Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
Voisin immédiat de Pavie, Larcis-Ducasse a été logiquement promu 1er grand cru classé en 2012 compte tenu de son exposition plein coteau plein sud et du brillant travail du tandem Thienpont-Derenoncourt.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2019) : 95/100 « Larcis-Ducasse 2015 [...] est sourcilleux et introverti, peut-être fermé pour le moment. La bouche est moyennement corsée avec des tanins accrocheurs, assez masculine et stricte. On a l'impression qu'il y a beaucoup de cabernet franc ici (bien qu'il n'y en ait que 13 % dans l'assemblage). Pourtant, la fraîcheur est au rendez-vous, le style est assez classique et la finale est longue et précise. Excellent, mais pas aussi immédiat que ses pairs. »
Rocheyron est le fruit du partenariat, amical et professionnel, entre Sylvio Denz (Faugères et Lafaurie-Peyraguey) et Peter Sisseck (Pingus). Depuis 2010, ils (s’)investissent dans ce petit cru de 8 hectares, intégralement situé sur le plateau de calcaire à astéries caractéristique de Saint-Émilion : travail du sol, conversion en agriculture biologique (certifié en 2020), vinifications douces à basses températures... Rocheyron est en constante progression, et offre chaque année des vins à la douceur tannique inégalable.
Rocheyron est le fruit du partenariat, amical et professionnel, entre Sylvio Denz (Faugères et Lafaurie-Peyraguey) et Peter Sisseck (Pingus). Depuis 2010, ils (s’)investissent dans ce petit cru de 8 hectares, intégralement situé sur le plateau de calcaire à astéries caractéristique de Saint-Émilion : travail du sol, conversion en agriculture biologique (certifié en 2020), vinifications douces à basses températures... Rocheyron est en constante progression, et offre chaque année des vins à la douceur tannique inégalable.
Rocheyron est le fruit du partenariat, amical et professionnel, entre Sylvio Denz (Faugères et Lafaurie-Peyraguey) et Peter Sisseck (Pingus). Depuis 2010, ils (s’)investissent dans ce petit cru de 8 hectares, intégralement situé sur le plateau de calcaire à astéries caractéristique de Saint-Émilion : travail du sol, conversion en agriculture biologique (certifié en 2020), vinifications douces à basses températures... Rocheyron est en constante progression, et offre chaque année des vins à la douceur tannique inégalable.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2021) : 94/100 « Rocheyron 2019 présente un bouquet époustouflant de fruits rouges et de pétales de rose, avec des notes de terreau fraîchement labouré qui se révèlent avec le temps. La bouche est moyennement corsée, parfaitement équilibrée, équilibrée et harmonieuse, avec un chêne parfaitement intégré, le cabernet franc apportant de la fraîcheur et un soupçon de poivron en finale. Un vin superbe. »
Propriété de M. de Neipperg (Clos de l’Oratoire, La Mondotte, d’Aiguilhe), au pied du coteau d'Ausone.
Le millésime 2022 dans la presse :
J-M Quarin (février 2025) : 94/100 « Couleur rouge sombre, intense et pourpre. Nez moyennement aromatique, fruité et truffé. Charnu à l'attaque, charnu en milieu de bouche, le vin fond sur le palais, juteux et plus uni que jamais dans son déroulé. Voilà qui lui donne une belle allure. Bonne longueur sans angle tannique. »
Vinous (N. Martin - février 2025 ) : 94/100 « Le Canon La Gaffelière 2022, de l'écurie Von Neipperg, a eu besoin de temps pour s'ouvrir dans le verre. D'abord discret, il offre des arômes de fruits rouges, de sous-bois et de calcaire qui gagnent en cohésion à l'aération. La bouche est fraîche et vibrante, avec des tanins crayeux et une acidité argentée. Il est tendu et linéaire, mais avec une grande quantité de fruits rouges acidulés qui animent la finale. Ce Canon La Gaffelière de style classique et légèrement poivré devrait vieillir en bouteille. Il est excellent. »
Propriété de M. de Neipperg (Clos de l’Oratoire, La Mondotte, d’Aiguilhe), au pied du coteau d'Ausone.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95/100 « Le charme discret de ce vin aux tanins crémeux est enthousiasmant. Le cru se révèle au mieux de sa forme dans les années sèches et chaudes grâce à la composition de ses argiles. L'exposition sud se ressent dans la profondeur du vin. Son fruit noir très prononcé présente une chair densifiée par un tanin qui reste frais grâce aux massales de cabernet franc. Encore sous l'emprise du bois, sa matière, riche et enrobée à la trame élégante, est parfumée d'une pointe fumée. »
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 93/100 « Canon-La-Gaffelière 2019 est assez percutant et gras au nez. La mûre et la framboise, le cèdre et la menthe émergent avec le temps. La bouche est moyennement corsée avec des tanins arrondis, assez pelucheux mais cohérents, se déployant vers la finale veloutée avec un pinceau de poivre blanc en fin de bouche. L'un des vins de Saint-Emilion les plus accessibles de ce millésime ».
