Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
Nous consulter pour la Corse, les Dom-Tom, l'export hors Europe.
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 94/100 « Très ample et solaire, ce millésime 2018 impressionne par sa densité, ses notes de cerises noires et le côté voluptueux de sa finale. »
Vinous (N. Martin - mars 2021) : 92/100 « Armailhac 2018 est brillant, frais et si accueillant, tout comme il l'était en primeur. La cerise rouge sucrée, le cèdre, les épices, le tabac et l'anis ajoutent une belle complexité aromatique. Toute l'intensité de l'année est bien présente et pourtant la personnalité de l'Armailhac est également évidente. Je mettrais le 2018 en cave pendant au moins quelques années, pour permettre à la graisse de bébé de se dissiper. Il y a un peu plus d'ampleur et de richesse grâce à des rendements de seulement 32 hectolitres par hectare, au lieu des quelque 42 hectolitres habituels. Ce millésime a été marqué par le stress thermique, de petites baies et un rapport jus/peau plus faible, ainsi que par quelques parcelles touchées par le mildiou. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2018) : 93/100 « Armailhac 2016, qui a été mis en bouteille en mai 2018, présente un bouquet élégant qui se déploie dans le verre, offrant des mûres, de la bruyère et une touche de cèdre et de menthe. La bouche est moyennement corsée avec des tanins denses, agrippante en bouche et assez volumineuse, avec peut-être plus de densité sur la finale solide, presque large d'épaules, par rapport au Clerc-Milon. Ce vin répond à toutes les attentes que j'avais formulées lors de ma dégustation en barrique et est tout simplement l'un des meilleurs vins d'Armailhac jamais produits. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Le 2015 se montre aussi très avenant, charmeur, fondu, avec un joli grain de tanins. »
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 91/100 « Le 2015 d'Armailhac a un bouquet précis, parfumé de graphite, avec des fruits noirs lacés de légers arômes de pétales de rose - discret mais engageant. La bouche moyennement corsée offre des tannins assez fermes encadrant des fruits sombres et crépusculaires agrémentés d'épices brunes et de sauge. J'aimerais juste un peu plus d'éclat et de verve en fin de bouche, mais sinon, c'est très bien. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2012 dans la presse :
En Magnum (2023) : 92/100 « Nez magnifique, pur, subtil dans les notes épicées classiques de cèdre, frais et complexe, d'une étonnante palette de dégradés dans les sensations tactiles qui rapprochent le vin du caractère Lafite plus que celui de Mouton, mais c'est bien ce que le parcellaire du cru permet. Millésime méconnu et souvent remarquable à Saint-Julien et à Pauillac. »
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
L’arrivée de M. Dhalluin en 2004 a non seulement bénéficié à Mouton-Rothschild, mais aussi aux deux autres crus classés de la Baronnie : d’Armailhac et Clerc-Milon. Leurs vignes occupent la partie sud (d'Armailhac) et nord (Clerc-Milon) du plateau de graves de Mouton. D’Armailhac est à peine moins étoffé que Clerc-Milon, mais il dispense la même noblesse aromatique de cassis, tabac et cèdre mêlés.
