Les prix indiqués s'entendent T.T.C. franco de port (France continentale) dès 48 bouteilles.
Pour moins de 48 bouteilles, la participation aux frais de port (France continentale) est de 24.00 €.
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Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Même s'ils disposent d'un potentiel de garde exceptionnel, nous conseillons de goûter les Sauternes dès leur première jeunesse.
Ils ne présentent pas d'astringence tannique et leur complexité aromatique est alors fabuleuse !
Toutes les bouteilles, toutes appellations et tous formats confondus, peuvent être panachées même à l'unité, en toute liberté et sans frais.
Les dates d'apogée sont précisées à titre indicatif. Elles peuvent varier en fonction de votre goût et de la température moyenne de votre cave.
Bouteille bouchonnée ? Voyez à la fin de la rubrique "Conditions générales de vente" la conduite à tenir dans ce cas.
« Un bon vin, c'est comme un bon livre. On se régale de cépages.... »
« 5 fruits par jour : chardonnay, grenache, syrah, pinot et cabernet.. »
« C'est meilleur quand c'est bon. » Emmanuelle Jary
« Tant qu'il y a de la vigne, il y a de l'espoir. »
« Pouilly fumé : vin qu'il est recommandé de consommer avec du saumon fuissé. » Marc Escayrol
« Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes, je les fais revenir avec du vin blanc ! »
« Champagne ! Parce qu'aucune grande histoire n'a commencé autour d'un bol de salade . »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 91+/100 « Le Sociando Mallet 2019 a plus de présence au nez que le Le Boscq ; le fruit est plus sombre et plus audacieux. La bouche est moyennement corsée avec des tannins saturés, beaucoup de cassis et de framboises agrémentés de cèdre et de poivre noir. Solide, même s'il manque un peu d'élégance en fin de bouche. Donnez-lui quelques années et il reviendra régulièrement à son niveau d'évaluation après la mise en bouteille. »
J-M Quarin (avril 2022) : 90/100 « Beau nez très aromatique, fruité et subtil. Nuances fines de gelée de mûres. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2018 dans la presse :
La Revue du Vin de France (décembre 2022) : 94/100 « Les amateurs avisés le savent, Sociando-Mallet, marque largement diffusée en France, est un vin d'un rapport qualité/prix remarquable.[..] les derniers millésimes semblent un peu moins profonds, mais demeurent très agréables, parfaits à boire dans la décennie, comme en 2018 au velouté séduisant. »
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 93/100 « Sociando Mallet 2018, qui est enveloppé dans une resplendissante étiquette du 50e anniversaire pour célébrer l'acquisition du domaine par feu Jean Gautreau, prend un peu de temps pour vraiment coalescer au nez, révélant finalement des senteurs de mûre de Boysen et de mûre, ainsi que des arômes de cèdre et de terre légère. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples qui démentent la concentration de ce Sociando-Mallet. Très cohérent, il offre beaucoup de fruits rouges mélangés à du sous-bois et du tabac, bien qu'il y ait juste un peu plus de sécheresse sur la finale que ce à quoi je m'attendais. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (N. Martin - février 2020) : 90/100 « La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples et une fine acidité, un Bordeaux classique ou traditionnel du début à la fin, avec une belle délimitation sur la finale teintée de tabac. Excellent. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2020) : 92/100 « Sociando Mallet 2016 présente un bouquet attrayant de canneberge, de fraise des bois, de cèdre et de légers arômes limoneux. Le palais est moyennement corsé avec des tanins granuleux, bien qu'il soit bien équilibré avec une finale fraîche et assez minérale qui a de la grâce et du charme. Il s'agit d'un splendide Sociando-Mallet qui, je pense, s'améliorera avec le temps. »
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
On ne présente plus Sociando-Mallet, qui se doit de figurer en bonne place dans la cave de tout amateur, tant la qualité et surtout la régularité de ses trente derniers millésimes sont impressionnantes. Sans vouloir minorer le travail assidu de feu M. Gautreau depuis 1969, force est de reconnaître que le terroir, contre la Gironde sur une croupe de graves comparable à celle de Montrose, est bien celui d'un grand cru classé. Incontournable 2016, le plus grand vin de Sociando-Mallet depuis 1996.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Février 2020) : 90+/100 « Sociando Mallet 2010 présente un bouquet pur et bien défini avec des arômes de mûre, de myrtille et d'estuaire qui s'échappent doucement du verre. La bouche est moyennement corsée avec des tannins granuleux, une acidité fine et un bon poids. Il manque juste un peu de complexité et d'expression du terroir en fin de bouche. Donnez-lui encore deux ou trois ans. C'est un vin pour lequel j'ai rencontré de meilleures bouteilles. »
En isolant 15 ha de ses meilleures parcelles, M. Guyon, propriétaire de Rollan de By, a créé Haut-Condissas, cuvée de prestige pour se mesurer aux grands crus classés voisins du Haut-Médoc. Dans un style riche, puissant et concentré, Haut-Condissas doit être attendu en bouteille une bonne dizaine d'années pour révéler sa réelle finesse et sa grande complexité. Réservé aux amateurs patients mais le jeu en vaut la chandelle ! Pour M. Bettane « Haut-Condissas est l'archétype du super-bordeaux ».
