Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (juin 2023) : 97/100 « Nez sur le fruité noir mûr, menthe sauvage, cacao. Bouche profonde, du gras, grande expression aromatique, beaux tanins gras et mûrs. finit riche et complexe. Un beau Lynch-Bages dans tous son ADN. »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 97/100 « Le Lynch-Bages 2016 est primaire mais concentré au nez avec des senteurs de myrtille et de violette écrasée. C'est puissant, sensuel et tout à fait glorieux. La bouche est moyennement corsée avec des tannins accrocheurs, affirmée et structurée tout en conservant une grande fraîcheur. Une subtile note marine apparaît en fin de bouche. C'est l'un des vins les plus profonds produits par le domaine ces dernières années... peut-être même jamais ? »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 92/100 « Lynch-Bages 2014 présente un bouquet merveilleux, précis et concentré qui respire la classe. Le chêne est magnifiquement assimilé et la minéralité est superbe. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples et un soupçon de poivre blanc et de sauge, gagnant en profondeur vers la finale harmonieuse et presque inspirée du Saint-Julien. Probablement prêt maintenant, mais à boire dans les 15 à 20 prochaines années. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 95/100 « Lynch-Bages 2010 a un nez serré : fruits noirs introvertis, cèdre et menthe. Des touches de fleur d'iris et de boîte à crayons émergent à l'aération. Ces arômes disent : « Revenez plus tard ». La bouche est moyennement corsée, avec un fruit noir séveux, une acidité fine et une prise ferme. Elle est linéaire en fin de bouche, mais elle est fraîche avec une note marine sous-jacente attrayante qui anime et complexifie la finale. Ce vin est exceptionnel, mais il ne s'adresse qu'à ceux qui ont de la patience. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2009 dans la presse :
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 92/100 « Lynch-Bages 2009 est très bien défini au nez, tout en étant puissant avec beaucoup de fruit à revendre : mûre, fraise des bois, canneberge mélangés à du cèdre et une légère touche mentholée. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples, une acidité fine et légèrement épicée avec une superbe concentration. Il exerce une douce emprise du début à la fin, puis offre une finale engageante et épicée qui persiste en bouche. Excellent. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2005 dans la presse :
La Revue du Vin de France (juin 2023) : 98/100 « Sphérique et velouté en bouche, matière onctueuse et tanins relevés par une fraîcheur mentholée. Finit très long sur une déclinaisons de senteurs élégantes. Irrésistible ! »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 93/100 « Lynch-Bages 2005 est plus opulent au nez avec des notes camphrées de fruits noirs et rouges, d'écorce d'orange desséchée et de sauge. Avec le temps, il développe une belle composante florale. La bouche est moyennement corsée avec des tanins serrés, audacieux et cuivrés avec beaucoup de substance. Ce n'est pas un vin timide, mais il est agrémenté de poivre blanc en fin de bouche. Peut-être est-il un peu effronté pour les mêmes ? Mais donnez-lui du temps car il finira par s'adoucir. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 97/100 « Le Pontet-Canet 2022 est un vin super raffiné de la famille Tesseron. Il est peut-être un peu moins opulent que les années passées, mais en échange, il possède plus d'énergie, de concentration et de coupe, toutes qualités qui sont les bienvenues ici. Des arômes de fruits rouges et violacés, de pétales de rose lavande, de menthe et de moka se développent sans effort dans le verre. En 2022, le Pontet Canet s'annonce comme un joyau absolu. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Le 2021 confirme sa grandeur ! Le vin offre un raffinement et une subtilité absolument magnifiques. Doté d’un fruité frais, il déroule en bouche avec beaucoup de suavité et de soyeux. La matière est superbe, le fruit est posé et les tanins sont en dentelle. Un des vins les plus charmeurs du millésime. »
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 93/100 « Le Pontet Canet 2021, qui contient un peu plus de petit verdot que d'habitude, a été mis en bouteille en juillet. Il présente un bouquet très attrayant avec des notes pures de fruits noirs, de cèdre et de légères fleurs d'iris. Il n'est pas puissant, mais il est élégant. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins et une acidité vive. Un soupçon de moka se cache à l'arrière-plan, mais la finale est d'une fraîcheur satisfaisante, presque citrique. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 99/100 « Le nez d'une grande complexité donne le ton : des notes de fruits, de fusain, de graphite... Le vin est spectaculaire en bouche aussi, complet et vibrant. Une pointe acidulée lui apporte beaucoup de ressort et étire la finale. Une bouteille d’une harmonie absolue. »
