Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Septembre 2023) : 93/100 « Couleur sombre et densité caractérisent ce 2020. Un vin à l'approche austère, tant au nez qu'en bouche. Bien trop jeune manifestement, sa masse a besoin de s'affiner en bouteille. Un Saint-Emilion à la carrure impressionnante, dont l'élevage s'intègre peu à peu. A n'ouvrir qu'à partir de 2027. »
Jean-Marc Quarin (Mars 2023) : 94/100 « Couleur sombre, intense et légèrement évoluée. Nez très aromatique et profond. Nuances de fruits frais. Touche d'agrumes. Moelleux en entrée de bouche, particulièrement aromatique au milieu, subtil et même complexe à l'évolution, ce vin gras et complet évolue long, avec une grâce inédite dans son toucher. C'est superbe ! »
Vinous (N. Martin - Décembre 2022) : 90/100 « J'ai suggéré/espéré que le Fonroque 2020 montrerait plus de finesse au moment de la mise en bouteille, et il semble avoir entendu mes paroles. Avec des arômes de mûre, de brioche et de léger sous-bois au nez, ce vin fait preuve d'un plus grand raffinement. La bouche est moyennement corsée avec des tanins légèrement anguleux, frais et salins, avec une pointe de poivre noir en finale. D'un style un peu médocain et d'une bonne longueur, il devrait bien vieillir en bouteille. »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 94/100 « Ce vin qui peut passer inaperçu lors de dégustation horizontales demeure pourtant un incontournable dans les grands millésimes. Sa couleur très dense déroute. En bouche, ce cru nous a habitués à plus de finesse. Ce millésime de puissance s'adoucit soudain dans une finale à la texture soyeuse, teintée d'épices douces et de fruits à noyau (prune, cerise). »
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 92/100 « Le Fonroque 2019 est un vin riche et hédoniste qui déborde de cerises rouges surmûries, de chocolat et d'épices douces. Racé et voluptueux, c'est l'un des vins les plus complets de l'année. Ce n'est pas un vin timide, loin de là. »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 95/100 « Certifié en biodynamie, Fonroque livre un vin qui ne force jamais sa nature et respecte les équilibres. Il possède un fruit et une chair veloutée qui continuent à s'épanouir dans le temps. Jeune, 2018 se montre d'une grande fraîcheur aux accents minéraux. Mais c'est avec l'âge qu'il s'exprime au mieux l'empreinte de son terroir. Les millésimes chauds sont remarquables. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 90/100 « Le Fonroque 2018, que j'ai carafé une heure, a conservé son bouquet très opulent, assez ostentatoire, de cerise noire, de figue, de cassis et des touches d'olive noire. La bouche est moyennement corsée et confite à l'entrée. Il est très exubérant, avec des fruits rouges infusés d'orange sanguine, et se concentre davantage vers la fin de bouche bien délimitée. J'aurais aimé que les arômes soient un peu moins prononcés, mais sinon, c'est un bon Saint-Émilion. »
L'amateur à la recherche de grands crus classés fins et digestes doit s’intéresser à Fonroque. En culture biologique depuis 2006 et en biodynamie depuis 2008, Fonroque propose une vision originale du terroir du plateau de Saint-Émilion, faite de fraîcheur, d'élégance, de puissance maîtrisée et fondante. "Un vin d'émotion", comme le qualifient Michel Bettane et Thierry Desseauve.
Alain Moueix, son directeur (et ex-propriétaire), montre clairement la voie à suivre pour l'avenir des grands vins de Bordeaux, toutes rives confondues.