Grand vin ultra raffiné, avec une tension minérale hors du commun à Bordeaux, fruit du grandissime terroir de la Côte Pavie mais aussi de la complicité du duo formé par MM. Nicolas Thienpont et Stéphane Derenoncourt depuis 1994.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 97/100 « Le Pavie Macquin 2022 est exceptionnel, comme il l'était en primeur. Des fruits bleus d'encre et violacés, de la réglisse, du cuir neuf, des épices et de la prune traversent ce puissant Saint-Émilion. Soyeux dans le verre, il présente des tanins somptueux et sans faille ainsi qu'un bel équilibre. Comme toujours, le Pavie Macquin est très sexy - l'un des vins les plus sensuels et hédonistes du millésime. »
J-M Quarin (février 2025) : 96/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez très aromatique, au fruité mûr et subtil. Délicat en entrée de bouche, parfumé au milieu, avec un toucher gracieux malgré sa forte énergie, le vin glisse dans le palais et va loin dans la persistance. C'est très bon. »
Grand vin ultra raffiné, avec une tension minérale hors du commun à Bordeaux, fruit du grandissime terroir de la Côte Pavie mais aussi de la complicité du duo formé par MM. Nicolas Thienpont et Stéphane Derenoncourt depuis 1994.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « Bien moins dense qu’en 2020, il se dévoile avec vigueur et une tension franche en bouche. L’élevage reste mesuré, distingué. Ce millésime de fraîcheur se livrera dans les prochaines années. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94+/100 « Pavie Macquin 2021 est profond, gras et pulpeux, mais dans le style plus petit de l'année. C'est un Grand Vin intensément aromatique et savoureux qui met l'accent sur la finesse plus que sur la puissance. J'admire surtout son élégance discrète. L'acidité vive traverse un noyau de cerises noires, de moka, d'épices, de cuir neuf et de réglisse. Ce saint-émilion harmonieux et magnifiquement équilibré capture l'essence du millésime avec style. Dégusté deux fois. ».
Grand vin ultra raffiné, avec une tension minérale hors du commun à Bordeaux, fruit du grandissime terroir de la Côte Pavie mais aussi de la complicité du duo formé par MM. Nicolas Thienpont et Stéphane Derenoncourt depuis 1994.
Le millésime 2015 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 96+/100 « Le Pavie-Macquin 2015 est étonnamment réticent. Au début, je pensais que le 2015 serait facile à approcher jeune, mais cette dégustation m'a fait reconsidérer cela. Hédonistiquement mûr et explosif, avec une énorme pureté de fruit, le 2015 possède une profondeur incroyable ainsi que la structure qui va avec. »
Grand vin ultra raffiné, avec une tension minérale hors du commun à Bordeaux, fruit du grandissime terroir de la Côte Pavie mais aussi de la complicité du duo formé par MM. Nicolas Thienpont et Stéphane Derenoncourt depuis 1994.
La millésime 2014 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 92/100 « Pavie-Macquin 2014 est plus jeune que le Duffau Lagarosse comparé côte à côte, avec des fruits de cerise noire et de cèdre exacerbés et des touches de camphre et de pin. La délimitation est modeste. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins granuleux, une profondeur modeste, des saveurs de fruits rouges, d'écorce d'orange et une touche d'épices marocaines. Peut-être un peu plus mûr que prévu, je le laisserais personnellement vieillir au cours de la prochaine décennie. C'est l'un des rares Saint-Émilion qui vous invite à en redemander. »
Grand vin ultra raffiné, avec une tension minérale hors du commun à Bordeaux, fruit du grandissime terroir de la Côte Pavie mais aussi de la complicité du duo formé par MM. Nicolas Thienpont et Stéphane Derenoncourt depuis 1994.