Le millésime 2018 dans la presse :
Bettane & Desseauve (Guide 2023) : 16.5-17/20
En isolant 15 ha de ses meilleures parcelles, M. Guyon, propriétaire de Rollan de By, a créé Haut-Condissas, cuvée de prestige pour se mesurer aux grands crus classés voisins du Haut-Médoc. Dans un style riche, puissant et concentré, Haut-Condissas doit être attendu en bouteille une bonne dizaine d'années pour révéler sa réelle finesse et sa grande complexité. Réservé aux amateurs patients mais le jeu en vaut la chandelle ! Pour M. Bettane « Haut-Condissas est l'archétype du super-bordeaux ».
Le millésime 2016 dans la presse :
Bettane & Desseauve (Guide 2024) : 94/100
Vinous (N. Martin - juillet 2018) : 90+/100 « Haut Condissas 2016 présente un bouquet opulent avec des senteurs de crème de cassis, de myrtille et de truffe légère qui émergent avec le temps. Le palais est doux à l'entrée mais il y a beaucoup de structure ici, agrippant en bouche avec du cèdre et du tabac infusé de fruits noirs denses en finale. »
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Le millésime 2020 dans la presse :
Vinous (N. Martin - décembre 2022) : 92/100 « La Tour Carnet 2020 était impressionnant en barrique. En bouteille, il présente un bouquet sobre et posé qui prend de l'ampleur à l'aération. Une deuxième bouteille a révélé un parfum marin plus accentué. La bouche est mi-corsée avec des tanins fins, une acidité bien dosée, très harmonieuse avec une finale expressive, légèrement épicée et persistante. Excellent. »
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 92/100 « La Tour Carnet 2019 présente un bouquet joliment composé avec des senteurs de mûre, de coulis de framboise, de cèdre et de sous-bois subtil, assez précis et concentré. La bouche est très bien équilibrée avec des tanins finement sculptés, une acidité bien jugée et une finale harmonieuse de style classique. Très beau ».
J-M Quarin (février 2022) : 90/100 « Délicat à l'attaque, savoureux au milieu, avec un corps fondant et une légère vivacité dans la saveur, le vin s'achève bien construit et long. »
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - juillet 2013) : 91+/100 « Rouge foncé et brillant. Les arômes sexy de cerise noire, de myrtille, de réglisse, de menthol et de fleurs ont semblé s'éteindre à l'aération. Densément emballé et frais, avec une acidité saine intensifiant les jolies saveurs de fruits noirs bien délimitées. La colonne vertébrale ferme des tanins et de l'acidité est agréablement soutenue par la concentration du milieu de bouche. Un millésime très impressionnant pour cet embouteillage, qui demande de la patience. »
Le troisième fleuron viticole de Bernard Magrez (après Pape Clément et Fombrauge), acheté en 1999. Après un remaniement de fond en comble du vignoble (c’est aujourd’hui le plus vaste grand cru classé du Médoc avec 225 ha de vignoble), La Tour Carnet affiche un style moderne, onctueux et puissant. Un redoutable compétiteur dans les dégustations à l'aveugle.