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 94/100 « Le Petit Gravet Aîné 2022 est un vin magnifique et exotique. Kirsh, fleurs séchées, moka et cuir neuf s'ouvrent. Mûr, charnu et étagé, le 2022 est définitivement du côté le plus mûr. De texture crémeuse et opulente, il a manifestement besoin de temps pour s'assagir après la mise en bouteille. Aujourd'hui, j'admire sa pureté. Il s'agit d'un vin sauvage qui ne manquera pas d'entraîner les lecteurs dans une véritable chevauchée au cours des deux prochaines décennies, voire plus. »
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2024) : 92/100 « Le Petit Gravet Ainé 2021 s'est bien présenté dès sa sortie de barrique. Dominé par 90 % de cabernet franc, il présente un bouquet frais et salin qui parvient à atteindre une maturité phénolique. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins croquants à l'attaque qui se transforment en un milieu de bouche à la texture crémeuse et une finale très cohérente, teintée de poivre blanc et de garrigue. Excellent ! »
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 96/100 « Le Petit Gravet Aîné 2018 éblouit dès la sortie de la bouteille. La signature du cabernet franc est au premier plan dans ce saint-émilion qui affiche une magnifique présence aromatique ainsi que de la profondeur. Pétale de rose, moka, kirsh, menthol et sauge sont quelques-unes des nombreuses notes qui s'ouvrent avec un peu d'amabilité. Quelques années en bouteille feront des merveilles pour les tanins. Outre sa beauté saisissante, le Petit Gravet Aîné est l'un des vins les plus uniques et distinctifs de Bordeaux, le genre de vin qui reste gravé dans la mémoire. En un mot : magnifique ! »
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Œnologue de formation, Mme Papon-Nouvel possède deux minuscules propriétés en bas de Saint-Émilion voisines de Canon-La Gaffelière : Petit Gravet Aîné (2,4 ha) et Clos Saint-Julien (1,3 ha), où l'encépagement est majoritairement constitué de vieux cabernets francs. De la vigne au chai, elle dirige seule toutes les étapes dans l'élaboration de ses vins et, quel que soit le millésime, son talent de vinificatrice instinctive donne des vins d'une élégance naturelle et d'une douceur exemplaire.
Bellefont-Belcier, grand cru classé au magnifique terroir couvrant la partie Est de la Côte Pavie, entre Larcis-Ducasse et Le Tertre Rôteboeuf, est la septième acquisition (2016) de M. Kwok en Libournais (avec Tour Saint-Christophe, Enclos-Tourmaline...).
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - mars 2021) : 93/100 « Bellefont-Belcier 2018 est superbe. Des notes de tête florales et savoureuses expressives jouent sur un noyau de fruits noirs d'encre dans un Saint-Émilion puissant, capiteux et plein de caractère. Le pétale de rose, la lavande, les épices et les fruits rouges/pourpres d'encre s'ouvrent dans le verre. Les tanins couvrants témoignent d'un grand sens de la finesse, et 2018 n'était que le premier millésime. Il y a beaucoup à attendre des années à venir. »
Bellefont-Belcier, grand cru classé au magnifique terroir couvrant la partie Est de la Côte Pavie, entre Larcis-Ducasse et Le Tertre Rôteboeuf, est la septième acquisition (2016) de M. Kwok en Libournais (avec Tour Saint-Christophe, Enclos-Tourmaline...).
Sous la conduite de Michel Rolland et son équipe, son premier millésime 2017 est déjà un coup de maître, signalé comme tel par Michel Bettane « Le nouveau propriétaire a voulu marquer une forme de rupture avec une sélection parcellaire plus poussée et une vinification plus douce. Une première réussie ! ».
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin - septembre 2019) : 92/100 « Bellefont-Belcier 2017 a mûri dans 40 % de chêne neuf pendant 20 mois. Il présente un bouquet bien défini avec des arômes parfumés de mûre, de mûre de Boysen et de violette écrasée, l'un des plus purs que j'ai rencontrés dans les derniers millésimes. La bouche s'appuie sur la promesse qu'il a montrée dès la barrique, charnue avec une douce poignée, légèrement épicée avec une touche de poivre noir vers la finale. »
Bettane et Dessauve (décembre 2020) : 16/20 « Dense énergique, belle vigueur dans le tanins, élan crayeux de classe. »
À partir de 2005, retour en grande forme de La Dominique, prestigieux terroir contigu à Cheval Blanc, L’Évangile et La Conseillante. Son style velouté et sensuel le situe à mi-chemin entre Saint-Émilion et Pomerol : « le toucher de tannin fait très pomerol, puis la suite soyeuse, florale et ferme se poursuit avec la classe des grands saint-émilion » (Bettane & Desseauve).
À partir de 2005, retour en grande forme de La Dominique, prestigieux terroir contigu à Cheval Blanc, L’Évangile et La Conseillante. Son style velouté et sensuel le situe à mi-chemin entre Saint-Émilion et Pomerol : « le toucher de tannin fait très pomerol, puis la suite soyeuse, florale et ferme se poursuit avec la classe des grands saint-émilion » (Bettane & Desseauve).
