Catalogue

Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.

Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !

Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.

Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.

Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.

« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »

« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »

« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary

« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »

« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol

« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »

« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »

Automne-Hiver
2024-2025

  • 7159
    2022 Pauillac
    • Rouge
    254,50 € TTC la bouteille 75cl
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    Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !

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    Le millésime 2022 dans la presse :

    Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 91/100 « Le Petit-Mouton 2022 est un vin riche et puissant, presque exagérément dans ce millésime. Une explosion de cerise noire, de prune, de cuir, de clou de girofle et de réglisse tache le palais avec une résonance notable. Il y a beaucoup de vin ici, mais le 2022 aura besoin de quelques années pour se débarrasser d'une partie de sa jeunesse considérable. La finale longue et soutenue est très prometteuse. »

    J-M Quarin (février 2025) : 93/100 « Belle couleur rouge sombre. Nez intense, au fruité mûr, particulièrement fumé à l'agitation du verre. Juteux à l'attaque, suave en milieu de bouche, avec un toucher distingué, le vin monte en finale, profond, savoureux et long. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 3 à 5 ans
    Apogée :
    2029-2042
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  • 5755
    2020 Pauillac
    • Rouge
    457,00 € TTC la caisse bois de 1 magnum 150cl
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    Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !

    Le millésime 2020 dans la presse :

    Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le Petit Mouton 2020 présente un bouquet séduisant avec un mélange de fruits rouges et noirs, de cèdre et de mine de crayon, qui semble gagner en précision dans le verre - un style très classique. La bouche est moyennement corsée avec un doux noyau de cassis et de mûre, très composée et très pure. La finale à la texture de cachemire s'épanouit glorieusement. Il s'agit d'un excellent pauillac pour une longue garde (écrit avant que son identité ne soit révélée). »

    Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 94/100

    À boire ou à garder :
    Attendre 5 à 10 ans
    Apogée :
    2030-2044
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  • 6469
    2018 Pauillac
    • Rouge
    240,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !

    Le millésime 2018 dans la presse :

    Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Tel qu'il était en barrique, le Petit-Mouton 2018 est charnu, rayonnant et très facile à déguster. Des contours souples et des tanins soyeux ajoutent à son allure considérable. En raison des faibles rendements, le Petit-Mouton a été entièrement élevé en chêne neuf. Riche, somptueux et audacieux à souhait, le 2018 est un vin de rock star. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 1 à 2 ans
    Apogée :
    2027-2042
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  • 6470
    2017 Pauillac
    • Rouge
    218,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Apparu en 1993, le second vin de Mouton-Rothschild a depuis fait sa place parmi ses pairs (Carruades de Lafite, Forts de Latour, Pavillon Rouge) en proposant à chaque millésime un grand Pauillac, plein, charnu, musclé, à peine moins profond et corsé que son illustre grand frère mais avec la même finale cassis. Petit Mouton est devenu grand !

    Le millésime 2017 dans la presse :

    Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 92+/100 « Le Petit-Mouton 2017 est doté d'une richesse et d'une intensité formidables. Profond, ample et structuré, il déborde de fruits rouges et violacés d'encre, de grenade, d'épices, de cuir, d'orange sanguine, de poivre blanc et de fleurs sauvages. Le 2017, puissant et cossu, regorge d'une énergie explosive qui ne demande qu'à être libérée. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2025-2038
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  • 6032
    2019 Pauillac
    • Rouge
    232,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Second vin de Lafite-Rothschild.

    À boire ou à garder :
    Attendre 10 ans et plus
    Apogée :
    2035-2060
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  • 7912
    2019 Pauillac
    • Rouge
    563,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».

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    Le millésime 2019 dans la presse :

    J-M Quarin (septembre 2023) : 97/100 « Couleur sombre, pourpre et jeune. Nez très aromatique, fin, fruité, frais et mûr à la fois. Fumé à l'agitation du verre. Minutieux en entrée de bouche, particulièrement savoureux au milieu, avec de la grâce dans le toucher et un corps qui fond délicatement, le vin évolue sur une puissance modérée, vers une grande finale qui laisse place à l'arôme. Extraction tannique particulièrement harmonieuse. Aucune austérité pour le millésime. »

    Vinous (A. Galloni - février 2022) : 99/100 « Le Mouton Rothschild 2019 s'est magnifiquement assemblé depuis que je l'ai dégusté en barrique ; aujourd'hui, c'est sans conteste l'un des vins du millésime. Puissant et statuaire dans sa beauté. Mouton est remarquable à tous points de vue. Les couches de fruits aux tons sombres lui confèrent un sérieux et une intensité qui se développent avec le temps. Toute la finesse que j'ai vue en barrique est encore présente. Depuis, le 2019 a gagné en chair et en vivacité. Magnifique. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 5 à 10 ans
    Apogée :
    2030-2045
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  • 7913
    2016 Pauillac
    • Rouge
    762,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».

