Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Destinés à une très longue garde en cave (minimum 10 ans même dans les petits millésimes), les vins de Léoville-Las Cases représentent dans chaque millésime une des plus parfaites et plus pures expressions du vignoble médocain. Comme l'a écrit Wine Advocate « Léoville-Las Cases ressemble de plus en plus à Lafite plutôt qu'à son proche voisin Latour ».
À chaque millésime, Léoville-Las Cases est un des candidats désignés au titre de "meilleur Bordeaux de l'année", comme à nouveau pour son 2020 noté 98+/100 par M. Galloni (Vinous) « Las Cases est un des vins du millésime 2020, cela ne fait aucun doute » et 99-100/100 par la Revue du Vin de France « un vin superlatif par sa profondeur, sa richesse, mais surtout sa définition ».
Le millésime 2004 dans la presse :
Vinous (N.Martin - avril 2022) : 92/100 « Le Léoville Las Cases 2004 présente au nez un caractère mentholé perceptible qui complète bien le fruit rouge, bien qu'il s'éloigne de ce que l'on pourrait appeler la typicité du Saint-Julien. Après dix minutes, il s'harmonise avec des arômes de cendres et de thé noir. La bouche est moyennement corsée avec une texture ronde à l'entrée. Le 2004 présente une belle acidité et est légèrement épicé avec du poivre noir en fin de bouche. Un peu conservateur, mais il s'en sort bien compte tenu du millésime. »
Second vin de Grand-Puy Lacoste. Fruité, tendre, soyeux, et toujours élégant. Un classique à prix doux.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - avril 2024) : 90/100 « Lacoste-Borie 2021 est un très joli second vin. Le pétale de rose écrasé, la menthe, l'orange sanguine et le poivre blanc ajoutent une belle présence aromatique à ce Pauillac soyeux et racé. L'équilibre favorise ici la sobriété et la fraîcheur, à la manière d'un Pinot. »
Second vin de Grand-Puy Lacoste. Fruité, tendre, soyeux, et toujours élégant. Un classique à prix doux.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2021) : 95/100 « On retrouve la suavité et la séduction qui signent les vins de la propriété. Admirable qualité de tanins au grain fin et soyeux. »
Second vin de Grand-Puy Lacoste. Fruité, tendre, soyeux, et toujours élégant. Un classique à prix doux.
Second vin de Grand-Puy Lacoste. Fruité, tendre, soyeux, et toujours élégant. Un classique à prix doux.
Plus moelleux et plus raffiné depuis 2015, mais toujours dans son style ample et généreux, Fonbadet fait partie des meilleurs crus non classés de Pauillac (espèce en voie de disparition).
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 94/100 « Le Fonbadet 2018 est superbe. Classiquement élégant et raffiné, le 2018 gratifie le palais d'une finesse exquise dès le départ. Des saveurs de baies rouges, de fleurs, d'orange sanguine et de menthe transmettent de la fraîcheur alors que le 2018 s'ouvre dans le verre. L'acidité vive stimule la finale nuancée et persistante. Les lecteurs ne trouveront pas beaucoup de 2018 aussi délicats, sensuels et tout simplement charmants. »
Plus moelleux et plus raffiné depuis 2015, mais toujours dans son style ample et généreux, Fonbadet fait partie des meilleurs crus non classés de Pauillac (espèce en voie de disparition).
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 93/100 « Fonbadet 2017 est somptueux et super expressif, sans aucune dureté et avec beaucoup d'immédiateté. Les fruits bleus et violacés, le menthol, la réglisse, la lavande, les épices et le cuir sont tous au premier plan. Les lecteurs découvriront un Pauillac crémeux et texturé qui s'appuie sur la présence et la jutosité du fruit. Mieux encore, le 2017 peut être dégusté sans trop d'états d'âme dès sa sortie. J'ai adoré. »
Idéalement placé sur le plateau de Mouton, voisin de crus classés prestigieux tels d'Armailhac, Clerc-Milon et Pontet-Canet, Pibran appartient à l'assureur AXA et bénéficie de l'expertise de l'équipe technique de Pichon-Baron (même propriétaire). Il ne reste plus que quelques crus non-classés à Pauillac, Pibran est de loin le meilleur d'entre eux !
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Le Pibran 2018 est fabuleux, tout comme il l'était en primeur. Juteux, riche et expansif dans ce millésime, le Pibran offre une richesse et une verve formidables. La cerise noire, les épices, le cuir neuf et le cèdre se développent alors que cet élégant pauillac dévoile ses charmes considérables. Le 2018 est incontestablement extraverti. Il est également délicieux et sans vergogne. »
Idéalement placé sur le plateau de Mouton, voisin de crus classés prestigieux tels d'Armailhac, Clerc-Milon et Pontet-Canet, Pibran appartient à l'assureur AXA et bénéficie de l'expertise de l'équipe technique de Pichon-Baron (même propriétaire). Il ne reste plus que quelques crus non-classés à Pauillac, Pibran est de loin le meilleur d'entre eux !