Le millésime 2010 dans la presse :
En Magnum (2023) : 90/100 « Vin de forte constitution, viril dans sa texture et son retour de tanin encore un peu ferme et astringent, caractère pauillac marqué, sur le cèdre plus que sur le tabac blond, moins harmonieux en ce moment que le 2009, mais impressionnant et construit pour la garde. »
Vinous (N. Martin - Février 2020) : 91/100 « Le 2010 d'Armailhac a un bouquet net et bien défini de mûre, de coulis de framboise, de cèdre et d'épices brunes, assez complexe et joliment concentré. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples et une fine perle d'acidité. À dix ans d'âge, ce vin est assez savoureux, avec du poivre noir et un soupçon de soja en fin de bouche. Très bon. »
Grand-Puy-Lacoste est le plus fin des 5èmes crus classés de Pauillac, tenu avec compétence et attention par M. François-Xavier Borie et ses enfants. Les derniers millésimes montrent une précision aromatique et une noblesse de tanin encore accrues, notamment le superbe 2020.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 95/100 « Nous saluons la régularité du cru et son style très classique, sans austérité. Ce 2021 ne fait pas exception et livre un bouquet racé, avec des notes de fruits, de cèdre, de fleurs. La bouche est droite, séveuse et gourmande en finale. Une belle réussite. »
J.M Quarin (Février 2024) : 94/100
Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 93/100 « Grand Puy Lacoste 2021, élevé dans environ 70% de chêne neuf et mis en bouteille en juin 2023, est à peu près le Bordeaux le plus classique que vous trouverez dans le Bordeaux contemporain, ce qui n'est pas inattendu compte tenu du millésime et du château en question. Les fruits noirs, le cèdre et le tabac se déploient au nez, avec des copeaux de crayon qui apparaissent avec le temps - il est beaucoup plus ouvert et expressif par rapport aux millésimes récents. La bouche est moyennement corsée avec des tannins granuleux, l'un des millésimes les plus salins de ces dernières années, avec une douce construction vers la finale. Ce n'est pas un vin à couper le souffle. Ce n'est pas l'apothéose du GPL. Mais vous finirez la bouteille et voudrez probablement un autre verre. »
Grand-Puy-Lacoste est le plus fin des 5èmes crus classés de Pauillac, tenu avec compétence et attention par M. François-Xavier Borie et ses enfants. Les derniers millésimes montrent une précision aromatique et une noblesse de tanin encore accrues, notamment le superbe 2020.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 97/100 « Grand-Puy-Lacoste 2020 présente un merveilleux bouquet « frais » de fruits noirs raffinés, imprégnés de graphite, qui respire la classe. La bouche est moyennement corsée, avec un fruit noir sapide et une merveilleuse symétrie, fraîche et tendue, avec une finale persistante aux accents de tabac qui ne peut provenir que de Pauillac. Merveilleux. »
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 97/100 « Le cru est régulier à haut niveau et le 2020 est superbe : le classicisme pauillacais au meilleur sens du terme. La bouche est droite, sans fioriture, avec une grande définition et un fruit porté par des tanins exemplaires. Tout est en place pour donner naissance à une grande bouteille dans dix ans. »
Grand-Puy-Lacoste est le plus fin des 5èmes crus classés de Pauillac, tenu avec compétence et attention par M. François-Xavier Borie et ses enfants. Les derniers millésimes montrent une précision aromatique et une noblesse de tanin encore accrues, notamment le superbe 2020.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (Antonio Galloni - Mars 2021) : 96/100 « Grand Puy-Lacoste 2018 est fabuleux, tout comme il l'était dès sa sortie de barrique. De fortes inflexions de Cabernet s'envolent du verre, conférant au vin un profil aromatique convaincant, agrémenté d'essence de graphite, d'herbes séchées, de menthol et de fruits noirs. L'un des vins les plus classiques (à défaut d'un meilleur mot) de la rive gauche en 2018, le Grand Puy-Lacoste est super-impressionnant dès le départ. Le Grand Puy-Lacoste est en fin de compte un vin d'une classe extraordinaire qui reste sobre et aristocratique dans l'élevage. À ne pas manquer. »
Grand-Puy-Lacoste est le plus fin des 5èmes crus classés de Pauillac, tenu avec compétence et attention par M. François-Xavier Borie et ses enfants. Les derniers millésimes montrent une précision aromatique et une noblesse de tanin encore accrues, notamment le superbe 2020.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (Antonio Galloni - Mars 2021) : 96/100 « Grand Puy-Lacoste 2018 est fabuleux, tout comme il l'était dès sa sortie de barrique. De fortes inflexions de Cabernet s'envolent du verre, conférant au vin un profil aromatique convaincant, agrémenté d'essence de graphite, d'herbes séchées, de menthol et de fruits noirs. L'un des vins les plus classiques (à défaut d'un meilleur mot) de la rive gauche en 2018, le Grand Puy-Lacoste est super-impressionnant dès le départ. Le Grand Puy-Lacoste est en fin de compte un vin d'une classe extraordinaire qui reste sobre et aristocratique dans l'élevage. À ne pas manquer. »
Grand-Puy-Lacoste est le plus fin des 5èmes crus classés de Pauillac, tenu avec compétence et attention par M. François-Xavier Borie et ses enfants. Les derniers millésimes montrent une précision aromatique et une noblesse de tanin encore accrues, notamment le superbe 2020.