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    Le millésime 2016 dans la presse :

    J-M Quarin (octobre 2021) : 100/100 « Couleur sombre, intense et profonde. Nez très aromatique, fin, fruité, complexe et crémeux. Ample à l'attaque, velouté et charnu en milieu de bouche, puis riche, puissant et néanmoins fondant, ce vin multiplie tous les registres gustatifs. Il s'étire en finale complexe, savoureux, sur un toucher noble, avec beaucoup de goût et une immense longueur. Et même après l'avoir cracher, il se passe quelque chose de suave et délicieux. Quelle merveille de dire tant de choses avec un degré d'alcool aussi modéré ! »

    Vinous (A. Galloni - janvier 2019) : 100/100 « Vin imposant et palpitant, le Mouton Rothschild 2016 est incroyablement beau aujourd'hui.   Les arômes, la densité du fruit et la structure verticale sont tous réunis. Dans le verre, le 2016 est remarquablement vif et puissant, et pourtant un côté plus doux et plus féminin émerge avec le temps dans le verre. Le profil intense, minéral et savoureux rappelle le 1986, mais le 2016 a plus de grâce, de douceur intérieure et de sophistication que ce vin. Malgré cela, le 2016 aura besoin d'au moins quelques années en bouteille avant de commencer à bien se boire, même s'il ne sera pas aussi violent que le 1986 l'est encore aujourd'hui. C'est un vin époustouflant de la part de Mouton, du directeur technique Philippe Dhalluin et de son équipe. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 5 à 10 ans
    Apogée :
    2030-2045
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  • 5301
    2015 Pauillac
    • Rouge
    650,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».

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    Le millésime 2015 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 95/100 « Le Mouton-Rothschild 2015 a plus d'intensité fruitée au nez que le Château Margaux 2015 et aussi plus de fruits rouges que de fruits noirs : les senteurs de framboise et de fraise des bois sont plus expressives que celles de mûre et de biaire. Le chêne est bien intégré ici, même si j'aurais souhaité un peu plus de délimitation. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples et des fruits rouges et noirs vivaces, mais c'est la texture soyeuse qui vous séduit vraiment. Il n'y a pas un seul cheveu qui dépasse sur la finale. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 5 à 10 ans
    Apogée :
    2030-2045
    Alcool potentiel :
    13.5%
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  • 5300
    2011 Pauillac
    • Rouge
    572,50 € TTC la bouteille 75cl
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    Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».

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    Le millésime 2011 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - septembre 2021) : 92/100 « Mouton-Rothschild 2011 est étonnamment réduit au nez et a eu besoin de beaucoup d'encouragement. Le cuir, le moka, la réglisse se développent dans le verre, assez bretté par rapport à ses pairs. La bouche est moyennement corsée, charnue et mûre, ce moka se traduisant par le nez, mentholé avec des touches de poivre blanc en finale. Un Pauillac très correct, un effort solide plutôt que spectaculaire de la part de Mouton cette année. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 3 à 5 ans
    Apogée :
    2028-2042
    Alcool potentiel :
    13.5%
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  • 4378
    2010 Pauillac
    • Rouge
    895,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».

    À boire ou à garder :
    Attendre 3 à 5 ans
    Apogée :
    2028-2050
    Alcool potentiel :
    13.5%
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  • 4381
    2007 Pauillac
    • Rouge
    620,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».