À partir de 2005, retour en grande forme de La Dominique, prestigieux terroir contigu à Cheval Blanc, L’Évangile et La Conseillante. Son style velouté et sensuel le situe à mi-chemin entre Saint-Émilion et Pomerol : « le toucher de tannin fait très pomerol, puis la suite soyeuse, florale et ferme se poursuit avec la classe des grands saint-émilion » (Bettane & Desseauve).
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N.Martin - Novembre 2023) : 91/100 « La Dominique 2021 a un nez très inspiré de la Rive Gauche, ce qui est surprenant car les composants Cabernet ne représentent que 15% de l'assemblage - je soupçonne que cela provient du poivre noir, un peu austère vers la finale mais il y a un sens de la classe et de la retenue ici qui met en valeur la fraîcheur et la précision. »
À partir de 2005, retour en grande forme de La Dominique, prestigieux terroir contigu à Cheval Blanc, L’Évangile et La Conseillante. Son style velouté et sensuel le situe à mi-chemin entre Saint-Émilion et Pomerol : « le toucher de tannin fait très pomerol, puis la suite soyeuse, florale et ferme se poursuit avec la classe des grands saint-émilion » (Bettane & Desseauve).
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 93/100 « La Dominique 2020 présente un bouquet vif et délimité, avec des fruits noirs au premier plan. Des notes de pierre broyée et une touche de plumier lui confèrent de la complexité. Le chêne est ici très bien intégré. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins et des notes de poivron et de poivre noir concassé, un peu plus sèches qu'à l'accoutumée. Il est joliment concentré et se termine par une finale accrocheuse qui est peut-être un peu large, mais il a de la classe et de la longévité. »
À partir de 2005, retour en grande forme de La Dominique, prestigieux terroir contigu à Cheval Blanc, L’Évangile et La Conseillante. Son style velouté et sensuel le situe à mi-chemin entre Saint-Émilion et Pomerol : « le toucher de tannin fait très pomerol, puis la suite soyeuse, florale et ferme se poursuit avec la classe des grands saint-émilion » (Bettane & Desseauve).
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « évoluant sur des notes fumées, de moka, le 2019 est fidèle à son onctuosité, son enveloppe prête à séduire les palais en quête de douceur. La fraîcheur est bien conservée dans ce millésime de concentration. Un vin fédérateur, déjà ouvert. Si nous sommes curieux de voir son évolution, vous pouvez l'ouvrir dès à présent. »
Vinous (N. Martin - Février 2022) : 94/100 « La bouche est moyennement corsée, avec des tanins soyeux, des fruits rouges savoureux mêlés de poivre noir et de sauge, une bonne profondeur et une finale épicée et persistante. Ce vin est promis à un bel avenir. »
Jean-Marc Quarin (Mars 2022) : 91/100 « Nuances truffées et crémeuses. De la profondeur. Délicat en entrée de bouche, tendre et fruité au milieu, le vin caresse le palais »
À partir de 2005, retour en grande forme de La Dominique, prestigieux terroir contigu à Cheval Blanc, L’Évangile et La Conseillante. Son style velouté et sensuel le situe à mi-chemin entre Saint-Émilion et Pomerol : « le toucher de tannin fait très pomerol, puis la suite soyeuse, florale et ferme se poursuit avec la classe des grands saint-émilion » (Bettane & Desseauve).