Le millésime 2012 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 95/100 « Le Pavie-Macquin 2012 montre à quel point les meilleurs vins de ce millésime sont séduisants. Brillant, floral et racé, le 2012 se boit magnifiquement aujourd'hui. Les lecteurs qui préfèrent plus de complexité aromatique préfèreront peut-être mettre le 2012 en cave pendant encore quelques années, mais il y a quelque chose dans la racine et l'immédiateté du vin qui en fait un pur plaisir à déguster aujourd'hui. »
Grand vin ultra raffiné, avec une tension minérale hors du commun à Bordeaux, fruit du grandissime terroir de la Côte Pavie mais aussi de la complicité du duo formé par MM. Nicolas Thienpont et Stéphane Derenoncourt depuis 1994.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 97/100 « Vin imposant et statuaire, le Pavie-Macquin 2010 se distingue par son explosivité verticale et son intensité fulgurante. La confiture de cerises rouges, les prunes et les fleurs séchées sont quelques-uns des nombreux arômes et saveurs qui s'ouvrent à mesure que le 2010 gagne en ampleur avec le temps naturellement, le 2010 est encore un vin très jeune. »
Éclatante réussite depuis 2015 de ce grand terroir juste en dessous d'Ausone : précision aromatique, profondeur superlative mais harmonieuse, un grand bravo à M. Mallet (propriétaire) et M. Derenoncourt (consultant). Depuis 2010, La Gaffelière vole incontestablement de succès en succès !
"On est ici au coeur de ce qu'il y a de plus sensuel et singulier à Saint-Émilion", d'après la Revue du Vin de France.
La millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 96/100 « Magnifique concentration, veloutée, suave, sans l'excès solaire de ce millésime. Au fil de l'aération dans le verre, l'expression monte encote crescendo. Le raffinement de matière le hisse avec grâce dans l'univers des grands Saint-Emilion. Une sensation crayeuse, calcaire, distingue sa finale. »
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 93+/100 « Le 2020 La Gaffelière présente un bouquet de style classique, tertiaire, parfumé de tabac, qui se déploie de façon agréable. La bouche est moyennement corsée avec des tanins plus légers que ceux de ses pairs, mais elle est toujours bien équilibrée et pure. Une finale caressante, teintée de poivre blanc et de clou de girofle, persiste en bouche. C'est un très bon vin, mais comme je l'ai déjà dit, il s'agit d'un Saint-Émilion assez arriéré, ce qui explique le signe plus et ma note plus basse qu'auparavant. »
Éclatante réussite depuis 2015 de ce grand terroir juste en dessous d'Ausone : précision aromatique, profondeur superlative mais harmonieuse, un grand bravo à M. Mallet (propriétaire) et M. Derenoncourt (consultant). Depuis 2010, La Gaffelière vole incontestablement de succès en succès !
"On est ici au coeur de ce qu'il y a de plus sensuel et singulier à Saint-Émilion", d'après la Revue du Vin de France.
La millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2023) : 96/100 « Magnifique concentration, veloutée, suave, sans l'excès solaire de ce millésime. Au fil de l'aération dans le verre, l'expression monte encote crescendo. Le raffinement de matière le hisse avec grâce dans l'univers des grands Saint-Emilion. Une sensation crayeuse, calcaire, distingue sa finale. »
Vinous (N. Martin - Novembre 2024) : 93+/100 « Le 2020 La Gaffelière présente un bouquet de style classique, tertiaire, parfumé de tabac, qui se déploie de façon agréable. La bouche est moyennement corsée avec des tanins plus légers que ceux de ses pairs, mais elle est toujours bien équilibrée et pure. Une finale caressante, teintée de poivre blanc et de clou de girofle, persiste en bouche. C'est un très bon vin, mais comme je l'ai déjà dit, il s'agit d'un Saint-Émilion assez arriéré, ce qui explique le signe plus et ma note plus basse qu'auparavant. »
Éclatante réussite depuis 2015 de ce grand terroir juste en dessous d'Ausone : précision aromatique, profondeur superlative mais harmonieuse, un grand bravo à M. Mallet (propriétaire) et M. Derenoncourt (consultant). Depuis 2010, La Gaffelière vole incontestablement de succès en succès !
"On est ici au coeur de ce qu'il y a de plus sensuel et singulier à Saint-Émilion", d'après la Revue du Vin de France.
La millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 95-96/100 « Défendant un style classique mais expressif, construit sur la finesse en deuxième partie de bouche, ce cru au terroir exceptionnel n'a pas fini de surprendre. En dix ans, la part du merlot a diminué au profit de celle du cabernet franc qui atteint aujourd'hui 30% dans l'assemblage. Les raisins de nouvelles plantations apportent davantage de profondeur aux derniers millésimes et notamment à ce 2019 expansif et équilibré, d'une belle allonge. »
Éclatante réussite depuis 2015 de ce grand terroir juste en dessous d'Ausone : précision aromatique, profondeur superlative mais harmonieuse, un grand bravo à M. Mallet (propriétaire) et M. Derenoncourt (consultant). Depuis 2010, La Gaffelière vole incontestablement de succès en succès !
"On est ici au coeur de ce qu'il y a de plus sensuel et singulier à Saint-Émilion", d'après la Revue du Vin de France.
Le millésime 2018 dans la presse :
En Magnum (avril 2021) : 97/100 « Grande pureté de définition, tant au niveau du corps que de l'intensité aromatique, restituant avec précision une matière esthétique et fuselée, taillée dans le sens de la profondeur, avec un raffinement digne d'éloges. Définition même de l'éclat, de la classe et de la délicatesse, bref, ce la-gaffelière tutoie les sommets. »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 99/100 « La Gaffelière 2018 est sans conteste l'un des vins du millésime. D'une stature imposante et d'une grande verticalité, le 2018 éblouit dès son entrée en scène. Fruits noirs d'encre, moka, épices, réglisse et cuir parcourent ce Saint-Émilion profond et merveilleusement souple. Le 2018 est riche, profond et magnifiquement résonnant, avec une profondeur énorme et des tonnes de stature qui se développent, le tout encadré par des poutres de minéralité qui lui confèrent de la vivacité. Le LaGaffelière est distinctif, séduisant et captivant dès le départ. Il s'agit d'une nouvelle démonstration magnifique de ce domaine renaissant [...] Magnifique ! »
Éclatante réussite depuis 2015 de ce grand terroir juste en dessous d'Ausone : précision aromatique, profondeur superlative mais harmonieuse, un grand bravo à M. Mallet (propriétaire) et M. Derenoncourt (consultant). Depuis 2010, La Gaffelière vole incontestablement de succès en succès !
"On est ici au coeur de ce qu'il y a de plus sensuel et singulier à Saint-Émilion", d'après la Revue du Vin de France.
La millésime 2016 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 98/100 « Un nez sur un fruité mûr et précis, aux notes épicées très douces, un boisé discret. La bouche est pleine, équilibrée, avec une jolie puissance tannique bien arrondie. Beau vin d'équilibre qui ira loin. »
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 93/100 « La Gaffelière 2016 a un bouquet plus savoureux, peut-être plus axé sur le cabernet franc, mais bien défini, avec des notes de cèdre et de bois de santal judicieusement placées derrière le fruit rouge rameux. La bouche mi-corsée présente des tanins souples et une fine acidité. Charnu et généreux, il présente néanmoins une belle colonne vertébrale et une bonne persistance en fin de bouche. Un Saint-Émilion qui a enfin trouvé sa voie »
Éclatante réussite depuis 2015 de ce grand terroir juste en dessous d'Ausone : précision aromatique, profondeur superlative mais harmonieuse, un grand bravo à M. Mallet (propriétaire) et M. Derenoncourt (consultant). Depuis 2010, La Gaffelière vole incontestablement de succès en succès !
"On est ici au coeur de ce qu'il y a de plus sensuel et singulier à Saint-Émilion", d'après la Revue du Vin de France.
La millésime 2015 dans la presse :
La Revue du Vin de France (novembre 2021) : 94/100 « Une belle maturité du fruit, avec une grande puissance épicée. Bouche pleine et ample, avec du gras, on sent le côté solaire du millésime. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2017) : 97/100 « La Gaffelière 2015 est un vin d'une totale finesse. Beaucoup moins évident et manifeste que la plupart des Saint-Émilion de ce millésime, La Gaffelière fait valoir l'harmonie et la grâce avant tout. Des arômes vifs et relevés de cabernet franc donnent au 2015 une fraîcheur et une présence aromatique saisissantes. Les saveurs sont vives et nuancées, avec beaucoup de cerises rouges, d'espresso et de notes florales. Mais revenons à l'essentiel. En 2015, La Gaffelière est un vin qui se distingue par son équilibre impeccable et son sens des proportions. j'ai adoré. »
Éclatante réussite depuis 2015 de ce grand terroir juste en dessous d'Ausone : précision aromatique, profondeur superlative mais harmonieuse, un grand bravo à M. Mallet (propriétaire) et M. Derenoncourt (consultant). Depuis 2010, La Gaffelière vole incontestablement de succès en succès !