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    Le millésime 2007 dans la presse :

    Vinous (A. Galloni - janvier 2016) : 94/100 « Le Mouton-Rothschild 2007 est un vin magnifique, surtout dans le contexte du millésime. Des arômes ouverts et expressifs ainsi qu'un fruité affirmé font du 2007 un excellent choix à boire dès maintenant et au cours des deux prochaines décennies environ. Bien que le 2007 ne soit pas un Mouton épique, c'est sans aucun doute l'un des meilleurs millésimes récents à boire actuellement. La fumée, le tabac, le cèdre et la réglisse apportent les dernières nuances. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2019-2032
    Alcool potentiel :
    13%
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  • 2648
    2006 Pauillac
    • Rouge
    645,50 € TTC la bouteille 75cl
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    Le surclassement de Mouton-Rothschild en 1973 de second à premier grand cru classé était aussi légitime que mérité eu égard à la qualité de son terroir, un plateau de 90 ha de graves profondes au nord de Pauillac, avec Lafite-Rothschild comme voisin. Malgré cette promotion et même s'il caracole régulièrement en tête dans les dégustations, Mouton-Rothschild reste jusqu'à présent le moins cher des premiers crus classés du Médoc. Son style puissant et corsé ainsi que son aptitude au long vieillissement ont fait écrire à M. Bettane « peut-être le vin le plus formellement parfait du Médoc ? ».

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    Le millésime 2006 dans la presse :

    Vinous (A. Galloni - janvier 2016) : 92/100 « Mouton-Rothschild 2006 est sombre, puissant et intense, avec des tannins fermes qui ont besoin de temps pour s'adoucir. C'est un Mouton particulièrement sombre, sombre, avec des notes de fruits noirs, de fumée, de menthol, de gravier et de charcuterie. De légères notes végétales soutiennent le fruit. Je ne suis pas sûr que le 2006 ait suffisamment de fraîcheur pour être un vin de longue garde ou qu'il ait la profondeur de fruit nécessaire pour résister aux tannins. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2020-2036
    Alcool potentiel :
    13%
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  • 5869
    2020 Pauillac
    • Rouge
    664,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les  incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.

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    Le millésime 2020 dans la presse :

    Hachette (Guide 2024) : Coup de ♥ « D'une profondeur admirable, un Lafite sur l'élégance plutôt que sur la puissance. »

    La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 100/100 « Spectaculaire et tutoie la perfection. il se montre d’une distinction et d’une élégance absolues. Le sommet de l’aristocratie du cabernet qui tombe en bouche tel un costume sur mesure. L’alliance de la puissance et de l’élégance. »

    Bettane et Desseauve (Guide 2024) : 98/100

    Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 98/100 « Lafite-Rothschild 2020, qui contient la plus forte proportion de merlot depuis le 2016, a fait mouche dès la barrique. En revisitant le vin en bouteille depuis juillet, il éclate toujours dans le verre avec de copieuses mûres, des touches de myrtille et de genièvre, une mine de crayon de pierre concassée. Merveilleuse délimitation. La bouche est moyennement corsée avec des tanins finement ciselés, très linéaire et « correcte » - l'aquintessentiel de Lafite-Rothschild à bien des égards. Il se développe doucement en bouche tout en gardant une certaine retenue, et se termine par une sapidité fine, mais un peu plus juteuse que ce que l'on aurait pu trouver dix ou vingt ans plus tôt. Ce vin a le potentiel d'évoluer magnifiquement pendant plusieurs décennies. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 10 ans et plus
    Apogée :
    2035-2060
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  • 509
    2008 Pauillac
    • Rouge
    881,00 € TTC la bouteille 75cl
    Épuisé
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    Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les  incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.

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    Le millésime 2008 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - mars 2018) : 94/100 « Lafite-Rothschild 2008 a fait une drôle de prestation lors de la précédente horizontale, quelques semaines plus tôt. Cette bouteille est bien meilleure. Elle a une couleur profonde avec peu de vieillissement sur le bord. Au nez, il y a beaucoup de fruits, de la mûre et de la myrtille avec des notes de mine de crayon et de sauge, mais dans l'ensemble il y a juste plus d'intensité que la bouteille précédente. La bouche est bien équilibrée avec des tanins à grain fin et une bonne densité, une facette qui fait parfois défaut à Lafite-Rothschild. En fin de bouche, on retrouve une touche de sucre brun et de sauge qui, heureusement, ne s'atténue pas comme dans le cas de la bouteille précédente. Ce vin est beaucoup plus représentatif et, bien qu'il ne soit pas le meilleur premier cru du millésime, il fait preuve de plus de sophistication et de classe, même s'il n'égale pas les résultats plus spectaculaires qu'il a obtenus juste après la mise en bouteille. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2020-2035
    Alcool potentiel :
    12.5%
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  • 508
    2007 Pauillac
    • Rouge
    692,50 € TTC la bouteille 75cl
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    Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les  incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.