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 95/100 « Assez structuré en finale (plus que les millésimes précédents) avec une poignée douce et insistante. Ce vin est incontestablement plus classique que le 2019 récemment dégusté à l'aveugle et devrait bien mûrir en bouteille. Excellent. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2017 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2021) : 97/100 « Dans un style qui n'est pas sans évoquer les grands vins bourguignons, 2017 est aussi un vin de texture, avec une petite touche poudrée et un grain très fin. Allongé et svelte, mais tellement persistant. »
Vinous (Antonio Galloni - Mars 2020) : 95/100 « Le Pontet-Canet 2017, un magnifique et séduisant Pauillac, est racé et exceptionnellement poli, avec des notes florales en tête qui font ressortir l'éclat naturel des fruits rouges. Les tanins super soyeux ajoutent à l'immédiateté et à l'attrait du vin. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2021) : 98/100 « Avec sa dimension graphite et fusain, une belle épice et cette touche de boisé précieux, il est raffiné. La bouche impose une jolie matière étoffée, avec une belle osmose entre la puissance et la structure tannique. C'est un vin longiligne, doté d'une sève de tanin qui tapisse sans excès. Un vin magnifique, bâti pour la garde. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 99/100 « Pontet-Canet 2016 est absolument époustouflant. Puissant, ample et racé dans le verre, le 2016 est l'un des jeunes Pontet-Canet les plus exquisément bien équilibrés dont je me souvienne avoir goûté. Des arômes savoureux, aux tons élevés, et des notes minérales vives apportent de l'énergie et de la délimitation alors que ce vin vif et merveilleusement vivant s'ouvre dans le verre ; les saveurs sont sombres et incisives, mais c'est le sens total de l'harmonie de ce vin qui est le plus convaincant. Tous les éléments sont tout simplement au bon endroit. Le 2016 est formidable. C'est aussi simple que cela. Comme c'est souvent le cas, le Pontet-Canet est l'un des vins les plus singuliers de Bordeaux. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2012 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2021) : 93/100 « La bouche est veloutée, assise sur une matière en demi-puissance, mais le coeur de bouche est harmonieux. Les tanins sont bien intégrés et l'ensemble séduit par sa texture élégante et soyeuse. Très plaisant 2012. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2010 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2021) : 96/100 « Le vin montre une belle richesse gérée par une trame de tanins de qualité qui étire la bouche et lui confère du relief. C'est un ensemble sérieux, encore charnu, qui a de longues années devant lui. »
Vinous (N. Martin - février 2020) : 92/100 « Pontet-Canet 2010 est d'une couleur sensiblement profonde par rapport à ses pairs. Le nez est exceptionnellement mûr et doux, plus de fruits rouges que de fruits noirs, peut-être un peu confituré et confiturier. Je n'aurais jamais deviné qu'il s'agissait d'un 2010 de la Rive Gauche. La bouche est moyennement corsée et charnue, avec beaucoup de fruits rouges teintés de graphite. D'un style accessible et sensuellement satisfaisant, il manque juste d'un peu d'épine dorsale en finale. J'ai de meilleurs souvenirs des bouteilles précédentes, mais je n'ai pas pu identifier de défaut spécifique. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2010 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2021) : 96/100 « Le vin montre une belle richesse gérée par une trame de tanins de qualité qui étire la bouche et lui confère du relief. C'est un ensemble sérieux, encore charnu, qui a de longues années devant lui. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2008 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 92/100 « Une rencontre fortuite avec le Pontet-Canet 2008 avant une petite dégustation de vins sud-africains m'a rappelé à quel point c'est un beau vin. Il y a beaucoup de fruits noirs au nez, agrémentés de graphite. Le cèdre est moins présent que dans la dégustation précédente. La bouche est moyennement corsée, un peu plus sèche et plus austère que les millésimes récents, mais clairement bien équilibrée avec une surabondance de fraîcheur sur la finale légèrement herbacée. »
Contigu à Mouton-Rothschild, Pontet-Canet est dans les bons millésimes le type même du grand Pauillac, droit et racé. Premier des grands crus classés à être certifié "bio" (en 2010), Pontet-Canet est depuis 2000 au sommet du Médoc.