Le millésime 2017 dans la presse :
J-M Quarin (octobre 2020) : 95/100 « Caressant dès l’entrée en bouche, puis moelleux et fondant au milieu, le vin se développe très parfumé, sur un toucher glissant, vers une longue finale complexe et noble. C’est délicieux et incrachable. »
Vinous (N. Martin - février 2020) : 93/100 « Il s'agit d'un « GPL » classique. La bouche est très bien équilibrée, avec des notes de fruits noirs relevées par la saumure et un fin filet d'acidité. Il est magnifiquement concentré et sa finale est raffinée et légèrement épicée. Il faut laisser ce vin dans le verre pendant un certain temps, car il commence à s'épanouir après 5 à 10 minutes. Excellent. »
Grand-Puy-Lacoste est le plus fin des 5èmes crus classés de Pauillac, tenu avec compétence et attention par M. François-Xavier Borie et ses enfants. Les derniers millésimes montrent une précision aromatique et une noblesse de tanin encore accrues, notamment le superbe 2020.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 97/100 « Le Grand Puy-Lacoste 2016 présente un bouquet net et précis avec des arômes de mûre, de bruyère et de tabac joliment détaillés, des touches de menthe émergeant avec le temps, le tout tout étant tout à fait charmant. La bouche est moyennement corsée avec des tannins souples et une fine acidité, transmettant un sens de la symétrie tout au long et menant à une finale adroite et assez persistante. C'est un vin de grande classe qui devrait vieillir avec style. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 90/100 « Le Clerc Milon 2022 est un vin dense et puissant. Les fruits noirs, le cuir, la réglisse, les épices, le menthol et le chocolat sont au rendez-vous. Le 2022 offre une belle présence, mais il reste assez compact et rigide à ce stade. Les deux vins de Clerc Milon étaient plus impressionnants en barrique. Je soupçonne que le 2022 traverse une période de choc en bouteille. L'avenir nous le dira. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2021dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 94/100 « Une réussite dans un profil élégant et racé. La bouche est précise, ciselée, d'une très belle intensité de saveurs, et conclut par une finale ronde et suave. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Clerc Milon 2021 est encore un bel affort du château. Il offre un mélange séduisant de racine de fruit et de caractère savoureux des cabernets. Les herbes grillées, le graphite, la menthe, la lavande et le cuir ajoutent des couches de nuances. La finale longue et persistante est de toute beauté. Clerc Milon est en pleine ascension ces derniers temps. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 93/100 « Le Clerc-Milon 2019 a un bouquet relativement léger, bien qu'il se développe dans le verre, avec des fruits rouges, des herbes mélangées et du cuir. La bouche est moyennement corsée avec une ouverture souple et harmonieuse. La texture est lisse et l'acidité fine. La finale est l'une des plus sensuelles et des plus raffinées. Très bon ».
J-M Quarin (mars 2022) : 95/100 « Ensemble superbe et plus précis que jamais. »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95/100 « Construit sur une importante proportion de cabernet, ce Clerc Milon impose se très belle définition et sa bouche longiligne et sapide. Un millésime de référence pour le cru. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Clerc Milon 2018 se montre magnifiquement aujourd'hui. De magnifiques notes savoureuses du cabernet sauvignon s'ouvrent en premier, montrant l'orientation moderne de Clerc Milon vers un vin plus axé sur le cabernet. Les fleurs séchées, le menthol, la réglisse, le graphite et la cerise noire s'entremêlent sans effort. Les tannins se sont un peu assagis depuis la dégustation en primeur, ce qui est de très bon augure pour l'avenir. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « En 2018, le cru gère parfaitement la richesse du millésime. Le vin explose de fruit tout en étant affuté. Il garde un côté très énergique et tonique. »
En Magnum (avril 2021) : 95/100 « Forte couleur, corps remarquable par son côté enveloppant, lié à une texture magistrale, boisé intégré et sensible, longueur, complexité, avec en évidence une haute maturité finale du raisin. Pauillac classique et très bien construit. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Clerc Milon 2018 se montre magnifiquement aujourd'hui. De magnifiques notes savoureuses du cabernet sauvignon s'ouvrent en premier, montrant l'orientation moderne de Clerc Milon vers un vin plus axé sur le cabernet. Les fleurs séchées, le menthol, la réglisse, le graphite et la cerise noire s'entremêlent sans effort. Les tannins se sont un peu assagis depuis la dégustation en primeur, ce qui est de très bon augure pour l'avenir. »