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    Le millésime 2007 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - mars 2018) : 93/100 « Lafite-Rothschild 2007 est une belle performance dans ce qui a été une saison de croissance difficile. À 11 ans d'âge, le 2007 commence à bien se boire avec des arômes de mûre, de briary, de graphite et de fumée au nez, peut-être encore cette vieille touche de buerau antique. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins à grains fins et du tabac, bien équilibrée mais typiquement discrète en finale. Le 2007 n'est certainement pas le plus grand Lafite-Rothschild, mais il devrait offrir 15 à 20 ans de plaisir à boire. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2014-2028
    Alcool potentiel :
    12.5%
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  • 507
    1999 Pauillac
    • Rouge
    707,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Nommé maître de chai en 1994, M. Chevallier s'est attaché à étoffer les vins de Lafite-Rothschild sans rien perdre du bouquet si caractéristique de cassis, de graphite et de cèdre. Objectif rapidement atteint, plaçant Lafite en tête des 1ers crus classés (c'était déjà le cas en 1855), et vénéré comme tel par le marché chinois. Les  incroyables qualités du terroir de Lafite en font un cru à part et donnent au cabernet sauvignon (présent chaque année à plus de 90%) ses plus belles expressions aromatiques.

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    Le millésime 1999 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - septembre 2019) : 92/100 « Personnellement, j'ai aimé ce premier cru depuis que je l'ai goûté pour la première fois en barrique. Maintenant âgé de 20 ans, il commence à montrer un peu de brique sur le bord. Le bouquet est net et détaillé, avec du cassis, de la framboise, du goudron fondu et du cèdre qui se développent dans le verre (mais moins de quatre-épices que j'ai observé dans les bouteilles précédentes). La bouche est moyennement corsée et peut-être plus compacte que prévu, peut-être parce qu'il s'agit d'une bouteille sortie de cave. Bien qu'il ne s'agisse pas d'un Lafite-Rothschild concentré, il est très harmonieux et élégant, avec une touche subtile de poivre en fin de bouche et un soupçon d'écorce d'orange séchée en arrière-goût. Un vrai régal. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2010-2024
    Alcool potentiel :
    12.5%
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  • 5096
    2019 Saint-Estèphe
    • Rouge
    • Vin bio certifié
    23,50 € TTC la bouteille 75cl
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    Très rares sont les crus du nord du Médoc à s'être pour l'instant lancés dans la conversion bio en raison d'une hygrométrie plus forte que partout ailleurs en Gironde. De Côme, petit cru bourgeois (supérieur) de 7 ha, est devenu après 7 ans d'efforts (et la perte des 2/3 de la récolte 2018) le premier cru de Saint-Estèphe certifié bio, dans une version souple, fine et soyeuse de l'appellation.

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2023-2032
    Certification bio :
    2018
    En savoir plus
  • 4238
    2018 Saint-Estèphe
    • Rouge
    • Vin bio certifié
    24,00 € TTC la bouteille 75cl
    En savoir plus

    Très rares sont les crus du nord du Médoc à s'être pour l'instant lancés dans la conversion bio en raison d'une hygrométrie plus forte que partout ailleurs en Gironde. De Côme, petit cru bourgeois (supérieur) de 7 ha, est devenu après 7 ans d'efforts (et la perte des 2/3 de la récolte 2018) le premier cru de Saint-Estèphe certifié bio, dans une version souple, fine et soyeuse de l'appellation.

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2023-2035
    Alcool potentiel :
    13.5%
    Certification bio :
    2018
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  • 2435
    2014 Saint-Estèphe
    • Rouge
    23,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Après 15 ans d’errance, Lilian-Ladouys a été racheté en 2008 par M. Lorenzetti. Comme à Pédesclaux, des investissements hors du commun portent leurs fruits : Lilian-Ladouys fait à nouveau partie des plus beaux crus bourgeois de Saint-Estèphe.

    Et même du Médoc, en gagnant la Coupe des crus bourgeois avec son 2012, ou en étant noté 90/100 par M. Galloni (Vinous) pour son 2014.