Si les vins de Pibran présentent généralement un corps charnu et un fruit éclatant, le millésime 2016 transcende ces qualités. Tout en chair et en charme, il est considéré comme le meilleur jamais fait par Jean-Marc Quarin et Neal Martin.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin -mai 2018) : 92/100 « Pibran 2016, qui contient 68% de merlot, venait d'être mis en bouteille lorsque j'ai effectué la dégustation verticale. Il présente un fabuleux bouquet de cassis et de cerises noires, magnifiquement défini et parfaitement intégré au chêne. La bouche mi-corsée offre une exquise pureté de fruits noirs agrémentée de graphite. Elle transmet énergie et tension, et la finale est extrêmement détaillée et raffinée. Il s'agit d'un très bon Pibran, probablement le meilleur jamais produit. »
Idéalement placé sur le plateau de Mouton, voisin de crus classés prestigieux tels d'Armailhac, Clerc-Milon et Pontet-Canet, Pibran appartient à l'assureur AXA et bénéficie de l'expertise de l'équipe technique de Pichon-Baron (même propriétaire). Il ne reste plus que quelques crus non-classés à Pauillac, Pibran est de loin le meilleur d'entre eux !
Le millésime 2014 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2018) : Coup de ♥ « Très belle élégance, avec un côté plein et gourmand à la fois. »
Vinous (N. Martin - mai 2018) : 90/100 « Le Pibran 2014 présente un bouquet net et bien défini de mûres, de haies sauvages et de légères senteurs de rasage de crayon qui deviennent plus proéminentes au fur et à mesure que le vin s'aère. Le palais est moyennement corsé avec des tanins souples. Un 2014 agile avec une superbe ligne d'acidité et une réelle tension vers la finale légèrement épicée. »
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Les Griffons se rapproche de l’esprit du grand vin et reçoit un apport de petit verdot significatif, qui confère de la profondeur, de la sapidité et beaucoup de classe à cette cuvée. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 93/100 « 2021 Les Griffons de Pichon Baron est un autre beau vin de cette gamme de Pichon Baron. Doux et caressant, le 2021 offre un mélange exotique de cerise noire, de cannelle, de moka, d'orange sanguine et de cuir. Tous les éléments sont impeccablement équilibrés ».
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 93/100 « Les Griffons, dont les merlots représentent 50 % de l’assemblage, est encore plus effilé et précis avec un côté cristallin. Il bénéficie d’un élevage parfaitement calé, au service d’un fruit explosif. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 91/100 « Le 2020 Les Griffons de Pichon Baron a un nez ouvert et expressif, mélange de fruits rouges et noirs, assez élégant et développant des senteurs florales séduisantes. La bouche est moyennement corsée, cohérente et persistante, avec des notes charnues et mûres de fruits noirs et de poivre blanc. »
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 93/100 « Cette cuvée à dominante de cabernet-sauvignon offre une admirable droiture et un grand potentiel. Elle se hisse au niveau d'un cru classé, tout à fait dans l'esprit du grand vin. Très grande définition et noblesse tannique en finale, il est parti pour plus de 10 ans. »
En Magnum (avril 2021) : 94/100 « Parfait équilibre dans cette année solaire, élégant et précis dans son rendu du terroir. Un modèle du genre en adéquation avec les ambitions affichés par Axa Millésimes pour ce second cru classé de Pauillac. Sous l'impulsion de Christian Seely et de Jean-René Matignon, la propriété est au plus haut niveau et signe ce griffons impeccable, apte à la garde et déjà très bon. »
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Les Griffons de Pichon Baron 2018 est un Pauillac capiteux et sauvage. Un mélange exotique de fruits noirs d'encre, de chocolat, d'épices, d'herbes grillées, d'expresso et de chêne neuf donne aux Griffons sa personnalité extravertie. Les tannins ont besoin d'un peu de temps pour s'assouplir, mais il y a beaucoup à attendre. C'est un Pauillac particulièrement dense et riche. »
Nouvelle dénomination du second vin de Pichon-Baron à partir du millésime 2012, sans conteste au niveau des 5èmes crus de Pauillac.