"On est ici au coeur de ce qu'il y a de plus sensuel et singulier à Saint-Émilion", d'après la Revue du Vin de France.
Le millésime 2011 dans la presse :
Vinous (I. D'Agata - juillet 2014) : 90/100 « Rouge rubis profond. Nez parfumé de cerise rouge, de framboise, de violette et de réglisse. Tangué, riche et profond, avec une acidité vibrante qui soulève les saveurs de fruits rouges et de minéraux. Les finitions sont douces, brillantes et longues. Je trouve que ce vin offre une combinaison rare (pour 2011) de générosité, de texture et d'adhérence. »
Racheté en 2017 par le réassureur SCOR, une page se tourne à Troplong-Mondot, formidable terroir de Saint-Émilion. Jusqu’en 2016 inclus, ce sont les vins les plus riches en extrait et les plus généreux de l’appellation, élaborés par Christine Valette et son mari, sous l’égide de Michel Rolland.
Rupture de style radicale à partir du millésime 2017, avec des vins moins denses mais ô combien précis, élégants et racés, confirmée en 2018 par M. Galloni (vinous) « The 2018 is regal, refined and absolutely exquisite », noté 97/100.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 93/100 « Le Troplong Mondot 2016 est l'un des rares vins de Saint-Émilion à se présenter comme plutôt surmûri au nez, où le pruneau et la datte infusent le fruit noir. La bouche est moyennement corsée avec des fruits noirs poussiéreux, ferme et dense, et une finale accrocheuse et solide. Pavie-Macquin ? Il semble brutal pour le moment, mais il a le potentiel de vieillir. »
Conseillé par M. Derenoncourt, Clos Fourtet démontre avec régularité et sans ostentation que le haut du plateau de Saint-Émilion peut produire d'aussi grands vins que le coteau d'Ausone ou celui de Pavie. Sobriété, profondeur, finesse et intensité exemplaires le placent au niveau d’Angélus ou Pavie pour la moitié du prix.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 99/100 « Le Clos Fourtet 2022 est tout aussi fascinant qu'il l'était en primeur, peut-être même un peu plus. Vertical et explosif, le 2022 offre un mélange captivant d'opulence texturale et de structure classique. L'assemblage est composé à 90 % de merlot, à 7 % de cabernet sauvignon et à 3 % de cabernet franc. L'une des principales signatures du Clos Fourtet est la présence du cabernet sauvignon, que l'on voit rarement sur le plateau de Saint-Émilion, mais qui semble lui donner du poids et de la gravité. Les fruits bleus foncés, le cuir neuf, les épices, le menthol et l'espresso colorent le palais tandis que le 2022 révèle peu à peu son pedigree considérable. Le 2022 a été élevé dans un mélange de 58 % de fûts ayant déjà servi, 40 % de chêne neuf et 2 % d'amphores. Plus important encore, c'est sans conteste l'un des vins du millésime. »
J.M Quarin (Février 2025) : 97/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fin, subtil, complexe, au fruité mûr qui gagne de la pureté et de la noblesse à l'agitation du verre. Moelleux à l'attaque, avec de suite une texture raffinée et un corps fondant, le vin glisse, caresse et va crescendo dans le dernier tiers du palais. Il s'achève plein, long, délicat et profond à la fois. C'est superbe. »
Conseillé par M. Derenoncourt, Clos Fourtet démontre avec régularité et sans ostentation que le haut du plateau de Saint-Émilion peut produire d'aussi grands vins que le coteau d'Ausone ou celui de Pavie. Sobriété, profondeur, finesse et intensité exemplaires le placent au niveau d’Angélus ou Pavie pour la moitié du prix.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 99/100 « Le Clos Fourtet 2022 est tout aussi fascinant qu'il l'était en primeur, peut-être même un peu plus. Vertical et explosif, le 2022 offre un mélange captivant d'opulence texturale et de structure classique. L'assemblage est composé à 90 % de merlot, à 7 % de cabernet sauvignon et à 3 % de cabernet franc. L'une des principales signatures du Clos Fourtet est la présence du cabernet sauvignon, que l'on voit rarement sur le plateau de Saint-Émilion, mais qui semble lui donner du poids et de la gravité. Les fruits bleus foncés, le cuir neuf, les épices, le menthol et l'espresso colorent le palais tandis que le 2022 révèle peu à peu son pedigree considérable. Le 2022 a été élevé dans un mélange de 58 % de fûts ayant déjà servi, 40 % de chêne neuf et 2 % d'amphores. Plus important encore, c'est sans conteste l'un des vins du millésime. »