Le millésime 2010 dans la presse :
Vinous (S. Tanzer - juillet 2013) : 91+/100 « Rouge foncé et brillant. Les arômes sexy de cerise noire, de myrtille, de réglisse, de menthol et de fleurs ont semblé s'éteindre à l'aération. Densément emballé et frais, avec une acidité saine intensifiant les jolies saveurs de fruits noirs bien délimitées. La colonne vertébrale ferme des tanins et de l'acidité est agréablement soutenue par la concentration du milieu de bouche. Un millésime très impressionnant pour cet embouteillage, qui demande de la patience. »
Pas vraiment Margaux même s'il en est voisin, pas vraiment Haut-Médoc car situé à l'extrême sud du Médoc aux portes de Bordeaux, La Lagune est un cru à part dans le classement de 1855, combinant à merveille finesse et douce suavité.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2024) : 94/100 « En 2020, le cru livre un vin élégant, à la matière souple, mais au joli fond. Il offre une belle allonge sur des saveurs fruitées, avec des tanins soyeux. Il devrait être parfait à déguster d'ici une dizaine d'années. »
Vinous (N.Martin - janvier 2024) : 93/100 « La Lagune 2020 présente un beau bouquet de fruits noirs purs et très parfumés, avec des pétales de violette et des sous-bois. Le chêne est très bien intégré. La bouche est moyennement corsée avec des tanins fins, de style classique et harmonieux, développant des notes de cèdre, de poivre noir et de tabac en fin de bouche. Excellent. »
Pas vraiment Margaux même s'il en est voisin, pas vraiment Haut-Médoc car situé à l'extrême sud du Médoc aux portes de Bordeaux, La Lagune est un cru à part dans le classement de 1855, combinant à merveille finesse et douce suavité.
Le millésime 2019 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2023) : 95/100 « La Lagune 2019 offre une transparence exquise au nez - l'un des vins de Pessac-Léognan les plus expressifs sur le plan du terroir ce millésime. La bouche est moyennement corsée avec des tanins à grain fin, tendue et fraîche, assez saline avec une finale très intégrée et équilibrée qui persiste en bouche. Merveilleux - pourrait-il s'agir du meilleur La Lagune depuis des années ? »
La Revue du Vin de France (septembre 2022) : 92/100 « Le vin se montre assez tendre et souple, avec une rondeur et des tanins fondus. Un La Lagune en demi-corps, déjà très accessible et équilibré. »
J-M Quarin (mars 2022) : 91/100 « Le vin caresse le palais, savoureux, avec une touche de vivacité dans la persistance. »
Pas vraiment Margaux même s'il en est voisin, pas vraiment Haut-Médoc car situé à l'extrême sud du Médoc aux portes de Bordeaux, La Lagune est un cru à part dans le classement de 1855, combinant à merveille finesse et douce suavité.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (N. Martin - Janvier 2020) : 91/100 « La Lagune 2016 a un bouquet très bien défini, avec des senteurs de pétales de rose qui accompagnent les fruits de la canneberge et de la framboise ; le chêne est ici bien intégré. La bouche est moyennement corsée, avec des tanins souples et un style légèrement goudronneux, faisant preuve d'une belle précision vers une finale qui semble juste un peu sèche. Il s'agit d'un autre 2016 dont j'ai rencontré de meilleurs exemples dans le passé. »
Petite propriété (12 ha), soignée et vinifiée avec une constante régularité, Deyrem Valentin fait partie des crus les plus typiques de Margaux. Distingué par la Revue du Vin de France parmi les pépites cachées du Médoc « ses Margaux dessinent un équilibre délicieux ».
Promu "Cru bourgeois supérieur" en 2020.
Petite propriété (12 ha), soignée et vinifiée avec une constante régularité, Deyrem Valentin fait partie des crus les plus typiques de Margaux. Distingué par la Revue du Vin de France parmi les pépites cachées du Médoc « ses Margaux dessinent un équilibre délicieux ».
Promu "Cru bourgeois supérieur" en 2020.
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 92/100 « Le Deyrem Valentin 2021 est un Margaux puissant et terreux. Il offre une très bonne densité, avec des notes savoureuses de cuir usé, d'épices, de tabac, d'herbes grillées et de terre brûlée. Ce n'est pas exactement une expression élégante de Margaux, mais il y a une bonne profondeur, ce qui me rend optimiste. »
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 90/100 « Le Deyrem Valentin 2021 doit être considéré comme une réussite pour le millésime. Il présente un bouquet limoneux qui s'harmonise avec les fruits noirs et des notes de chocolat noir. Il n'est pas puissant, mais il est bien défini, et son style est proche de celui d'un Saint-Julien. La bouche est moyennement corsée, avec des notes de fruits noirs et de prune et, une fois de plus, une touche de chocolat noir. Il y a une certaine trace de chêne à assimiler en fin de bouche, alors donnez à ce Margaux quelques années de plus en bouteille. »
Petite propriété (12 ha), soignée et vinifiée avec une constante régularité, Deyrem Valentin fait partie des crus les plus typiques de Margaux. Distingué par la Revue du Vin de France parmi les pépites cachées du Médoc « ses Margaux dessinent un équilibre délicieux ».