La Revue du Vin de France (novembre 2020) : 95/100 « En 2018, le cru gère parfaitement la richesse du millésime. Le vin explose de fruit tout en étant affuté. Il garde un côté très énergique et tonique. »
En Magnum (avril 2021) : 95/100 « Forte couleur, corps remarquable par son côté enveloppant, lié à une texture magistrale, boisé intégré et sensible, longueur, complexité, avec en évidence une haute maturité finale du raisin. Pauillac classique et très bien construit. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2019) : 95/100 Coup de ♥ « Difficile de résister au charme de ce vin tout en puissance et en raffinement. Tout est en place, il exprime beaucoup de saveurs, avec des tanins au grain très fin, et surtout s'allonge longuement. »
Vinous (Neal Martin- janvier 2020) : 93/100 « Clerc-Milon 2016 présente un bouquet vif, imprégné de graphite et de fruits noirs bien définis, avec des notes de pivoine et de pétales d'iris en filigrane. La bouche classique est moyennement corsée, avec des tanins à grain fin, une acidité bien dosée et juste ce qu'il faut d'austérité vers une finale avec une pointe d'amertume. Excellent. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2019) : 95/100 Coup de ♥ « Difficile de résister au charme de ce vin tout en puissance et en raffinement. Tout est en place, il exprime beaucoup de saveurs, avec des tanins au grain très fin, et surtout s'allonge longuement. »
Vinous (Neal Martin- janvier 2020) : 93/100 « Clerc-Milon 2016 présente un bouquet vif, imprégné de graphite et de fruits noirs bien définis, avec des notes de pivoine et de pétales d'iris en filigrane. La bouche classique est moyennement corsée, avec des tanins à grain fin, une acidité bien dosée et juste ce qu'il faut d'austérité vers une finale avec une pointe d'amertume. Excellent. »
Propriété Rothschild (Mouton), avec d’Armailhac. Outre le terroir, la principale différence entre les deux crus est une proportion accrue de merlot à Clerc Milon (35% contre 20%), lui conférant une onctuosité et une richesse supplémentaires. Clerc Milon bénéficie depuis 2007 de son propre cuvier, d’un nouveau chai et d’une équipe dédiée de 21 personnes pour que Clerc Milon vienne qualitativement concurrencer Lynch-Bages et Pontet-Canet.
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Duhart-Milon 2022 est un grand vin riche. Ample et expansif en bouche, il a beaucoup à offrir. Le Cabernet Sauvignon occupe le devant de la scène avec des notes de fruits noirs, de graphite et des nuances savoureuses expressives qui s'ouvrent à l'aération. D'immenses bandes de tanins crémeux enveloppent le tout, pour aboutir à une finale substantielle et explosive. Le 2022 est un Duhart impressionnant. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Duhart-Milon 2022 est un grand vin riche. Ample et expansif en bouche, il a beaucoup à offrir. Le Cabernet Sauvignon occupe le devant de la scène avec des notes de fruits noirs, de graphite et des nuances savoureuses expressives qui s'ouvrent à l'aération. D'immenses bandes de tanins crémeux enveloppent le tout, pour aboutir à une finale substantielle et explosive. Le 2022 est un Duhart impressionnant. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2021dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « On perçoit la trame des cabernets qui lui confèrent de la droiture, une belle définition, mais son élevage est encore un peu marqué. La finale s’étire avec de l’éclat et des tanins fondus, sur des notes fumées. »
Vinous (A. Galloni - Décembre 2023) : 92/100 « Le Duhart-Milon 2021 est une très agréable surprise. Il y a très peu de merlot cette année, et cela semble se traduire par un Duhart-Milon sérieux, parfois sombre. La cerise noire, les graviers, les épices, la réglisse et le graphite se construisent magnifiquement avec le temps dans le verre. Le 2021 est magnifique. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 95/100 « Il est à la fois sérieux et délié comme il le faut, avec un côté très racé. Son équilibre très digeste est remarquable, il termine sur des tanins racés au toucher de soie, avec une pointe mentholée. »