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 91/100 « La Dominique 2016 a un bouquet intense et fougueux qui flirte avec le surmenage, bien qu'avec l'aération il semble gagner en cohésion et en contrôle. La bouche est moyennement corsée avec des tannins assez secs, accrocheuse et affirmée, bien qu'elle ait besoin de plus de chair pour s'exprimer et maintenir l'ensemble sur un pied d'égalité. »
Avec aujourd'hui 11 ha, le vignoble de Valandraud permet à M. Thunevin de resserrer ses sélections pour le grand vin et son second, Virginie de Valandraud (il existe un 3ème, Clos Badon, et même un 4ème vin !). Riche en couleur, toujours délicieux sur une structure tannique élégante, Virginie de Valandraud fait mentir ceux qui pensent que les seconds vins n'ont pas d'âme.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N.Martin - novembre 2024) : 90+/100 « Le 2020 Virginie de Valandraud semble un peu pincé au nez, sans la fluidité de ses pairs. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins saturés, un joli velouté et beaucoup de profondeur. Elle se termine par une finale raffinée. Si le nez peut gagner en complexité, ce vin sera très séduisant. »
Avec aujourd'hui 11 ha, le vignoble de Valandraud permet à M. Thunevin de resserrer ses sélections pour le grand vin et son second, Virginie de Valandraud (il existe un 3ème, Clos Badon, et même un 4ème vin !). Riche en couleur, toujours délicieux sur une structure tannique élégante, Virginie de Valandraud fait mentir ceux qui pensent que les seconds vins n'ont pas d'âme.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - juillet 2013) : 91/100 « Rouge rubis brillant. Mûre, framboise noire, réglisse, moka et expresso au nez et en bouche. Bouillonnant, doux, crémeux et super mûr mais avec une acidité adéquate, une minéralité subtile de pierre à fusil et des tannins doux substantiels donnant forme à ce vin sans faille. Excellent pour cet embouteillage. Après 24 heures dans la bouteille rebouchée, ce vin a montré une belle acidité mûre et harmonieuse. D'une manière ou d'une autre, ce vin présente une maturité plus constante que de nombreux seconds vins des meilleurs châteaux du Médoc. »
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 95/100 « Le Clos de l'Oratoire 2022 est un vin magnifique et sensuel. En même temps, c'est un véritable concentré de puissance. Le 2022 est un assemblage de 80% de merlot et de 20% de cabernet franc, donc un peu plus de franc que ce qui était autrefois la norme. Cette caractéristique, associée à des vendanges plus précoces, a permis d'accroître l'intensité aromatique et la structure du vin. Des notes de pétale de rose, d'herbes séchées, d'écorce d'orange, de menthe et de sauge s'harmonisent avec un noyau de fruits rouges foncés. Donnez-lui du temps. »
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 94/100 « Clos de l'Oratoire 2021 est un vin magnifique et dynamique. Énergique et brillant, le 2021 grésille de tension. Des acides vifs et des veines de tannins donnent au vin sa personnalité vibrante. Les arômes de fruits rouges et violacés, de lavande, de pétale de rose, de menthe et de moka abondent. C'est un très, très beau Clos de l'Oratoire. »
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
La millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2024) : 92/100 « Clos de l'Oratoire 2020 présente un bouquet vif et pur de mûres et de framboises mêlées à des notes de cèdre et de pot-pourri. Une dose judicieuse de chêne neuf ajoute à la complexité. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins fins et des fruits rouges infusés de graphite, avec une finale linéaire, fraîche et presque rive gauche. Excellent. »
La Revue du Vin de France (novembre 2023) : 90/100 « Doté d'une générosité naturelle, le vin est construit sur une matière enrobée charmeuse. C'est un vin bien calibré, mené avec une certaine précision, à l'enveloppe séduisante, jusqu'à une allonge qui assume la richesse de ce millésime 2020. »
Aussi excellemment bien tenu que Canon-La Gaffelière (même propriétaire), sous la conduite de M. Derenoncourt, Clos de l'Oratoire offre pratiquement la même plénitude et la même intensité pour la moitié du prix.
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 91/100 « Le Clos de l'Oratoire 2016 ne s'est pas bien montré en sortie de barrique mais apparaît finalement plus soudé. Il a l'un des profils aromatiques les plus discrets du vol, mettant en avant des fruits noirs avec des parfums d'encens et d'iris, le tout très concentré et harmonieux. La bouche est moyennement corsée avec des tanins serrés. Ce vin est audacieux et structuré, mais il reste équilibré et bien défini. Il mérite une note bien plus élevée. »
Minuscule cru d'un hectare et demi contigu à Clos Fourtet, entré dans le giron de la famille Cuvelier en 2013. Sans rien perdre de leur rondeur soyeuse et de leur fruité flatteur (100% merlot), les vins ont gagné en pureté et en allonge.