Le 2016 est à l'image du grand vin : pur et vigoureux, racé et puissant, promis à une belle et longue garde.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 91/100 « Le 2016 Les Griffons de Pichon Baron est assez puissant et dense. L'élevage, et plus précisément le régime de barriques de 18 mois en chêne (60 % neuf) a laissé le 2016 avec une lourde qualité de toast/torréfaction qui, pour l'instant, domine les fruits noirs et les arômes de cabernet que le vin a montré en barrique. »
Second vin de Pichon-Comtesse de Lalande : velouté, généreux, aux tanins bien polis et aux arômes de fruits mûrs avec une note de cèdre très pauillacaise. Une valeur sûre et régulière, vite épanouie.
Second vin de Pichon-Comtesse de Lalande : velouté, généreux, aux tanins bien polis et aux arômes de fruits mûrs avec une note de cèdre très pauillacaise. Une valeur sûre et régulière, vite épanouie.
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 93/100 « Le Pédesclaux 2022 regorge de cerises noires, de prunes, de cuir neuf, de réglisse et de chocolat. Ce somptueux et audacieux Pauillac a beaucoup à offrir dans un style résolument flamboyant. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Le 2020 confirme ses admirables dispositions et s'impose comme le plus abouti au domaine. Le fruit est superbe d'éclat, bien juteux et savoureux, avec de jolis tanins gracieux et une finale acidulée. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 90/100 « Le nez du Pédesclaux 2020 est franc et bien délimité, avec une dominante de fruits noirs mêlée à des senteurs de pot-pourri et de cèdre. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins juteux et mûrs, une belle profondeur et une belle cohésion. Une judicieuse touche d'épices persiste sur la finale poivrée. Il manque peut-être d'un peu de sophistication en ce moment, mais j'apprécie cette fin de bouche teintée de poivron. Il devrait bénéficier de trois ou quatre années supplémentaires en cave. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « Le 2018 est une référence, la matière est lumineuse, le fruit, très mûr. Il n'en demeure pas moins éclatant, avec une note mentholée en finale. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « Le 2018 est une référence, la matière est lumineuse, le fruit, très mûr. Il n'en demeure pas moins éclatant, avec une note mentholée en finale. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 92/100 « Pédesclaux 2017 s'est vraiment bien assemblé depuis que je l'ai dégusté en barrique. Souple et engageant, le 2017 montre tout l'éclat et les contours souples du merlot, qui constitue près de la moitié de l'assemblage. Des notes de cuir, de fumée et de tabac se mêlent à un noyau de cerise noire et de prune. Le 2017 est engageant, merveilleusement invitant et tout simplement délicieux. »
J-M Quarin (octobre 2020) : 91/100 « Ce vin veloute jusqu’en finale où brillent de jolies saveurs pures et des tannins fins. C’est très bon. »
Depuis 2009 et le rachat par M. Lorenzetti, on peut parler d'un nouveau cru classé à Pauillac. Indigne de son classement, Pédesclaux avait jusqu’alors disparu de la scène bordelaise. L'ambition et les moyens du nouveau propriétaire sont là : réfection de fond en comble des installations, acquisition de nouvelles parcelles idéalement situées. Les premiers millésimes offrent l'image d'un Pauillac souple et facilement accessible, à un prix défiant toute concurrence sur l'appellation.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 94/100 « Pédesclaux 2016 présente un bouquet très concentré de mûre, de graphite, des notes de tabac et un léger parfum granitique - très Pauillac. La bouche est moyennement corsée avec des tanins soyeux, une profondeur impressionnante, une poignée douce et une ligne d'acidité meurtrière. J'adore l'harmonie et la précision de ce Pédesclaux, qui est probablement le meilleur à ce jour. Hautement recommandé. »
Depuis 2010, Claire Villars (également à Ferrière et La Gurgue), remet en selle Haut-Bages Libéral. Avec un terroir qualitatif (contigu à Latour), ce cru certifié bio depuis 2019 est devenu, pour un prix raisonnable, la bonne affaire de Pauillac.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 97/100 « Le Haut-Bages Libéral 2022 est énorme et explosif dès le départ. Une explosion de cerises rouges sombres et de prunes, de pétales de rose, d'orange sanguine, d'encens, de réglisse et de moka sature le palais. Des notes salines prolongent le milieu de bouche et se terminent sans effort. C'est l'un des vins les plus exubérants et les plus amples que j'aie dégustés de Claire Villars-Lurton. Je donnerais au 2022 un certain nombre d'années en bouteille pour qu'il se débarrasse de sa graisse de bébé. Aujourd'hui, il a presque le goût d'un échantillon de barrique ! La pureté et l'intensité primaire du fruit sont remarquables. Le Haut-Bages Libéral a été élevé dans une combinaison de 40 % de chêne neuf, 40 % de fûts ayant déjà servi et 20 % d'un mélange de béton et d'amphores. C'est l'un des joyaux méconnus de 2022. »
Depuis 2010, Claire Villars (également à Ferrière et La Gurgue), remet en selle Haut-Bages Libéral. Avec un terroir qualitatif (contigu à Latour), ce cru certifié bio depuis 2019 est devenu, pour un prix raisonnable, la bonne affaire de Pauillac.