J-M Quarin (mars 2023) : 94/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fruité, crémeux et légèrement truffé. Minutieux en entrée de bouche, raffiné au toucher, très aromatique, le vin se développe sur un port général gracieux. Il fond en finale, parfumé, long, séveux et très bon. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 92/100 « Duhart-Milon 2020 présente un bouquet élégant et bien défini, avec des arômes de fruits rouges mûrs, de crayon et de feuilles d'automne, qui gagnent progressivement en intensité dans le verre. La bouche est moyennement corsée avec des tannins plutôt secs qui rendent de l'éclat et du charme pour le moment. Malgré cela, je me contenterais de le mettre en cave pendant trois ou quatre ans, car il a du potentiel. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2020) : 94/100 « Duhart 2016 confirme ses belle dispositions, le vin est solide, intense et doté d'une très belle matière avec une finale sapide et juteuse. »
Quarin (février 2020) : 94/100 « Nez très aromatique et très médocain. Touche d’encre, sur un fond de fruits frais et mûrs. Délicieux de part en part, ce vin fond dans la bouche, avec de la classe dans le toucher et une finale au grain tannique raffiné et même parfumé. C’est long, très bon et le meilleur que je connaisse. »
Vinous (Antonio Galloni - janvier 2020) : 93/100 « Le Duhart-Milon 2016 est absolument magnifique. Je suis agréablement surpris de constater à quel point il a gagné en texture et en poids au cours de son vieillissement. Sombre, ample et magnifiquement étagé dans le verre, le 2016 est tout à fait saisissant. »
Connu pour produire un des Pauillac les plus fermes et serrés (voire robuste) qui soient, Duhart-Milon a depuis 2010 affiné son style pour se rapprocher peu à peu de celui de Lafite (même propriétaire et même équipe). Nouvelle orientation et progrès amplement confirmés, avec un charme et un gras inédits à partir du millésime 2015. Au vu de la qualité de son terroir (seul 4ème grand cru classé de Pauillac), Duhart-Milon n'a sûrement pas fini sa progression.
Comme le souligne le dernier guide Bettane & Desseauve (2025), « Que de changements ces derniers millésimes, avec un grand vin qui a retrouvé la profondeur et la dimension propre aux plus grands pauillacs » !
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - octobre 2021) : 91/100 « Duhart-Milon 2015 présente un nez similaire à la bouteille précédente avec ces senteurs de sous-bois, de thé noir et de rasage de crayon à l'avant. La bouche présente des tanins plus fins par rapport au 2005 ; elle est bien équilibrée et d'un style classique sans réserve avec une finale qui montre un peu plus de chair que le millésime précité. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 97/100 « La matière est impressionnante, dense et charnue. A ce stade, l'élevage ressort encore un peu et l'enrobe. Un vin flamboyant, dans le style du cru, au grand potentiel : il faudra l'attendre. Il s'étire très longuement sur des tanins crémeux. »
Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 93+/100 « Le Lynch-Bages 2020 présente un nez curieusement rétro, montrant des fruits noirs terreux mélangés à des feuilles de laurier et des copeaux de crayon. La bouche est moyennement corsée avec des tanins ronds et souples. Audacieux et affirmé, il présente beaucoup de concentration, bien qu'il n'ait pas la même précision en fin de bouche que ses pairs dans cette catégorie. Il s'agit là d'un autre grand vin qui entre peut-être dans une adolescence difficile. »
Les premiers grands crus classés mis à part, aucun autre cru bordelais n'est aussi mondialement célèbre que Lynch-Bages. Son succès planétaire provient autant de son style opulent, corsé et charpenté, de sa régularité sans faille depuis 1975, et de sa mise en avant médiatique orchestrée par Jean-Michel Cazes. Lynch-Bages fut le premier vin envoyé dans l'espace (navette Discovery en 1985). Il se dit même que c'est lui qui a donné le goût du Bordeaux aux américains !
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (juin 2023) : 97/100 « Nez sur une aromatique fine, notes mentholées, cacao, fruits rouges grillés, cèdre. Bouche dense, ampleur généreuse équilibrée par une fraîcheur tonique. Tanins épicés et déjà affinés. Belle allonge sur cette complexité. »
Vinous (N. Martin - juin 2021) : 96/100 « Lynch-Bages 2018 a un bouquet décadent, presque sexy, avec de luxueux fruits noirs et myrtilles, une touche de glycérine qui se développe à l'aération. La bouche est dense et puissante avec une cerise noire luxuriante, de la myrtille et beaucoup de notes vanillées. La texture est soyeuse, la finale est merveilleuse de poids et d'équilibre, mais il est clair qu'il a besoin de nombreuses années en bouteille. »
En Magnum (avril 2021) : 97/100 « Impressionnant par sa robe noire et son corps monumental qui sera à la mesure du nouveau chai. Profondeur, éclat et évidente typicité Bages avec déjà le tabac blond et le cèdre. Grand avenir en perspective. »