avec style. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « À sa race habituelle et à sa profondeur, Montrose 2021 ajoute un soupçon d’éclat et une grande distinction dans ses tanins. Un vin puissant certes, mais terriblement civilisé. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96+/100 « Montrose 2021 est un vin intérieur et sombre, un Montrose classique, en d'autres termes, juste atténué dans son intensité par la saison de croissance fraîche. Les épices, le tabac, le cèdre, le menthol, la terre brûlée, le gravier et une touche de chêne neuf s'ouvrent avec le temps, mais le 2021 est vraiment un vin qui nécessite une garde considérable pour atteindre son potentiel. Mais encore une fois, il s'agit du Montrose. L'élégance rencontre ici la puissance »
J-M Quarin (avril 2022) : 96/100 « Minutieux en entrée de bouche, très aromatique et complexe au milieu, le vin grandit en finale, très frais, très savoureux, plus floral que d'habitude et néanmoins profond. Grande persistance à la tannicité raffinée et plus parfumée que de coutume à cet âge. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2020 dans la presse :
Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « Un grand Montrose assurément que le 2020 du cru. [...] La bouche conjugue avec une harmonie parfaite puissance, douceur, finesse, fraîcheur, longueur. L'élégance même. »
Vinous (N. Martin - février 2023) : 99/100 « Ce vin est beaucoup plus détaillé que le 2019 ou le 2018. C'est un Montrose symétrique, d'une précision et d'une minéralité infaillibles, dont la texture soyeuse dissimule la puissance sous-jacente. Il s'agit sans équivoque d'un vin brillant et d'une référence pour ces dernières années. »
Vinous (A. Galloni - février 2023) : 99/100 « Le 2020 est un classique moderne pour Montrose et l'un des grands vins de la rive gauche. »
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 98/100 « C'est le plus aristocratique de l’appellation, mais aussi le plus serré à ce stade. D’une précision superbe et d’une définition irréprochable, il n’a pas encore libéré tout son potentiel, mais le muscle est là et tout est en place pour donner, d’ici dix ans, un vin exceptionnel. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 95/100 « Montrose 2015 présente un bouquet très intense de mûre, de coulis de framboise, d'iode et de violette qui s'épanouit dans le verre, faisant preuve de plus d'exubérance que (ce qui s'est avéré être) le Meyney 2015. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, une acidité très bien jugée, tendue et linéaire avec une fraîcheur et un équilibre satisfaisants en fin de bouche. Peut-être que ce vin a l'avantage sur le Meyney. Superbe. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 96/100 « Le Montrose 2014 présente un bouquet engageant et complexe de fruits noirs, de boîte à crayons, de violette pressée et de terre chaude, qui gagne en intensité à l'aération. La bouche est moyennement corsée, avec d'excellents tanins qui encadrent le fruit noir riche en minéraux (en fait, c'est l'un des rives gauches 2014 les plus chargés en minéraux que j'ai dégustés), le chêne est parfaitement intégré et la finale a beaucoup de panache. Un vin magnifique qui entre à peine dans sa phase de dégustation. »
En Magnum (2022) : 93/100 « Arôme dévellopé de cèdre, terriblement marqué par le microclimat des graves de bord de Gironde dans son apparente souplesse, qui cache un excellent corps et surtout une élégance de toucher de bouche et d'élevage digne de notre attente. »
Après 43 millésimes, M. Charmolüe a vendu en 2006 à MM. Bouygues. Le changement de propriétaire s'est accompagné d’un chantier spectaculaire, destiné à faire entrer Montrose dans le 21ème siècle : recours à la géothermie, installation de panneaux photovoltaïques, recyclage du CO2 des fermentations alcooliques...