Depuis 2010, Claire Villars (également à Ferrière et La Gurgue), remet en selle Haut-Bages Libéral. Avec un terroir qualitatif (contigu à Latour), ce cru certifié bio depuis 2019 est devenu, pour un prix raisonnable, la bonne affaire de Pauillac.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 95/100 « Le cru est en pleine progression, avec un vin de bel équilibre en 2020. On perçoit une texture crayeuse en bouche, expression des sols calcaires. Le vin est plein, sapide, avec des tanins frais qui allongent une finale nette. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 96/100 « Le Haut-Bages Libéral 2020 est exceptionnellement beau et vif. Le bonbon dur, le kirsh, le pétale de rose, la cannelle et l'orange sanguine sont quelques-unes des nombreuses notes qui courent à travers le palais. Un vin d'une pureté et d'un soyeux magnifiques, le Haut-Bages Libéral est tout simplement captivant dans son intensité. Des acides vifs ponctuent la finale articulée et persistante. Magnifique. »
Depuis 2010, Claire Villars (également à Ferrière et La Gurgue), remet en selle Haut-Bages Libéral. Avec un terroir qualitatif (contigu à Latour), ce cru certifié bio depuis 2019 est devenu, pour un prix raisonnable, la bonne affaire de Pauillac.
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95/100 « Dans la foulée de son frère Ferrière, le cru gagne en raffinement et en profondeur. 2019 marque un tournant qui le propulse dans une autre catégorie. Notes de réglisse, de poivre blanc, douceur superbe des tanins : il est irrésistible. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 94+/100 « Le Haut-Bages Libéral 2019 est un vin magnifique de Claire Lurton, même s'il s'est un peu refermé après la mise en bouteille. Profond et translucide au toucher, le 2019 révèle progressivement des notes de fruits rouges écrasés, de menthe, d'épices, de pétale de rose et de présence aromatique. Le 2019 n'a besoin que de quelques années pour s'épanouir pleinement. »
Depuis 2010, Claire Villars (également à Ferrière et La Gurgue), remet en selle Haut-Bages Libéral. Avec un terroir qualitatif (contigu à Latour), ce cru certifié bio depuis 2019 est devenu, pour un prix raisonnable, la bonne affaire de Pauillac.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 93/100 « Le Haut-Bages Libéral 2015 est l'une des meilleures sorties de ces dernières années. Il présente un élégant bouquet d'arômes raffinés de cerise noire et de fraise écrasée ; le chêne est ici très bien tricoté. La bouche est moyennement corsée avec des tannins fermes et granuleux, des couches de fruits noirs agrémentées de goudron et de tabac, et une poignée ferme mais non dominante en finale. Un bon potentiel de vieillissement. Excellent. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 94/100 « 2020 est une nouvelle étape. Il est en phase avec nos attentes et son énergie remarquable est poussée par un bel éclat de fruits rouges juteux. Un vin tendu et enrobé à la fois, à la jolie texture de finale. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le 2020 d'Armailhac a un nez plus en retrait que ses pairs, mais il s'épanouit progressivement pour révéler de merveilleux parfums de mûre, de crayon à papier et de violette, qui sont très délimités et précis. La bouche est moyennement corsée avec de succulents fruits noirs mûrs, un Pauillac assez « juteux » avec beaucoup de concentration qui masque la struture sous-jacente. Très persistant en finale avec une pointe de poivre noir en arrière-goût, c'est un autre Pauillac de longue haleine. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 93/100
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2019 dans la presse :
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 90/100 « D'Armailhac 2019 est très parfumé, assez floral au nez, des touches de menthe et de cassis l'épinglent comme un Pauillac. La bouche est moyennement corsée avec une légère amertume à l'entrée. Les tannins sont plus rugueux que ceux de ses pairs, mais équilibrés avec une finale fraîche et saline, un peu sinueuse. »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 94/100 « Ce 2019 au profil droit et gourmand déploie une jolie trame, avec de la sève et en milieu de bouche bien construit. »
J-M Quarin (mars 2022) : 93/100 « Ample à l'attaque, juteux en milieu de bouche, bien constitué, savoureux et complet, le vin s'achève long et noble, avec beaucoup de goût et un brin d'austérité positive. C'est très bon. »