    Voir la fiche technique

    Le millésime 2014 dans la presse :

    Vinous (A. Galloni - février 2017) : 90/100 « Lilian Ladouys 2014 est doux, dodu et incroyablement séduisant. Des notes éclatantes de cerise rouge, de framboise, de pétale de rose, de menthe et d'épices douces sont toutes poussées vers l'avant. C'est une bouteille de vin absolument délicieuse et joyeuse à déguster pour son fruit primaire et son caractère racé. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2020-2032
    Alcool potentiel :
    13.5%
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  • 2436
    2012 Saint-Estèphe
    • Rouge
    22,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Après 15 ans d’errance, Lilian-Ladouys a été racheté en 2008 par M. Lorenzetti. Comme à Pédesclaux, des investissements hors du commun portent leurs fruits : Lilian-Ladouys fait à nouveau partie des plus beaux crus bourgeois de Saint-Estèphe.

    Et même du Médoc, en gagnant la Coupe des crus bourgeois avec son 2012, ou en étant noté 90/100 par M. Galloni (Vinous) pour son 2014.

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2017-2026
    Alcool potentiel :
    13%
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  • 6472
    2019 Saint-Estèphe
    • Rouge
    • Vin en démarche bio
    26,50 € TTC la bouteille 75cl
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    Cru historique de Saint-Estèphe (deuxième vignoble le plus ancien de l’appellation), Tronquoy est idéalement situé sur la fameuse « Terrasse 3 », aux graves argileuses profondes (jusqu’à 8m). Les 30 hectares du vignoble ont été rachetés par MM. Bouygues peu après Montrose, et sont aujourd’hui conduits avec le même soin et la même volonté d’incarner le renouveau de Bordeaux : cuvier moderne, conversion à la viticulture biologique, recherche de fraîcheur et d’éclat dans les vins…

    Encore trop peu connu, Tronquoy est actuellement la pépite en mutation de Saint-Estèphe, proposant tout à la fois des vins accessibles dans leur jeunesse (excellent 2019, noté 93/100 par M. Quarin) et disposant d’un très bon potentiel de garde (2012 aujourd'hui à son apogée, avec une texture crémeuse qui le rend gourmand).

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    Le millésime 2019 dans la presse :

    La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Le millésime 2019 se déguste aujourd'hui fort bien, avec un noble début d'évolution au nez, des notes de tabac, de cèdre et de poivre. La bouche, fondue, bien en place, est étirée par des tanins souples. »

    Vinous (N. Martin - Janvier 2023) : 92/100 « Le Tronquoy-Lalande 2019 a un nez concentré avec des fruits noirs assez intenses, des touches de mûre de Boysen, un peu plus riche que certains de ses pairs. La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière dense, puissante, presque bourrue, très saline en bouche, mais je recherche plus de précision et de finesse en finale. Cela pourrait bien se développer avec le temps. Dégusté à l'aveugle lors de la dégustation annuelle de Southwold.» 

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2024-2035
    Certification bio :
    2024
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  • 522
    2012 Saint-Estèphe
    • Rouge
    24,50 € TTC la bouteille 75cl
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    Cru historique de Saint-Estèphe (deuxième vignoble le plus ancien de l’appellation), Tronquoy-Lalande est idéalement situé sur la fameuse « Terrasse 3 », aux graves argileuses profondes (jusqu’à 8m). Les 30 hectares du vignoble ont été rachetés par MM. Bouygues peu après Montrose, et sont aujourd’hui conduits avec le même soin et la même volonté d’incarner le renouveau de Bordeaux : cuvier moderne, conversion à la viticulture biologique, recherche de fraîcheur et d’éclat dans les vins…

    Encore trop peu connu, Tronquoy-Lalande est actuellement la pépite en mutation de Saint-Estèphe, proposant tout à la fois des vins accessibles dans leur jeunesse (excellent 2019, noté 93/100 par M. Quarin) et disposant d’un très bon potentiel de garde (2012 aujourd'hui à son apogée, avec une texture crémeuse qui le rend gourmand).

    Le Ch. Tronquoy-Lalande est renommé Tronquoy (tout court) à compter du millésime 2019.

    Le millésime 2012 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - Février 2022) : 90/100 « Tronquoy-Lalande 2012 a un bouquet légèrement plus charnu et teinté de sang séché avec des senteurs de goudron fondu qui apparaissent avec le temps et, plus tard, une touche lointaine de menthe. La bouche est moyennement corsée avec des tannins plutôt rustiques. Un Saint-Estèphe audacieux qui manque un peu de grâce, ferreux et excessivement épicé en fin de bouche. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2016-2026
    Alcool potentiel :
    13.5%
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  • 7160
    2022 Saint-Estèphe
    • Rouge
    30,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !

    Voir la fiche technique

    Le millésime 2022 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - janvier 2025) : 93/100 « L'Ormes de Pez 2022, élevé en chêne neuf à 45%, présente un bouquet très parfumé et pur avec des senteurs de cerise noire, de framboise, de cèdre et d'iode. Peut-être a-t-il besoin d'un peu plus de caractère de Saint-Estèphe pour s'exprimer ? La bouche est moyennement corsée et bien équilibrée, avec des tannins granuleux et un noyau de fruits noirs mélangés à du poivre noir concassé et une pincée de sel marin. La sapidité est agréable et une touche de graphite persiste en fin de bouche dans le style Pauillac. Ce vin est d'une grande finesse. »

    J-M Quarin (février 2025) : 93/100 « Beau rouge sombre. Nez intense, au fruité mûr. La bouche fascine pour son caractère juteux à souhait, son corps ample au milieu, sa finale longue et savoureuse à la tannicité grasse. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 3 à 5 ans
    Apogée :
    2028-2040
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  • 6698
    2021 Saint-Estèphe
    • Rouge
    23,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !

    Le millésime 2021 dans la presse :

    La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « C’est un vin très gourmand et délicieusement fruité, doté d'un charme indéniable. »

    Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 91/100 « Ormes de Pez 2021 est assez frappant au nez, plus saumuré que ce dont je me souviens de la barrique, avec des notes de mûre et de mûre de Boysen et une touche de balsamique. La bouche est moyennement corsée avec des tannins granuleux, encore une fois très saline en bouche et légèrement granuleuse en texture, avec de la tapenade d'olives noires vers la finale. Assez fougueux pour l'instant, il faut lui donner trois ou quatre ans de bouteille. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 1 à 2 ans
    Apogée :
    2027-2036
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  • 5916
    2020 Saint-Estèphe
    • Rouge
    26,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !

    Le millésime 2020 dans la presse :

    La Revue du Vin de France (Septembre 2023) : 94/100 « Toujours d'admirable facture, le vin est particulièrement bon en 2020 avec un éclat vraiment superbe et une admirable définition du fruit. Élégant, mais aussi intense et doté de tanins élégants, il est déjà irrésistible. »

    Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 92/100 « Ormes de Pez 2020 a un nez plus ouvert que ses pairs, plus orienté vers les fruits rouges, avec des notes de pot-pourri et de romarin qui lui donnent de la complexité. La bouche est moyennement corsée avec des tannins saturés. La finale est assez longue. Il devra être conservé au cellier pendant plusieurs années avant de pouvoir être bu. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 1 à 2 ans
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  • 7280
    2010 Saint-Estèphe
    • Rouge
    43,00 € TTC la bouteille 75cl
    Épuisé
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    Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !

    Le millésime 2010 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - Février 2020) : 91/100 « Les Ormes de Pez 2010 a un bouquet mûr et fruité avec des tonnes de fraises sauvages et des notes de sous-bois, bien défini mais pas aussi complexe que ses pairs. La bouche est moyennement corsée avec des tannins au grain fin. Une bonne acidité, bien proportionnée, avec une touche d'épices en fin de bouche, en fait l'un des vins les plus accessibles de Saint-Estèphe. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2024-2036
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  • 5228
    2009 Saint-Estèphe
    • Rouge
    21,00 € TTC la demi-bouteille 37.5cl
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    Sur le terroir de Pez, connu pour être le meilleur de St-Estèphe (hors crus classés), la famille Cazes utilise ici les mêmes recettes que celles qui ont fait le succès de Lynch-Bages : générosité de fruit et opulence de la texture. Ormes de Pez est un 'presque' Lynch-Bages mais au quart du prix !

    Le millésime 2009 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - février 2019) : 91/100 « Le 2009 Les Ormes de Pez a un nez étrange au premier abord, un peu distant et manquant de l'intensité fruitée de ses pairs. Il y a ici une légère poussière qui se traduit en bouche. Bonne concentration du fruit et bonne tenue, juste une touche de verdure sur les bords avec un soupçon d'épices bienvenu en fin de bouche. Tout à fait agréable, même s'il manque un peu de finesse. »

    À boire ou à garder :
    Prêt à boire
    Apogée :
    2015-2025
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  • 6473
    2021 Saint-Estèphe
    • Rouge
    • Vin en démarche bio
    23,00 € TTC la bouteille 75cl
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    Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.