Le millésime 2006 dans la presse :
La Revue du Vin de France (2016) : 17.5/20 « Très belle allonge subtile. »
Wine Advocate (2016) : 93/100
Le millésime 2006 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - mai 2009) : 94/100 « Rubis moyen mûr. Le nez très mûr est marqué par des arômes de cassis, de framboise noire, de graphite et de minéralité piquante. Dense, riche et soyeux, avec une minéralité d'encre couvrante et une douceur de fruits noirs presque semblable à une liqueur, relevée par un élément poivré savoureux. Ce vin très mûr, profond et concentré est d'une grande richesse sans être trop lourd grâce à son énergie. Comme son voisin Mouton-rothschild, le 2006 de Pontet-Canet donne une impression de puissance et de caractère du terroir. Il se termine sur des tannins sérieux et poussiéreux et une superbe douceur persistante. Devrait être de grande longévité. »
Racheté en 1986 par le groupe AXA, placé dans un premier temps sous la conduite de M. Cazes (Lynch-Bages), Pichon-Longueville Baron retrouve sa meilleure forme dans le style puissant et racé des grands Pauillac. Il faut dire qu’une petite moitié de ses vignes jouxte celles de Latour, sur un terroir de premier cru ! Pour la Revue du Vin de France : « Pichon-Baron est au sommet dans les derniers millésimes ».
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 96/100 « Il a admirablement digéré son élevage et est doté d’une matière lumineuse, éclatante, avec beaucoup de rebonds de saveurs en bouche. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 96/100 « Sombre et mystérieux, le Pichon Baron 2021 est un vin sombre et mystérieux. Il est tout aussi impressionnant qu'il l'était en primeur. Le graphite, le cuir, les épices, le moka et les herbes séchées se fondent dans un vin de puissance, de précision et de classicisme contemporain. C'est l'un de mes premiers favoris de ce millésime. Je ne serai pas trop surpris s'il s'avère encore meilleur que ce que cette note suggère. »
Racheté en 1986 par le groupe AXA, placé dans un premier temps sous la conduite de M. Cazes (Lynch-Bages), Pichon-Longueville Baron retrouve sa meilleure forme dans le style puissant et racé des grands Pauillac. Il faut dire qu’une petite moitié de ses vignes jouxte celles de Latour, sur un terroir de premier cru ! Pour la Revue du Vin de France : « Pichon-Baron est au sommet dans les derniers millésimes ».
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 98/100 « Grande robe, grande générosité de matière, maturité absolue du raisin, saveur noble de cèdre, caractère solaire affirmé, mais sans déséquilibre. Baron est fidèle à lui même, indéniablement pauillacais. »
La Revue du Vin de France (Guide 2021) : 97/100 « Matière superbe, concentrée, énergique et profonde. Il impressionne par sa longueur et la persistance de ses arômes. »
Racheté en 1986 par le groupe AXA, placé dans un premier temps sous la conduite de M. Cazes (Lynch-Bages), Pichon-Longueville Baron retrouve sa meilleure forme dans le style puissant et racé des grands Pauillac. Il faut dire qu’une petite moitié de ses vignes jouxte celles de Latour, sur un terroir de premier cru ! Pour la Revue du Vin de France : « Pichon-Baron est au sommet dans les derniers millésimes ».