2021 est le dernier millésime des Grandes Murailles, le nouveau classement de Saint-Émilion ayant permis le rattachement de cette parcelle au vignoble de Clos Fourtet.
Le millésime 2021 dans la presse :
J.M Quarin (Février 2024) : 92/100
Vinous (N.Martin - Novembre 2023) : 92/100 « Les Grandes Murailles 2021 a un bouquet intrigant et complexe, un peu plus sauvage que ses pairs, révélant des cerises cuites, du terreau et des jus de viande - presque comme dans le Rhône ! La bouche est moyennement corsée avec une entrée en matière souple, encore une fois un Saint-Émilion plus charnu que d'autres, avec une acidité fine et une touche de poivre blanc et de clou de girofle en fin de bouche. Ce vin est tout à fait agréable et devrait donner aux amateurs de vin 15 à 20 ans de plaisir à boire. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 96/100 « Clos Saint-Julien 2022 est un coup d'éclat de la propriétaire Catherine Papon Nouvel. Paradoxalement, il semble avoir mieux supporté les fortes chaleurs et la sécheresse que le Petit Gravet Aîné, même s'il y a plus de merlot ici. Il faut dire que cette minuscule parcelle est perchée sur le célèbre plateau calcaire de Saint-Émilion. Des arômes de fruits noirs d'encre, de chocolat, de réglisse, de lavande et de menthol tapissent le palais. La finale longue et soutenue est de toute beauté. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - février 2024) : 94/100 « Clos Saint-Julien 2021 est sublime. Délicat, soyeux et merveilleusement nuancé, le Clos Saint-Julien est exquis dans ce millésime. avande, prune, épices, menthol, réglisse et moka ne sont que quelques-unes des nombreuses nuances qui traversent ce Saint-Émilion exceptionnellement raffiné et subtil. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 96/100 « Le Clos Saint-Julien 2020 est une beauté magnifique et somptueuse. Crème de cassis, myrtille, lavande, réglisse et épices infusent le 2020 avec des tonnes de nuances à la hauteur de sa personnalité flamboyante. Le Clis Saint-Julien est un Saint-Émilion capiteux et voluptueux qui livre vraiment la marchandise. Superbe. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2022) : 94/100 « Le Clos Saint-Julien 2019 est tout aussi fabuleux en bouteille qu'il l'était en barrique. Dense et explosif au toucher, le 2019 capture le côté le plus opulent de l'année dans un style grandiose. Des arômes de fruits bleus foncés et violacés, de lavande, de clou de girofle, de menthol et de réglisse enveloppent le palais, magnifiquement encadré par des contours doux et somptueux. La propriétaire Catherine Papon-Nouvel a une fois de plus produit un vin captivant à partir de son petit vignoble de 1,2 hectare situé sur le plateau calcaire de Saint-Émilion. »
L'autre grand cru de Mme Papon-Nouvel (voir ci-dessus Petit Gravet Aîné). Même culture biologique, même sensibilité, même style, avec un surcroît de chair et de profondeur. Grand vin, logiquement promu grand cru classé en 2022.
Exceptionnel terroir de 4 hectares plein coteau plein sud (comme Pavie) à l'entrée du village de Saint-Émilion. Repris en 2014 par la famille Vauthier (Ausone), qui s'attache à mettre en évidence la chair profonde et juteuse de ses raisins, avec un naturel confondant et un splendide éclat aromatique. La Clotte a tout pour devenir rapidement un des vins les plus cultes de l'appellation.
Le millésime 2019 dans la presse :
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 94/100 « Puissant, sphérique, ce 2019 palpite dans un fruit noir radieux assorti de parfums de fleurs de printemps. L'ensemble retranscrit l'élégante signature des sols. La bouche marie sobrement fruit et fleur, la finale est dynamique, épanouie. »
Vinous (N. Martin - décembre 2021) : 95/100 « La Clotte 2019 présente un bouquet complexe de fruits rouges détaillés, de haies sauvages, de pierres concassées et d'arômes de pétales de rose fanés, engageant et (pour le millésime) discret. La bouche est moyennement corsée, mûre et magnifiquement équilibrée, avec des tanins souples et une touche judicieuse d'épices. Ce vin se développe merveilleusement en bouche et se révèle élégant et raffiné, presque bourguignon en fin de bouche. Merveilleux. »