    Le millésime 2021dans la presse :

    La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Un vin dense, encore un peu sous l'emprise de son bois, mais avec du potentiel. Prieur, beaucoup plus souple, peut être bu dès maintenant. »

    Vinous (N.Martin - novembre 2023) : 92/100 « Meyney 2021, qui est en pleine forme ces derniers temps, présente un joli bouquet avec des senteurs vives de baies rouges, de pierre broyée et d'écorce d'orange, qui sont concentrées et vivantes. La bouche est moyennement corsée avec une ouverture structurée (comme on peut s'y attendre), plus de concentration de fruits que ses pairs et une finale teintée de truffe. Ce vin sera d'une belle tenue au cours des 15 à 20 prochaines années. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 1 à 2 ans
    Apogée :
    2026-2036
    Certification bio :
    2024
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  • 5756
    2020 Saint-Estèphe
    • Rouge
    27,50 € TTC la bouteille 75cl
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    Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.

    Le millésime 2020 dans la presse :

    La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 95/100 « Le vin est solidement constitué mais aussi très racé, et trouve son équilibre. Il possède beaucoup de fond et une superbe définition de tanins qui s'harmonisent en finale. »

    Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 93/100 « Meyney 2020 présente un bouquet vif, concentré et détaillé, avec des senteurs précises de mûre, de myrtille et de cèdre qui rappellent presque le style Pauillac. La bouche est moyennement corsée avec une concentration impressionnante à l'entrée, des couches de fruits noirs teintés de réglisse et une finale poivrée qui veut se faire remarquer ; mais elle est juste un peu molle. Il lui faudra cinq ou six ans en bouteille pour arrondir ses angles. »

    J-M Quarin (juin 2023) : 92/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fruité, crémeux et légèrement truffé. Minutieux en entrée de bouche, raffiné au toucher, très aromatique, le vin se développe sur un port général gracieux. Il fond en finale, parfumé, long, séveux et très bon. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 3 à 5 ans
    Apogée :
    2028-2042
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  • 5095
    2019 Saint-Estèphe
    • Rouge
    27,50 € TTC la bouteille 75cl
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    Sur une magnifique croupe de graves qui n’a rien à envier à celle de son voisin Montrose, Meyney (propriété Crédit Agricole) est à chaque millésime un sérieux candidat au titre de meilleur cru bourgeois du Médoc. Long, complexe, raffiné, tanins racés : un grand Médoc taillé pour une longue garde. Conseillé par M. De Boüard (Angélus) à partir du millésime 2014.

    Le millésime 2019 dans la presse :

    Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 95/100 « Le Meyney 2019 possède un bouquet divin, si pur et si vineux avec des senteurs florales de baies rouges, un chêne neuf magnifiquement intégré et une superbe précision. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, charnue au point que l'on peut presque oublier la colonne vertébrale de ce Saint-Estèphe.   Il aurait pu être plus puissant, mais il conserve un superbe équilibre et se montre luxuriant et long en fin de bouche.   Il s'agit d'un vin exceptionnel qui éclipse facilement ses performances en barrique ou juste après la mise en bouteille. »

    La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 95/100 « Le cru dispose d'un terroir fantastique, digne d'un cru classé. Ceci explique d'ailleurs qu'il jouisse d'une admirable réputation, méritée au regard des nombreux grands vins qui ont été produits ici. On peut encore trouver quelques vieux millésimes très en forme ( comme les admirables 1986 ou 1989). Le château n'élabore toutefois pas des vins pour les amateur pressés, à l'image des 2019 ou 2018 ; une décennie en cave est indispensable pour en profiter pleinement. »

    J-M Quarin (mars 2022) : 91/100 « Nez très aromatique, fin, fruité, pur et subtil. Caressant à l'attaque, très fruité en milieu de bouche et plutôt parfumé pour un Saint-Estèphe, le vin offre une trame tannique distinguée dans la persistance. »

    À boire ou à garder :
    Attendre 1 à 2 ans
    Apogée :
    2026-2038
    En savoir plus