J.M Quarin (Février 2025) : 97/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez très aromatique, fin, subtil, complexe, au fruité mûr qui gagne de la pureté et de la noblesse à l'agitation du verre. Moelleux à l'attaque, avec de suite une texture raffinée et un corps fondant, le vin glisse, caresse et va crescendo dans le dernier tiers du palais. Il s'achève plein, long, délicat et profond à la fois. C'est superbe. »
Conseillé par M. Derenoncourt, Clos Fourtet démontre avec régularité et sans ostentation que le haut du plateau de Saint-Émilion peut produire d'aussi grands vins que le coteau d'Ausone ou celui de Pavie. Sobriété, profondeur, finesse et intensité exemplaires le placent au niveau d’Angélus ou Pavie pour la moitié du prix.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 93/100 « C’est le raffinement qui prime dans cet équilibre filiforme porté par une sensation calcaire haletante. N’hésitez pas à le découvrir à partir de 2025 et dans les quinze prochaines années. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94+/100 « Clos Fourtet 2021 est un vin sombre et imposant. La mûre, le gravier, la terre brûlée, le cuir, l'encens et le clou de girofle infusent le 2021 avec des tonnes de caractère. C'est définitivement un vin issu d'une année froide - une année manquant de soleil. En ce sens, le Clos Fourtet est merveilleusement expressif, car il dresse un portrait très précis d'un lieu et d'une saison de croissance. Tout ce dont il a besoin, c'est de temps pour s'adoucir. »
Jean-Marc Quarin (avril 2022) : 94/100 « Beau rouge sombre, pourpre. Nez intense, fin, fruité, frais et mûr. Délicat en entrée de bouche et immédiatement doué d'un toucher minutieux et raffiné, le vin évolue savoureux, tendre, légèrement velouté, vers une finale sèveuse dans laquelle revient un brin de vivacité. »
Conseillé par M. Derenoncourt, Clos Fourtet démontre avec régularité et sans ostentation que le haut du plateau de Saint-Émilion peut produire d'aussi grands vins que le coteau d'Ausone ou celui de Pavie. Sobriété, profondeur, finesse et intensité exemplaires le placent au niveau d’Angélus ou Pavie pour la moitié du prix.
La millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 93+/100 « Le Clos Fourtet 2019 a un bouquet obstiné et en retrait avec des fruits noirs sulfureux, assez tertiaire dans le style, bureau antique et boisé. La bouche est moyennement corsée avec des fruits succulents de mûre et de myrtille, peut-être juste un peu goulue par rapport à ses pairs malgré la finale veloutée et caressante. Un vin pour ceux qui aiment le Saint-Emilion moderne, mais qui a besoin d'un temps de garde important. »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 98/100 « Une touche de tabac, des notes de fruits frais, de feuille, un fond crayeux : Le nez propose une belle complexité, promesse de délices futurs. La chair parfaite et l'éclat juste de ce 2019, finissent de convaincre que nous sommes là en présence d'un des plus grands terroirs de Saint-Emilion. Mis en valeur par la biodymanie, il livre un vin aux notes de graphite, parfaitement vinifié. Le soyeux texturé du tanin ne masque pas la puissance du millésime. Le vin conserve l'allonge parfaitement identifiable du cru. »
Conseillé par M. Derenoncourt, Clos Fourtet démontre avec régularité et sans ostentation que le haut du plateau de Saint-Émilion peut produire d'aussi grands vins que le coteau d'Ausone ou celui de Pavie. Sobriété, profondeur, finesse et intensité exemplaires le placent au niveau d’Angélus ou Pavie pour la moitié du prix.