Promu "Cru bourgeois supérieur" en 2020.
Le millésime 2020 dans la presse :
La Revue du Vin de France (juillet 2023) : 91/100 « Un vin de noble élégance, avec une matière soyeuse et raffinée. Le fruit est juteux. Ce beau classique va bien évoluer. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2022) : 90/100 « Le Deyrem Valentin 2020 est un Margaux puissant et opulent. En fin de compte, il se sent un peu poussé, avec une empreinte de chêne qui a asséché le fruit. Je trouve qu'il manque à la fois de fruit et de fraîcheur. »
Petite propriété (12 ha), soignée et vinifiée avec une constante régularité, Deyrem Valentin fait partie des crus les plus typiques de Margaux. Distingué par la Revue du Vin de France parmi les pépites cachées du Médoc « ses Margaux dessinent un équilibre délicieux ».
Promu "Cru bourgeois supérieur" en 2020.
Le millésime 2018 dans la presse :
Vinous (N. Martin - janvier 2021) : 92/100 « Le Deyrem Valentin 2018 est très parfumé au nez, offrant des arômes de mûre, de myrtille, des touches de pétales de violette et un léger encens. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, une fine perle d'acidité, une texture soyeuse et une finale vibrante et minérale qui persiste. Il s'agit d'un magnifique Margaux, finement réglé et précis, qui donnera 20 ans de plaisir à boire. »
Petite propriété (12 ha), soignée et vinifiée avec une constante régularité, Deyrem Valentin fait partie des crus les plus typiques de Margaux. Distingué par la Revue du Vin de France parmi les pépites cachées du Médoc « ses Margaux dessinent un équilibre délicieux ».
Promu "Cru bourgeois supérieur" en 2020.
Le millésime 2017 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2019) : 90/100 « Le Deyrem Valentin 2017 s'est bien assemblé pendant l'élevage. Il reste un peu léger en corps, et pourtant tous les éléments sont très joliment équilibrés d'un bout à l'autre. Des fleurs écrasées, des cerises rouges sucrées, de la menthe, du tabac doux et du cèdre apportent des nuances. Il y a beaucoup de choses à aimer dans ce Margaux accessible et de poids moyen. »
Petite propriété (12 ha), soignée et vinifiée avec une constante régularité, Deyrem Valentin fait partie des crus les plus typiques de Margaux. Distingué par la Revue du Vin de France parmi les pépites cachées du Médoc « ses Margaux dessinent un équilibre délicieux ».
Promu "Cru bourgeois supérieur" en 2020.
Le millésime 2016 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - décembre 2018) : 91/100 « Le Deyrem Valentin 2016 est doux, moelleux et invitant. La cerise noire, le chocolat, le cuir neuf, la réglisse et les épices sont poussés en avant dans un Margaux soyeux et souple qui offre un énorme attrait à court et moyen terme. Des notes florales ajoutent de l'éclat à la finale, alors que le 2016 acquiert un peu plus de finesse avec le temps dans le verre. »
Réputé pour détenir le meilleur terroir des crus non classés de Margaux, La Tour de Mons est un des rares vrais crus bourgeois de Margaux à prix doux, d'une régularité sans faille depuis plus de 15 ans. Racheté fin novembre 2019 par la famille Perrodo (Ch. Labégorce, Ch. Marquis d’Alesme).
Le millésime 2021 dans la presse :
Vinous (N. Martin - novembre 2023) : 91/100 « La Tour de Mons 2021 présente un bouquet bien défini et parfumé : cerises noires et groseilles, des notes d'orange sanguine apparaissent avec le temps. La bouche est moyennement corsée avec des tanins souples, juste une touche de graphite ici, cohérente avec une finale précise et assez sapide qui persiste en bouche. J'ai aimé ce vin en primeur. J'aime ce vin en bouteille. Vous l'aimerez peut-être aussi. »
Réputé pour détenir le meilleur terroir des crus non classés de Margaux, La Tour de Mons est un des rares vrais crus bourgeois de Margaux à prix doux, d'une régularité sans faille depuis plus de 15 ans. Racheté fin novembre 2019 par la famille Perrodo (Ch. Labégorce, Ch. Marquis d’Alesme).
Totalement cerné de crus classés, La Gurgue jouit d’un terroir privilégié, et des soins attentifs de Mme Villars (également propriétaire de Ferrière, cru classé de Margaux, et Haut-Bages-Libéral, cru classé de Pauillac), élue vigneronne de l'année 2024 par La Revue du Vin de France. Certainement le meilleur rapport qualité/prix/plaisir de l’appellation.