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (octobre 2020) : 96/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fruité, crémeux et légèrement truffé. Minutieux en entrée de bouche, raffiné au toucher, très aromatique, le vin se développe sur un port général gracieux. Il fond en finale, parfumé, long, séveux et très bon. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 94+/100 « Le Pichon-Baron 2017 est devenu un vin puissant, même selon ses propres critères. La cerise noire, la prune, le chocolat, les herbes grillées, la réglisse, le cuir neuf et les épices s'épanouissent dans un succulent pauillac qui montre la personnalité racée de l'année. »
Racheté en 1986 par le groupe AXA, placé dans un premier temps sous la conduite de M. Cazes (Lynch-Bages), Pichon-Longueville Baron retrouve sa meilleure forme dans le style puissant et racé des grands Pauillac. Il faut dire qu’une petite moitié de ses vignes jouxte celles de Latour, sur un terroir de premier cru ! Pour la Revue du Vin de France : « Pichon-Baron est au sommet dans les derniers millésimes ».
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 93+/100 « Pichon Baron 2016 a un bouquet puissant et mentholé qui submerge presque les sens. Il se révèle plus riche que ses pairs, presque capiteux dans son style. La bouche est moyennement corsée avec des tannins épais, des couches de fruits noirs riches agrémentés de mine de crayon et d'un soupçon de poivre blanc. Un Pauillac extravagant avec une finale hédoniste inhabituelle. Superbe, mais j'ai eu de meilleures bouteilles. »
La Revue du Vin de France (2018) : 97/100 « monumental. »
Racheté en 1986 par le groupe AXA, placé dans un premier temps sous la conduite de M. Cazes (Lynch-Bages), Pichon-Longueville Baron retrouve sa meilleure forme dans le style puissant et racé des grands Pauillac. Il faut dire qu’une petite moitié de ses vignes jouxte celles de Latour, sur un terroir de premier cru ! Pour la Revue du Vin de France : « Pichon-Baron est au sommet dans les derniers millésimes ».
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 96/100 « Pichon-Baron 2010 est tout simplement l'un des plus grands vins produits sous le mandat de Christian Seely. Il a un bouquet étonnant avec des fruits noirs pénétrants, de la violette flétrie et une touche d'embruns, une note marine distinctive qui frôle les coquilles d'huîtres écaillées. La bouche est très bien équilibrée, avec des tanins au grain fin, des couches de fruits noirs infusés de graphite et une finale très détaillée et captivante. Brillant. »
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 99/100 « La classe à l'état pur ! Ce 2020 déroule une matière subtile, soyeuse et soignée, avec des notes vibrantes de petits fruits et une délicatesse absolue dans son toucher de bouche. Des tanins de velours apportent le raffinement suprême à la finale. »
Vinous (Neal Martin - Novembre 2024) : 99/100 et #3 du Top 100 des vins de l'année 2024 « Pichon-Longueville Comtesse de Lalande 2020 présente l'un des profils aromatiques les plus opulents parmi les vins de Pauillac, avec des arômes de cerise noire, de cassis, de graphite et de cèdre. La bouche est moyennement corsée avec des tannins sveltes et une acidité argentée. D'une texture soyeuse, ce vin conserve un équilibre impressionnant en fin de bouche, supportant avec classe le poids du fruit. Il s'améliore à chaque tourbillon, même si la bouteille que j'ai dégustée juste après la mise en bouteille avait un peu plus de précision. Il s'agit néanmoins d'un fabuleux pauillac qui flirte avec la perfection. »
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2023) : 97/100 « Les grands cabernets (sauvignon et franc) apportent la colonne vertébrale au vin. La bouche traçante, précise, mais sans austérité ; on y retrouve le velouté habituel du cru en finale. »
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 98/100 « Le Pichon-Longueville Comtesse de Lalande 2019 demande plus d'efforts dans le verre, mais il récompense la patience avec un fruit noir fascinant infusé de graphite, un style classique sans équivoque, le terroir étant omniprésent. La bouche est moyennement corsée avec une merveilleuse sapidité, un équilibre magnifique et une finale pure et puissante qui vous fait souhaiter pouvoir construire une machine à remonter le temps et le déguster dans 20 ans. Sublime ».