Le millésime 2010 dans la presse :
En Magnum (2022) : 97/100 « Il faut du temps pour que l'immense personnalité du Clos Fourtet se révèle, celle d'un grand cru séveux et profond à la minéralité impérieuse et à la longueur impressionnate. Assurément l'une des grandes réussites de cette dégustation. »
Vinous (N. Martin - Février 2020) : 95/100 « Le Clos Fourtet 2010 a un bouquet bien défini et concentré avec des notes de fruits noirs goudronneux, de poivre noir et de tabac, presque à équidistance entre la Rive Gauche et la Rive Droite dans le style. La bouche est moyennement corsée avec des tannins fermes, souples et soutenus par un fin cordon d'acidité. Très harmonieux en fin de bouche avec un boisé bien intégré, c'est un superbe Saint-Émilion. »
Conseillé par M. Derenoncourt, Clos Fourtet démontre avec régularité et sans ostentation que le haut du plateau de Saint-Émilion peut produire d'aussi grands vins que le coteau d'Ausone ou celui de Pavie. Sobriété, profondeur, finesse et intensité exemplaires le placent au niveau d’Angélus ou Pavie pour la moitié du prix.
Le millésime 2005 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - avril 2021) : 97/100 « Clos Fourtet 2005 est un Saint-Émilion spectaculaire, doté d'une grande profondeur et d'une intensité onctueuse. La cerise noire, la prune, le cèdre, le tabac et la fumée de bois se développent au fur et à mesure que ce vin ravissant et profondément texturé montre son allure. Soyeux, somptueux et merveilleusement expressif, le Clos Fourtet est fabuleux en 2005. De brillantes notes salines, qui sont la signature du plateau de Saint-Émilion, équilibrent toute la richesse naturelle de l'année [...] Il s'agit d'un superbe effort de la part de la famille Cuvelier. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
Le millésime 2022 dans la presse :
J-M Quarin (février 2025) : 97/100 « Couleur sombre, intense et pourpre. Nez très aromatique, fin, pur, fruité et légèrement fumé. Charnu en entrée de bouche, soyeux au toucher et riche en parfums, le vin évolue juteux, fondant, sur un toucher élégant. Après le milieu, il grandit, s'étoffe et va loin dans la persistance séveuse, jamais marqué par le tannin. Le millésime le plus dense et le plus raffiné de la propriété avec 41,5 % de cabernet franc. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
La millésime 2021 dans la presse :
J-M Quarin (avril 2022) : 95/100 « Couleur sombre, profonde, pourpre et vive. Nez intense, fin, fruité, pur, subtil et floral. Minutieux en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, complexe et profond, avec de la classe dans le toucher, le vin prend de la puissance entre le milieu et la finale. Il s'achève long, suave, sèveux et délicieux. Il s'agit là de l'expression la plus aboutie que je connaisse dans Quintus à cet âge. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
La millésime 2020 dans la presse :
J-M Quarin (février 2024) : 96/100 « Couleur sombre, intense et belle. Nez plus discret que Dragon, au fruité mûr et frais. Minutieux en entrée de bouche, bien plus ample au milieu, avec du gras et un corps fondant, ce vin s'installe lentement dans le palais. Particulièrement savoureux, il retourne des nuances fraîches dans la persistance. C'est très difficile à cracher. »
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 94/100 « Le Quintus 2020 présente un bouquet merveilleusement harmonieux de fruits noirs, de bruyère, d'une touche de menthe sauvage et d'un chêne magnifiquement intégré. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins soyeux et une fine acidité. Son style est peut-être moderne, mais même à l'aveugle, il respire la classe et le raffinement. Malgré son taux d'alcool élevé, il réussit à tout faire. »
En achetant et réunissant en 2012 deux grands crus classés (Tertre-Dauguay et L'Arrosée) du coteau de Saint-Émilion (côte Ausone), Haut-Brion a mis un pied en rive droite, baptisé Quintus car il s'agit de leur cinquième propriété (après Haut-Brion, La Mission HB, Laville HB et Latour HB).
Premier objectif : faire des vins fins et longs, misant sur la fraîcheur et la délicatesse plus que sur la puissance ou la densité, plus typés rive gauche que rive droite.
Second objectif : briller dans les prochains classements de Saint-Émilion (ses voisins immédiats sont Ausone, Belair-Monange, Angélus et Canon, tous 1ers grands crus classés).
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (Neal Martin - Août 2020) : 94/100 « Le Quintus 2016 présente un bouquet très noble, avec une belle définition de la mûre et de la baie, un chêne merveilleusement intégré et un véritable sens de la concentration et de l'équilibre. Il s'agit d'un Saint-Émilion magnifiquement élaboré et de l'une des meilleures versions de Quintus à ce jour. »