Le millésime 2022 dans la presse :
Vinous (A. Galloni - janvier 2025) : 91/100 « La Gurgue 2022 offre un mélange intriguant de fruits denses et souples et d'arômes relevés qui ajoutent un flair notable. Des fleurs écrasées, de la menthe, des épices, de l'orange sanguine et du poivre blanc s'élèvent dans le verre. L'assemblage comprend 53 % de cabernet sauvignon, 30 % de merlot et 17 % de petit verdot, la grande quantité de petit verdot conférant une présence aromatique palpable et une qualité exotique. La Gurgue sera très caractéristique en 2022. Je lui donnerais une bonne dose d'aération, car il y a un peu de réduction aujourd'hui. Ce vin a été élevé dans des fûts ayant déjà servi, des ovales en béton, des chênes neufs et des amphores. »
Totalement cerné de crus classés, La Gurgue jouit d’un terroir privilégié, et des soins attentifs de Mme Villars (également propriétaire de Ferrière, cru classé de Margaux, et Haut-Bages-Libéral, cru classé de Pauillac), élue vigneronne de l'année 2024 par La Revue du Vin de France. Certainement le meilleur rapport qualité/prix/plaisir de l’appellation.
Le millésime 2021 dans la presse :
La Revue du Vin de France (Guide 2025) : 92/100 « Tout en délicatesse comporte près de 20 % de petit verdot dans son assemblage. Il offre une bouche suave, avec un grain fin, et des tanins subtils très intégrés mis en lumière par le bel élevage en partie en cuve béton ovoïde. »
Vinous (A. Galloni - décembre 2023) : 91/100 « La Gurgue 2021 est un Margaux audacieux, juteux, doté d'une grande présence de fruit et d'une grande immédiateté. De succulentes cerises rouges sombres, de l'orange sanguine, des épices, de la menthe et du tabac se fondent ensemble. La Gurgue est un excellent choix à boire dès maintenant et au cours de la prochaine décennie. »
Petit cru bourgeois de 4 ha, entre Giscours, Monbrison et d'Angludet. Bien qu'en agriculture biologique - depuis 2010 - et ne produisant qu'à peine plus de 1000 caisses par an, Mille Roses reste parmi les crus les moins chers de l'appellation Margaux, et pour autant un des plus attachants.
Petit cru bourgeois de 4 ha, entre Giscours, Monbrison et d'Angludet. Bien qu'en agriculture biologique - depuis 2010 - et ne produisant qu'à peine plus de 1000 caisses par an, Mille Roses reste parmi les crus les moins chers de l'appellation Margaux, et pour autant un des plus attachants.
Petit cru bourgeois de 4 ha, entre Giscours, Monbrison et d'Angludet. Bien qu'en agriculture biologique - depuis 2010 - et ne produisant qu'à peine plus de 1000 caisses par an, Mille Roses reste parmi les crus les moins chers de l'appellation Margaux, et pour autant un des plus attachants.
À cheval sur les appellations Margaux et Haut-Médoc, Clos du Jaugueyron est un mini domaine (8 ha au total) du sud du Médoc tenu comme un jardin potager par M. et Mme Théron. Avec le souci du moindre détail, ils produisent de vrais Margaux, aussi denses et épicés qu’élancés. Cité comme "une adresse sûre" par M. Bettane, et comme "l’une des propriétés les plus intéressantes dans le Médoc en ce moment" par la Revue du Vin de France.
La cuvée Nout, plus rapidement accessible, est à majorité merlot (55%) tandis que le Grand Vin fait la part belle au cabernet sauvignon (65%).
La cuvée Nout a été citée parmi les "Bordeaux de légende" de la Revue du Vin de France (mai 2020).
À cheval sur les appellations Margaux et Haut-Médoc, Clos du Jaugueyron est un mini domaine (8 ha au total) du sud du Médoc tenu comme un jardin potager par M. et Mme Théron. Avec le souci du moindre détail, ils produisent de vrais Margaux, aussi denses et épicés qu’élancés. Cité comme "une adresse sûre" par M. Bettane, et comme "l’une des propriétés les plus intéressantes dans le Médoc en ce moment" par la Revue du Vin de France.
La cuvée Nout, plus rapidement accessible, est à majorité merlot (55%) tandis que le Grand Vin fait la part belle au cabernet sauvignon (65%).
La cuvée Nout a été citée parmi les "Bordeaux de légende" de la Revue du Vin de France (mai 2020).