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 97/100 « Pichon-Longueville Comtesse de Lalande 2016 est très expressif au nez, affichant plus de fruits rouges que le Lynch-Bages 2016, mais conservant le style classique de Pauillac grâce à des senteurs de tabac et de cèdre qui se manifestent à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples et une fine perle d'acidité. Très harmonieuse, elle mène à une finale pure et très détaillée, presque pixelisée, qui est tout à fait séduisante. »
M. Rouzaud (Champagne Roederer) l’a acquis en 2007 et a depuis renforcé l’équipe technique en s’adjoignant notamment les conseils de M.Boissenot. Pichon-Comtesse reste fidèle au style qui a fait son succès, toujours aussi dense, suave, charmeur, enjôleur et surtout attachant.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 94/100 « Pichon-Longueville Comtesse de Lalande 2010 est à nouveau d'une couleur très profonde. Il a un nez compact qui demande à être aéré, s'ouvrant sur des arômes de mûre, de coulis de framboise, de graphite et d'iris léger, tous bien définis mais laissant entendre qu'il a plus à donner dans le futur. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes, une fine acidité, un style un peu poivré avec une finale douce et harmonieuse, plus proche du Saint-Julien. C'est un Pauillac extrêmement charmant et buvable. »
Les jeunes vignes de Latour étant réservées au simple ‘Pauillac’ du domaine, le second vin, Les Forts de Latour, peut être qualifié de grand vin à part entière, issu des parcelles extérieures à l'enclos du château Latour.
Le millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 93/100 « Les Forts de Latour 2014 présente l'un des arômes les plus impressionnants parmi les pauillacs, avec des notes de mûre, de cèdre et de cassis. Une touche de mine de crayon apparaît à l'aération. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fermes. Elle est fraîche et saline, avec des notes vives de fruits noirs infusées de graphite vers la finale persistante, charnue et soyeuse. Remarquable pour un deuxième vin. »
Les jeunes vignes de Latour étant réservées au simple ‘Pauillac’ du domaine, le second vin, Les Forts de Latour, peut être qualifié de grand vin à part entière, issu des parcelles extérieures à l'enclos du château Latour.
Le millésime 2009 dans la presse :
Vinous (N. Martin - mars 2018) : 91/100 « La bouche est nette et fraîche avec des tanins très fins, presque nerveux. La précision est ici indéniable, un Les Forts de Latour tendu qui comme beaucoup de 2012 s'est épanoui lors de son élevage en bouteille. Une touche de menthe caractéristique de Pauillac apparaît en fin de bouche. »
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 91/100 « Le Petit-Mouton 2022 est un vin riche et puissant, presque exagérément dans ce millésime. Une explosion de cerise noire, de prune, de cuir, de clou de girofle et de réglisse tache le palais avec une résonance notable. Il y a beaucoup de vin ici, mais le 2022 aura besoin de quelques années pour se débarrasser d'une partie de sa jeunesse considérable. La finale longue et soutenue est très prometteuse. »
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le Petit Mouton 2020 présente un bouquet séduisant avec un mélange de fruits rouges et noirs, de cèdre et de mine de crayon, qui semble gagner en précision dans le verre - un style très classique. La bouche est moyennement corsée avec un doux noyau de cassis et de mûre, très composée et très pure. La finale à la texture de cachemire s'épanouit glorieusement. Il s'agit d'un excellent pauillac pour une longue garde (écrit avant que son identité ne soit révélée). »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Tel qu'il était en barrique, le Petit-Mouton 2018 est charnu, rayonnant et très facile à déguster. Des contours souples et des tanins soyeux ajoutent à son allure considérable. En raison des faibles rendements, le Petit-Mouton a été entièrement élevé en chêne neuf. Riche, somptueux et audacieux à souhait, le 2018 est un vin de rock star. »