Changement de style également dans les vins, allant vers plus de complexité aromatique et de raffinement de texture. Montrose reste néanmoins un vin de grande race, reposant sur une puissante architecture tannique et réservé de fait aux amateurs les plus patients.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N.Martin - mai 2024) : 99/100 « Montrose 2010 présente un nez époustouflant de fruits noirs puissants, intenses et riches en minéraux, qui s'arrondit à l'aération. Des notes de pot-pourri complètent les notes de tabac. La bouche est fraîche, vibrante et lourde, mais paradoxalement, elle est d'une merveilleuse finesse. Il y a une symétrie dans ce Montrose, couplée à une longueur extraordinaire qui vous laisse sur votre faim. Brillant. »
J-M Quarin (février 2023) : 97/100 « Couleur sombre, intense et très légèrement évoluée. Nez remarquable pour sa maturité pleine de fraîcheur. Il sent bon les fruits noirs. Nuances boisées élégantes. A l'aveugle, la bouche rappelle château Latour. Le gras, la puissance, l'enveloppe du corps, associés à beaucoup de fruits, font merveille. Finale très savoureuse, à la fermeté légitime, parce que trop jeune. Nuance calcaire dans la persistance finale. Les gourmands le goûteront sinon attendre deux ou trois ans. »
En Magnum (2022) : 95/100 « Très riche de couleur et de texture, noblement mentholé, avec un velouté de texture particulier où l'on sent l'influence de Jean-Bernard Delmas et du style mis au point à Haut-Brion. Long, complexe, peut-être un peu moins typé grand médoc du nord que ne le seront les 2018 et les 2020. »
La très haute qualité des millésimes récents de Cos d'Estournel est impressionnante, le plaçant sans conteste au niveau des premiers grands crus classés du Médoc. Un seul qualificatif vient à l'esprit à l'évocation de Cos d'Estournel : monumental, pour ses vins comme pour son chai.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Cos 2021 est doté d’une admirable trame, avec du nerf et de la profondeur. Un grand classique, tout en équilibre, soyeux et digeste. »
J.M Quarin (Février 2024) : 96/100
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 93/100 « Cos d'Estournel 2021 a conservé un nez dominé par le Cabernet Sauvignon, avec des arômes de mine de crayon infusant le fruit noir, et une touche de chocolat noir et de terreau apparaissant à l'aération. Il est bien défini et composé, bien qu'il n'ait pas la complexité de certains des grands millésimes récents du domaine. La bouche est moyennement corsée avec des tanins légèrement crayeux à l'entrée. D'une profondeur modeste, il est assez sapide, avec une touche de vivacité dans le fruit. Ce n'est pas un Cos d'estournel flamboyant, mais il est très bien composé et se prolonge de façon séduisante en fin de bouche. Donnez-lui cinq à sept ans en bouteille. »
La très haute qualité des millésimes récents de Cos d'Estournel est impressionnante, le plaçant sans conteste au niveau des premiers grands crus classés du Médoc. Un seul qualificatif vient à l'esprit à l'évocation de Cos d'Estournel : monumental, pour ses vins comme pour son chai.
La millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 95+/100 « Cos d'Estournel 2020 présente un bouquet plus discret que celui de ses pairs, et il faut l'amadouer davantage dans le verre pour qu'il révèle son fruit noir teinté de gravier - le Saint-Estèphe par excellence, en fait. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins, des arômes de poivre blanc et de fruits noirs, une douce poigne et une finale assez persistante. Il est un peu intransigeant pour l'instant, mais il devrait évoluer vers un excellent vin. »
La très haute qualité des millésimes récents de Cos d'Estournel est impressionnante, le plaçant sans conteste au niveau des premiers grands crus classés du Médoc. Un seul qualificatif vient à l'esprit à l'évocation de Cos d'Estournel : monumental, pour ses vins comme pour son chai.
Le millésime 2016 dans la presse :
J-M Quarin (août 2019) : 98/100 « Le meilleur jamais fait ! Couleur sombre, intense, pourpre et belle. Nez intense, fin, au fruité mûr. Puissant. Moelleux à l’attaque, puis dense et fondant, avec de la classe dans le toucher, le vin glisse entre le milieu et la finale, ascendant dans son déroulé, complexe et long. Il possède beaucoup d’énergie, beaucoup de goût aussi. »
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 100/100 « Dans ma dernière critique du Cos d'Estournel 2016, j'ai écrit : “ Je soupçonne qu'il va se refermer pendant un certain temps dans sa jeunesse ”. Peut-être qu'il commence déjà à se refermer, car bien que ce vin ait été profondément impressionnant, il n'est pas arrivé à la cheville des bouteilles éthérées précédentes, malgré son « fruit noir pixelisé » au nez et son « équilibre sublime » en bouche. J'ai dégusté le vin deux fois par la suite, mais cette fois avec une carafe de 4 à 6 heures, et cela a révélé le Cos d'Estournel qui m'a émerveillé depuis que je l'ai dégusté pour la première fois hors du tonneau. »
La très haute qualité des millésimes récents de Cos d'Estournel est impressionnante, le plaçant sans conteste au niveau des premiers grands crus classés du Médoc. Un seul qualificatif vient à l'esprit à l'évocation de Cos d'Estournel : monumental, pour ses vins comme pour son chai.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 93/100 « Cos d'Estournel 2014 a un bouquet magnifique. Comparé directement au Montrose, il est un peu plus exubérant et précis, avec des couches de fruits noirs pruneaux riches mais délimités, agrémentés de pétales de rose et de chocolat noir. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins. Il présente une belle profondeur de fruit, une symétrie et une sapidité qui vous incitent à en redemander. D'une texture soyeuse, c'est un Cos d'Estournel qui donnera beaucoup de plaisir dans les années à venir. »
J-M Quarin (juin 2018) : 94/100 « Caressant à l'attaque, savoureux en milieu de bouche, un tantinet austère tout en restant agréable, le vin s'achève savoureux et un peu plus marqué par le tannin que d'autres. Bonne longueur. »